‎HORACE, Par Ch. GEORGIN‎
‎SATIRES & EPITRES‎

‎HORACE: Odes et Épodes, Satires, Épitres.‎

‎<p>Collection Budé.</p><p>1 tome de Odes et Épodes</p><p>1 tome de Satires</p><p>1 tome de Épitres.</p> Paris, 1959 (Odes et Épodes), 1951 (Satires), 1934 (Épitres). Les Belles Lettres 466 p., 430 p., 474 p., reliés. 13,2 x 20,2‎

‎Occasion‎

‎Contes, satires, épîtres, poésies diverses, odes, stances, poésies mêlées, traductions et imitations‎

‎Paris, Firmin Didot Frères, Fils et Cie, libraires, imprimeurs de l'institut de France, rue Jacob, 56 Relié 1858 In-12 (12,2 x 18,2 cm), reliure demi peau, dos à 5 nerfs orné de caissons dorés, gardes couleur, 512 pages, portrait de Voltaire en regard de la page de titre ; coiffe supérieure usée, coins frottés, quelques rares rousseurs, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

‎Contes, Satires, Épîtres, Poésies, Odes, Stances‎

‎Recueil d'œuvres littéraires de l'écrivain français Voltaire, l'un des plus grands penseurs du siècle des Lumières. Ce recueil regroupe une variété de genres littéraires, reflétant la diversité des talents de Voltaire en tant qu'écrivain. Les "Contes" de Voltaire sont des récits courts qui explorent différents thèmes et sujets, allant de l'ironie et de la satire sociale à l'humour et à la critique des institutions religieuses et politiques de l'époque. Certains de ses contes les plus célèbres sont "Candide" et "Micromégas". Les "Satires" sont des textes qui se moquent ou critiquent les vices et les travers de la société. Voltaire utilise souvent l'ironie et l'humour pour dénoncer l'intolérance, l'injustice et l'oppression. Ses satires sont souvent mordantes et incisives. Les "Épîtres" sont des poèmes en prose ou en vers dans lesquels Voltaire exprime ses idées et ses opinions sur des sujets variés tels que la religion, la politique et la philosophie. Il utilise ce genre pour débattre de questions importantes et partager ses réflexions avec ses lecteurs. Les "Poésies, Odes, Stances" rassemblent les œuvres poétiques de Voltaire, qui abordent des thèmes variés tels que l'amour, la nature, la liberté et la beauté. Sa poésie est souvent empreinte de lyrisme et de sensualité, et il exprime également ses idées philosophiques à travers ce genre littéraire. Ce recueil reflète la diversité de l'œuvre de Voltaire et met en évidence son engagement en faveur de la liberté de pensée, de la tolérance et de la justice. Ses écrits ont eu une grande influence sur la littérature et la pensée de l'époque des Lumières, et continuent d'être étudiés et appréciés aujourd'hui. complet, volume in8, 18X12 relié demi cuir, qq frottements, très bel état intérieur, 512pp. Paris, F. Didot, 1876 Ref/adri ‎

‎Le Poète sans fard. Contenant Satires, Epitres et Epigrames (sic) , sur toutes sortes de sujets.‎

‎ Libreville, Chez Paul, disant vray, à l’Enseigne du Miroir qui ne flate point, 1698. In-12, sans faux-titre, (7) ff. ( titre , pièces liminaires]-222 pp. [note 1]- (2)ff.[table], veau glacé brun, dos à nerfs orné aux petits fers dorés, titre doré (reliure de l’époque ; coins choqués, petit manque à une coupe ; discrète mouillure in fine ; le f. 17/18 a été découpé [note 2]). Hors-texte, trois planches gravées, non signées : titre et deux faux-titres gravés. ‎

