Bréal. 2000. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 127 pages. Annotation au dos du 1er plat (ex-libris).. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Reference : RO60052635
ISBN : 2842911458
'Connaissance d'une oeuvre', 10. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
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Hachette 2014 288 pages 12 2x1 4x17 8cm. 2014. Broché. 288 pages. Exemplaire de bibliothèque déclassé
Bon état
Le Manuscrit Autographe - Revue paraissant tous les deux mois - ROYERE, Jean (Directeur)
Reference : 118201
(1926)
1926 N° 3 - Première année - Mai / Juin 1926 - A Paris, Auguste Blaizot, Libraire-Éditeur - Revue bimestrielle - In-4, broché - 53 pages
Bon état - Couverture quelque peu défraichie (plis et frottements) - Petit accroc en bas du dos - Bords de la couverture frottés
Nathan. 1998. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 127 pages.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Balises, 83, collection dir. par Henri MITTERAND. Des repères. Une analyse. Une synthèse... Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Beau prologue de 80 vers, composé en l'honneur de la réouverture du Théâtre de l'Odéon à Paris :...Quand la chaleur intense vous faisait fuir Paris comme une pénitence, À Trouville, à Deauville où rit le flot amer, / En respirant lair pur et salé de la mer, / Le poète oubliait sa divine folie (...) / Et la Parisienne agile, aux molles poses, / sur la blonde falaise égarait ses bas roses. (...). / Mais après avoir ce loisir, il est temps / Que la Muse renoue à la fin sa ceinture, / Et lOdéon ce soir fait sa réouverture. Oui le gaz se rallume et nous vous revoyons, / Paris, âmes, beautés que dorent les rayons, / Penseurs qui de lesprit subissez les brûlures, / Femmes aux doux yeux clairs, aux belles chevelures, / Car le vieil Odéon vous aime, et vous laimez ! / Ah ! Cest quépris des mots comme de la musique, / Amant de toute ivresse idéale ou physique, / Apte à savourer tout comme à tout concevoir, / Le vrai Parisien de Paris aime à voir / La noble Poésie en sa splendeur première, / Le front ceint de laurier, vivre dans la lumière. / Car la déesse habite en ce clair monument, / Qua toujours protégé son sourire charmant, / Chanteuse aux fiers accents, dont la mère est oiselle, / Bohême au front céleste, elle est ici chez elle. / Mais, dites-vous que veut son caprice jaloux / Et comment cet hiver la courtiserez vous ? / On a dit de tout temps : « Menteur comme un programme ». / Nous nen ferons donc pas. Bouffonerie et Drame, / Alerte comédie au beau rire ingénu, / Tout ce qui vit sera chez nous le bien venu, / Même la tragédie où Roméo soupire, Car jamais ce mot-là na fait peur à Shakespeare ! (...). Tout sujet nous convient où la passion vibre (...). / Cest ici la maison de Molière, du grand / Corneille, de Racine au doux flot murmurant / De Hugo, dont les mers ont des frissons de cuivre, / Et du premier venu, sil aspire à les suivre ! / O Public ! Nos acteurs au pays enchanté / Arrivent, tous remplis de bonne volonté. / Ils seront, sils se peut, charmants, sublimes, drôles, / Imprévus ; en tous cas, ils sauront bien leurs rôles, / Et sefforceront même, à tout événement / De parler sans emphase et naturellement, / Nos actrices remède à tes mélancolies, / Si jen crois la rumeur publique, sont jolies, / (...). Songe, / Que, grâce à ton esprit inventif et subtil, / Tu peux en bel or pur transformer le plomb vil ; / Que lapplaudissement, qui nous berce et nous flatte, / fait de la pauvre étoffe une pourpre écarlate, / Et devient, sans féerie, un talisman pour nous ! / Accepte nos colliers de verre et nos cailloux / Tout comme sils étaient des diamants de lInde, / Et que ton âme soit comme une Rosalinde / Qui lit complaisamment les sonnets dOrlando ! / Mais cest assez parler. Quon agisse. Au rideau !...
[1857] Ce très beau poème, composé de trois strophes de 4 vers rimés, a été publié dans le recueil Le Sang de la coupe sous le titre La Colombe blessée. ...Ô colombe (toi) qui meurs dans le ciel azuré,Rouvre un instant les yeux, victime aux blanches ailes.Le vautour qui te tue expire, déchiréPar des flèches mortelles.Va, tu tombes vengée, ô victime, et ta s?urPeut voir, en traversant la forêt dombre pleine,Loiseau tout sanglant pendre au carquois dun chasseurQui passe dans la plaine.Le jeune archer, folâtre et chantant des chansons,Passe, sa proie au dos, par les herbes fleuries,Laissant déchiqueter par les dents des buissonsCes dépouilles meurtries...On note une variante par rapport à la publication sur le mot « victime » au deuxième vers, qui est devenu « mourante ».