Bordas. 1983. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 125 pages. Couverture illustrée en couleur. Illustré de dessins noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 944.03-Histoire de France de 1589 à 1789
Reference : RO60023512
ISBN : 2040151907
Illustrations de Claude Gohërel. Classification Dewey : 944.03-Histoire de France de 1589 à 1789
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1976 1976. La Voix du Combattant La Fayette nous voila / N° 1415 1976 Référence interne: LBA 3
Bon état
Le Livre de Poche 1966 1966. Madame de la Fayette: La Princesse de Clèves/ Le Livre de Poche relié 1966 . Madame de la Fayette: La Princesse de Clèves/ Le Livre de Poche relié 1966
Très bon état
A La Cité Des Livres Paris 1925-1930 3 volumes in-8 ( 200 X 140 mm ) de XXVII-310, 328 et 277 pages, demi maroquin bronze à coins, dos à nerfs ornés de chainettes et filets dorés, têtes dorées, couvertures et dos conservés ( Reliure signée de FRANZ ). Très belle édition à l'impression soignée. Volumes non rognés. Oeuvres publiées d après les textes originaux avec une introduction et des notices par Robert LEJEUNE. Tirage à 1065 exemplaires numérotés, celui-ci 1 des 30 sur grand papier de Hollande. Très bel exemplaire, de cette série complète et bien reliée dans un beau maroquin.
Edition originale de ce roman précieux de Madame de La Fayette publié sous le nom de Segrais. Paris, Claude Barbin, 1669-1671. 2 volumes petit in-8 de : I/ 99 pp. pour la Lettre de Huet, (1) p., 441 pp., (1) p. ; II/ (2) ff., 536 pp. Plein maroquin bleu nuit, double filet à froid encadrant les plats, dos à nerfs ornés de filets à froid, double filet or sur les coupes, large roulette dorée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Niedrée. 160 x 100 mm.
Edition originale de ce roman précieux de Madame de La Fayette publié sous le nom de Segrais. Tchemerzine, III, 835 ; Brunet, III, 743. Exemplaire exceptionnel avec le titre du tome 1 à la date de 1669, état qu’aucun bibliographe n’a signalé. Marie-Madeleine Pioche de la Vergne épousa le comte de La Fayette en 1655. Ancienne habituée de l’Hôtel de Rambouillet elle se consacre elle-même à la littérature et aux relations mondaines en ouvrant en 1659 son salon de la Rue de Vaugirard aux membres de la haute société et aux « doctes » comme Ménage, Huet et Segrais. Ce milieu aristocratique et lettré perpétue ainsi dans ce qu’elle avait de plus heureux la tradition de l’Hôtel de Rambouillet. La comtesse de La Fayette, pour éviter les foudres de l’opinion, dut emprunter le nom de son ami Jean de Segrais pour publier successivement ‘La Princesse de Montpensier’ en 1662 et ‘Zaïde’ en 1670. Cette œuvre précieuse et romanesque due essentiellement au talent de la comtesse, suppose toutefois une collaboration des beaux esprits du salon de la rue de Vaugirard et notamment de Segrais et de La Rochefoucauld. « On sait que Segrais de son propre aveu ne contribua qu’à la construction du roman, auquel La Rochefoucauld d’après Madame de La Fayette, elle-même, communiqua un peu de son esprit ». (Tchemerzine). Lorsque le premier tome fut achevé Madame de La Fayette le remit à Pierre-Daniel Huet le fameux évêque d’Avranches au jugement duquel elle portait comme beaucoup de ses contemporains une grande confiance. « Je fis voir des lettres que Mme de La Fayette m’avait écrites dans ce temps qu’elle composait Zaÿde, par lesquelles elle m’envoyait ce roman pièce à pièce, pour l’examiner et lui dire mon avis, et y faire mes remarques… Elle n’en parle point comme l’ouvrage de M. de Segrais, mais comme étant d’elle. Outre que M. de Segrais, avec qui j’étais lié d’une amitié très étroite, logeant, mangeant et couchant presque toujours ensemble, n’aurait pas eu besoin de l’entremise de Mme de La Fayette pour me prier d’examiner son ouvrage. » (P. D. Huet, 19 octobre 1705). L’intrigue très romanesque des amours de Consalve, fils du comte de Castille et de Zayde, fille du prince musulman, se déroule au milieu de péripéties dignes du « Grand Cyrus » de Mademoiselle de Scudéry. Le style clair et simple surpasse celui des romans galants de l’époque et annonce la sobriété de « La Princesse de Clèves ». Superbe exemplaire de cette originale littéraire si évocatrice de la préciosité du XVIIe siècle. Revêtu d’une élégante reliure de Niedrée il provient de la bibliothèque Am. Berton.
