Henry Lemoine. Non daté. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 5 pages de partitions en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
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N° :8301 H. Classification Dewey : 780.26-Partitions
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Paris, Tresse et Stock, 1889. 725 g In-8, demi chagrin rouge, dos ornés à faux nerfs, tête dorée, xx-58-58-[1]-56-51-63-59-50-56 pp., [1] f.. L'auteur spécialisé en ouvrages de vulgarisation scientifique s'est également essayé au théâtre avec des pièces dont le contenu évoque la science, il a publié des comédies et des drames. Edition peu courante regroupant les comédies de Louis Figuier. Petits frottements et rousseurs. . (Catégories : Sciences, Théâtre, Littérature, )
Edition en partie originale des «Trois siècles de la littérature française» de l’Abbé Sabatier de Castres. La Haye et Paris, chez Moutard, 1779. 4 volumes au format in-12 de: I/ cvii pp. (pt. trou p. xxi), 387 pp.; II/ (1) f., 488 pp.; III/ (1) f., 454 pp.; IV/ (1) f., 443 pp., pte. déchirure ds. la marge blanche de la dernière p. Reliures en plein veau moucheté frappées sur les plats des armes de la reine Marie-Antoinette sous couronne royale dans un triple encadrement au petit fer or, dos lisse ornés de rinceaux et de glands, pièces de titre en maroquin vert, titres en lettres d’or, portent le cachet or «C.T.» (Château de Trianon) sous couronne royale pour le Petit Trianon, toutes tranches mouchetées. Reliures royales de l’époque. 167 x 99 mm.
Edition en partie originale des «Trois siècles de la littérature française» de l’Abbé Sabatier de Castres. Sabatier a souvent attaqué durement Voltaire dans Les Trois siècles. Voltaire, bien entendu, a vivement réagi. Il l'appelait l'abbé Sabotier (M, t. X, p. 197 ; t. XXIX, p. 39). Dans sa correspondance, il n'a pas de mots assez durs contre « le plus vil des scélérats » (D19090). Dans l’Épître dédicatoire aux Lois de Minos, Sabatier est considéré comme « l'écrivain le plus misérable et le plus bas » qu'on puisse imaginer (M, t. VII, p. 172). Sabatier n'était pas seulement opposé à Voltaire, mais à tout le mouvement des Lumières. Il s'agit d'une « Philosophie tyrannique et inconséquente [...] [qui] suffoque ou corrompt le germe du talent » (T.S., t. I, p. 1-2). Bref, la littérature nouvelle se caractérise par « un ton imposant, un style dogmatique, un jargon maniéré, des phrases sentencieuses, des sentiments enthousiastes, la répétition de ces mots parasites humanité, vertu, raison, tolérance, bonheur, esprit philosophique, amour du genre humain et mille autres termes qui sont devenus la sauvegarde des inepties » (Corr. litt., p. 241). Dans Les Trois siècles, Condorcet, Diderot, Duclos, Marmontel sont traités sans ménagement ; seuls Condillac et Rousseau trouvent grâce aux yeux de Sabatier, Rousseau surtout : « on ne peut lui disputer la gloire de l'éloquence et du génie et d'être l'écrivain le plus mâle, le plus profond, le plus sublime de ce siècle » (t. IV, p. 139). Les Trois siècles de la littérature française le rendirent célèbre, mais lui firent beaucoup d'ennemis. On contesta à Sabatier la paternité des Trois siècles. L'abbé Martin, vicaire de la paroisse Saint-André-des-Arts, chez qui Sabatier « allait tous les matins se styler et s'instruire » (M.S., 7 août 1774, t. VII, p. 225), était présenté par J. Lenoir-Duparc dans ses Observations sur les Trois siècles de la littérature française (1774) comme le véritable auteur. L'abbé Beaudoin, grand maître du collège du cardinal Lemoine, soutenait cette interprétation. L'affaire traîna en longueur et commença à se plaider au Châtelet en mai 1780, alors même que l'abbé Martin était mort entre temps. Finalement, une sentence du 4 juillet 1780 trancha l'affaire : Sabatier devra reconnaître par écrit que l'abbé Beaudoin est « un homme de probité et d'honneur » ; chaque partie devra renoncer à ses prétentions quant aux dommages et intérêts ; enfin, les frais de la sentence incomberont à Sabatier. Palissot se plaint, dans les Mémoires sur la littérature, d'avoir été plagié par Sabatier. Les Mémoires, dit-il, ont été « presque toujours pillés et déshonorés dans ce qu'il [Sabatier] a dit d'un peu raisonnable » (Palissot, t. V, p. 309). Sabatier s'en défend dans ses Articles inédits de la 7ème édition des Trois