‎[note 1] Collation un peu compliquée. XXII Satires ; la XVII « Nostradamus ou l’Incrédule » et la XVIII « Contre les Atées (sic) »sont paginées de *1 à*XII. 24 Epitres, dont celles « au Père de LA CHAIZE Confesseur du Roy » et « à Monsieur ROUSSEL, Graveur des Médailles du Roy » avec leur pagination particulière (103*-106* et 141*-143*) ; la dernière est non chiffrée. Les « Epigrames » occupent la fin de l’ouvrage. François GACON (Lyon, 1667- prieuré de Baillon (Beaumont-sur-Oise, 1725) dut sa réputation à la vigueur de ses attaques contre Boileau-Despréaux, J .- B. Rousseau , Fontenelle et d’autres encore : « il y eut longtemps une guerre d’épigrammes – ordurières et injurieuses- entre Gacon et Pradon » ; ces deux-là détestaient Boileau, faisant mentir l’adage : les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Pourtant, ses vers ne sont pas mauvais et ils ne manquent d’esprit, comme en témoignent ces quelques extraits des Epigrames. Sur un homme de très petite taille, et qui étourdit les oreilles de son babil : « A petit corps, petit esprit // Petit cerveau, petit crédit », ou encore sur une Huguenote coquette, qui sur le retour se fit Catholique : « devenue vieille relique // Elle n’a plus de cours parmi les Protestans ». Il sait aussi être plus sérieux : le « Grand Arnaud (…) irréprochable // Dans sa Doctrine et dans ses mœurs // Trouva tant de persécuteurs// (…) Et peut être qu’un jour on le verra traité // En martyr de la vérité ». La parution de ce recueil lui valut quelques mois de prison. Michaud ( XV, 334 ). [note 2] Dans certains exemplaires de cette édition, la Satire II (A Boileau) a été remplacée : l’ablation du f. manquant est peut-être une forme de censure… L’édition originale, Cologne, 1696, a été réimprimée en 1697 ; la nôtre semble avoir une composition différente (Lachèvre, Biblio. de Gacon, f.Google). Auteur inconnu à Brunet, Tchemerzine-Scheler et Viollet-le-Duc. PROVENANCE : de la Bibliothèque du Marquis de GAILLON, avec son petit ex - libris circulaire, armorié, « à une aiglette en vol », collé en tête. Isidore Charles, vicomte , puis marquis VION de GAILLON (1813 - 1892) , auteur de quelques articles savants sur la littérature du XVII° siècle, parus, entre autres, dans le Bulletin du Bibliophile (circa 1850-1870) était certainement possesseur d’une belle bibliothèque, qui fut complétée par son fils Pierre ( 1865 - 1948 ), marquis de GAILLON en 1892. BUR(H4) ‎

‎Oeuvres en vers de M. Boileau-Despréaux, avec des éclaircissemens [sic] historiques donnés par lui-même. [comprenant :] Discours au Roi - Satires - Epitres - Art poétique - Le Lutrin - Odes - Sonnets - Epigrammes Poésies.‎

‎ A Genève, chez Fabri & Barrillot, 1724. 2 vol. au format in-12 (168 x 98 mm) de 1 f. bl., 2 ff. n.fol., xlvii - 288 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol., 487 pp. et 1 f. bl. Reliures uniformes de l'époque de plein veau moucheté havane, filet à froid encadrant les plats, dos à nerfs ornés de filets gras à froid, caissons d'encadrement dorés, larges fleurons dorés, semis de pointillés dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin vieux-rouge, titre doré, tomaison dorée, palette dorée en tête et queue, dentelle dorée sur les coupes, toutes tranches mouchetées.‎

‎ Ensemble renfermant 7 fines planches gravées, non signées (dont frontispice). Tome Ier et 2ème seuls (sur 4) ; cependant complets en tant que tels. Boileau est au XVIIème l'un des principaux théoriciens de l'esthétique classique en littérature, ce qui lui vaudra plus tard le surnom de «législateur du Parnasse». Il est l'un des chefs de file du clan des Anciens dans la querelle des Anciens et des Modernes, une polémique littéraire et artistique qui agite l'Académie française à la fin du XVIIe siècle, et qui oppose deux courants antagonistes sur leurs conceptions culturelles. Comme poète, Boileau entreprend de définir le goût, et cherche à fixer d'une manière claire et précise les lois et les ressources de la poésie classique. Prenant modèle auprès des grands poètes de l'Antiquité, qu'il défend et qu'il admire, il travaille avec une lente rigueur et cherche à ne pas être injuste dans ses satires. Malgré la prévention des philosophes du xviiiesiècle, Boileau est aujourd'hui encore souvent pris comme référence scolaire pour la justesse, la solidité et le goût, l'art de conserver à chaque genre la couleur qui lui est propre, l'objectivité dans ses tableaux comme dans ses jugements, l'art de faire valoir les mots par leur arrangement, de relever les petits détails, d'agrandir son sujet, d'enchâsser des pensées fortes et énergiques dans des vers harmonieux mais toujours dominés par la raison. Mme de Sévigné dit de lui "qu'il n'était vraiment cruel qu'en vers". Légères marques d'usage affectant les reliures. Feuillets légèrement oxydés. Présence de quelques rousseurs ou petites tâches dans le texte. Nonobstant, belle condition. Inversion de tomaison par le relieur. ‎