Berger-Levrault, 1976, pt in-4°, 327 pp, une peinture sur toile inédite en couleurs représentant La Fayette en frontispice, 14 portraits et gravures sur 6 pl. hors texte, 8 tableaux généalogiques, annuaire de la descendance de La Fayette, biblio, index, broché, jaquette illustrée, bon état
La Fayette est à la fois, en lui-même, une institution et un phénomène social, dont le nom est l'un des plus connus du monde, sinon le plus prestigieux, parce qu'il est le symbole de la liberté pour tout un peuple, sinon pour tout un continent, voire pour le monde entier. Sa descendance, riche en hommes de valeur, donnera une pléïade d'hommes politiques : représentants du peuple, députés, sénateurs, ministres, conseillers généraux et maires, qui serviront la France à travers tous les régimes... — "Cet ouvrage exhaustif peut être considéré par sa richesse et sa clarté comme un modèle du genre. Il comporte d'abord une généalogie très complète des du Motier, maison d'origine chevaleresque, l'une des plus anciennes et des plus illustres d'Auvergne, depuis Pons Motier, seigneur de La Fayette, cité en l'an mil et père d'un Gilbert qui participa à la première croisade. Trois personnages brillent dans cette lignée d'un particulier éclat : un autre Gilbert qui fut comblé de faveurs par Charles VII et créé maréchal de France en 1420 ; Louise, sa descendante au septième degré, fille d'une Bourbon-Busset, qui inspira à Louis XIII un sentiment d'ailleurs partagé et, pour ne pas céder à une inclination coupable, prit le voile chez les religieuses de la Visitation ; Marie- Madeleine, comtesse de La Fayette, l'auteur de l'immortelle “Prìncesse de Cleves” dont l'unique petite-fille, avec laquelle s'éteignit la branche aînée, épousa en 1706 le duc de La Trémoille, et dont le fils avait substitué la branche cadette des Motier de Champetières, celle du général, aux nom et armes des La Fayette. Cette généalogie est suivie de celle de la maison de Noailles à laquelle appartenait l'épouse de Gilbert, Adrienne, l'une des filles du duc, puis de la filiation en ligne féminine de saint Louis jusqu'au héros de la guerre d'Indépendance, du tableau de ses seize quartiers, de l'héraldique de sa maison et de la généalogie de deux autres familles originaires de la même province mais dépourvues de tout lien du moins apparent avec les du Motier, les Calemard de La Fayette et les Alloues de La Fayette, aujourd'hui éteints. La seconde partie du livre est consacrée à la postérité de Gilbert et d'Adrienne, issue de leurs quatre enfants : Henriette, morte en bas âge, Anastasie, comtesse Charles de La Tour Maubourg, George-Washington, et Virginie, marquise de Lasteyrie. C'est parmi leurs très nombreux descendants que le jeu des alliances et le hasard des inégalités de fortune produiront ces saisissants contrastes qui donnent à de tels travaux leur intérêt psychosociologique. Ainsi, tandis que par les Perrone di San Martino, dont deux frères épousèrent deux sœurs La Tour Maubourg, et surtout par le mariage de l'une des filles avec un comte Rignon, Gilbert de La Fayette est maintenant l'ancêtre de princes Orsini, Pignatelli, Löwenstein-Wertheim-Rosenberg, d'archiducs de Habsbourg-Lorraine, de princes de Liechtenstein, de Prusse, d'Oettingen-Wallerstein, d'Orléans, Ruffo di Calabria et, depuis que Paola est devenue princesse de Liège, de Saxe-Cobourg-Gotha, la postérité de George-Washington est moins prestigieuse. Ses filles, qui seules firent souche, épousèrent l'une Adolphe Périer, (d'où Octavie mariée à Sigismond de Pourcet, baron de Sahune), la deuxième Maurice Bureaux de Pusy et la dernière le comte Gustave de Beaumont. Les Sahune et les Pusy furent autorisés à ajouter à leur patronyme le nom de La Fayette, les premiers par un décret de 1904, les seconds par un décret de 1928. L'auteur traite ensuite la question de la citoyenneté américaine de ses descendants. Gilbert, lors de son voyage triomphal aux Etats-Unis, reçut la nationalité de l'Etat de Maryland. Ce privilège fut étendu à ses héritiers mâles qui devinrent ainsi citoyens américians. Huit tableaux généalogiques, dont trois montrent les alliances des descendants de François II empereur d'Autriche, de Louis-Philippe et du roi Jérôme avec les siens, et la liste alphabétique – noms et adresses – de ces derniers, terminent ce travail considérable auquel ne manque pas la moindre date, et où chaque notice biographique, même sur des personnages secondaires, est particulièrement substantielle, travail qui a demandé à Arnaud Chaffanjon douze années de recherches." (Jacques de Ricaumont, Revue des Deux Mondes,