siècles, (p. 14-16). D'après les M.S., c'est grâce à la « réputation » que lui ont faite ses Trois siècles dans « le parti adverse » que Sabatier dut en janvier 1776 sa nomination de précepteur des enfants de Vergennes, ministre des Affaires étrangères. Précieux et fort bel exemplaire relié spécialement pour la bibliothèque personnelle de la Reine Marie-Antoinette au Château de Trianon. Marie-Antoinette encouragea les arts, en soutenant Gluck contre la cabale et la routine, les lettres, en protégeant Chamfort et Delille, et elle se montra, dans la longue agonie des mauvais jours, la digne fille de la grande Marie-Thérèse. Sa bibliothèque était une des plus considérables du temps, et si les pièces de théâtre, les romans, et parmi ceux-là, les petits livres à la mode, dont l’esprit de parti a cherché, de nos jours, à faire une sorte de scandale, bien qu’ils fussent alors entre les mains des femmes les plus honnêtes et les plus vertueuses, y figurent en grand nombre, il serait injuste d'oublier que les chefs-d’œuvre de l'esprit humain y tiennent la première place avec Pascal, Bossuet, Fénelon, Bourdaloue, Massillon, Boileau, Jean-Baptiste Rousseau, Corneille, Molière, Racine, Regnard, Voltaire, et tant d'autres, dont on retrouvera les noms en parcourant le catalogue. Les volumes qui garnissaient les armoires du petit Trianon sont restés, en grande partie, à Versailles ; quelques-uns sont venus grossir le riche contingent de la Bibliothèque Nationale, d'autres ont été transportés, lors de la création des écoles centrales de département, c'est-à-dire en 1795, à Périgueux et à Bourges, et versés plus tard dans les bibliothèques publiques. Ils sont modestement reliés en veau porphyre, granité de points noirs sur un fond rouge sombre qui passe, quelquefois, au violet foncé. Les plats, entourés d'un triple filet, portent au centre les armes de la reine ; sur le dos, se trouvent quelques fleurons, et, au bas, les initiales couronnées C.T. (Château de Trianon) sont poussées en or. Les tranches, de couleur blonde ou fauve pâle, sont pointillées de rouge. On rencontre également un grand nombre de volumes en demi- reliure, avec le dos et les coins en veau, fauve et les armes sur le papier. M. le baron Pichon nous a révélé les noms des ouvriers qui furent chargés de ce travail. Les reliures en veau sortaient des ateliers du marchand-papetier relieur, Fournier. Cet exemplaire figure sous le n° 554 du catalogue de la bibliothèque de la Reine Marie-Antoinette au Petit Trianon (P. Lacroix, 1863).
"A. BOURDIER. NON DATE. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 8 pages de texte (francais et anglais) + environ 50 planches photos sépias (papier légèrement cartonné, pages vierges au dos) - couverture tâchée - Mouillure en page de garde - pas de page de titre - ""Versailles"" inscrit en doré sur le 1er plat - 2 photos disponibles. . . A l'italienne. Classification Dewey : 728.8-Château"
Versailles - Le palais de Versailles et les trianons - galerie des batailles, salle du conseil, salon de la guerre, vestibule de la chapelle, la chapelle, la cour de marbre, bassin d'apollon, colonnade, palais du grand trianon, grand trianon, salon des malachites, petit trianon, salon de la pendule, bibliotheque, chambre de louis XV, salon de l'oeil de boeuf, chambre de loui xiv, galerie des glaces, pavillon de musique, laiterie marie antoinette, hameau de trianon maison de la reine, le moulin, temple de l'amour, chambre de marie antoinette, chambre de louis philippe, bassin de neptune, chambre de la reine victoria, salon de napoleon 1er, salle du jeu de paume, salle du jeu de paume, musee des voitures... Classification Dewey : 728.8-Château
Editions de l'Amateur, 1989, in-4°, 244 pp, préface de Yves Bottineau, nombreuses illustrations en noir et en couleurs, biblio, reliure toile gris-bleu de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, sans la jaquette, bon état
L'histoire détaillée du Petit Trianon à travers son mobilier, depuis sa création jusqu'à la chute de Louis-Philippe. Une description pièce par pièce du Palais à travers l’ameublement et la décoration sous l’Empire et la Restauration. — "Conçu pour la très intelligente Madame de Pompadour, mais habité par la charmante Madame du Barry, le Petit Trianon semblait devoir être le petit palais d'amours illicites. Louis XVI, cependant, le donna à Marie-Antoinette et la Reine lui conféra sa légitimité. En fait, cette légitimité s'accompagna du glissement vers les joies d'une société de privilégiés, choisis par la souveraine au détriment de la sagesse politique. Mais si délicats furent les plaisirs goûtés en ces lieux et si tragiques les événements vécus ensuite par la Reine et certains des siens que le château, le Théâtre, le Temple de l'Amour, le Belvédère et le Hameau paraissent n'avoir existé, de manière globale, que pour et par Marie-Antoinette. Pourtant, une jeune femme charmante, qui n'était pas née princesse, mais le devint par mariage, la sœur de Napoléon Ier, Pauline Borghèse, a vécu au Petit Trianon, puis l'impératrice Marie-Louise ; enfin, sous Louis-Philippe, le duc et la duchesse d'Orléans, héritiers du trône, y résidèrent. Madame Ledoux-Lebard possède cet art rare de respecter les sortilèges tout en les enrichissant de vérités supplémentaires et nécessaires. Elle ajoute à Trianon l'évocation des habitants du XIXe siècle. Cette évocation, elle la fait surgir, avec l'érudition qu'on lui admire, grâce aux inventaires ; les allées et venues entre les descriptions et les objets constituent des itinéraires auxquels elle excelle. Nous retrouvons ainsi, dans leur cadre de vie, en 1807, Pauline Borghèse, en 1810, Marie-Louise et, en 1839, le duc et la duchesse d'Orléans. Comment la remercier suffisamment de construire la science et même, ce faisant, d'offrir des supports au rêve ?" (Yves Bottineau, préface)
(Une incroyable "photo d'époque" des merveilles du Château de Versailles et de la vie de la Cour avant la Révolution, dans un rarissime exemplaire conservé dans sa brochure imprimée de l'époque) "ALMANACH DE VERSAILLES, ANNEE 1786 CONTENANT LA DESCRIPTION DU CHATEAU, DU PARC, DES JARDINS & DE LA VILLE DE VERSAILLES ; DU GRAND ET PETIT TRIANON & DE LA MENAGERIE ; LA MAISON DU ROI...". s.d. (1786), Versailles, Blaizot - Paris, Langlois, Deschamps, Froullé, Vve Valade. 1 volume in-16° (122x68 mm) (dimensions pages 122x68 mm) 380 pp. (y compris titre et avertissement), (2) ff. (A-Q12) Brochure bleu-grise imprimée de l'époque. Edition Originale pour l'année 1786, rare. Exemplaire tel que paru, dans sa brochure bleu-grise imprimée d'origine. Manque la couverture supérieure (identique à celle inférieure, conservée). Petits manques de papier en queue du dos et sur le mors de la couverture inférieure. Page du titre avec petits manques marginaux de papier et avec deux infimes atteintes à l'encadrement gravé. Quelques pages écornées et rares petites rousseurs, mais bel exemplaire, très rare en cette condition. Les exemplaires de l'Almanach de Versailles, publiés seulement de 1773 jusqu'à 1791, sont rares. Encore plus rares dans leur brochure d'origine. L'Almanach contient une briève histoire du château de Versailles (à partir du Rendez-vous de chasse de Louis XIII, quand "On était bien loin de prévoir alors ce qu'il devait être un jour" et quand "Louis XIV qui cherchait à créer des choses extraordinaires & à vaincre la nature, le trouva convenable à remplir ses vues"), un guide et une déscription de ses magnifiques salles, chambres et galerie, des principales peintures et oeuvres d'art, avec leurs mesures et leur précis emplacement, du parc, des bousquets et des statues, avec les noms des scuplteurs. Il nous renseigne aussi sur les travaux en cours (suppréssion et création de nouveaux bousquets avec déplacement des groupes de marbre, replantations, travaux dans les bassins d'eaux, reconstruction de la charpente au Trianon, etc.). Sur le Petit Trianon on apprend que "Ce petit Palais, situé à une des extrêmités du Parc du grand Trianon appartient à la Reine...", que "les jardins qui sont délicieux, ont été plantés en 1776. On les distingue en Jardin Français & Jardin Anglais...". Le Jardin Anglais "est terminé par un petit Hameau charmant, que sa Majesté vient d'y faire construire sur les dessins de M. Mique". Toute la Maison du Roi, de la Reine et des membres de la famille royale y est décrite, avec les charges et les offices, par semestre ou par quartier, et les noms des titulaires, à partir des personnages les plus importants jusqu'aux plus humbles garçons de service. On trouve enfin de précieuses informations sur la ville de Versailles qui "eft éclairée par quatre cent lanternes, réverberes : dix-huit Fontaines publiques fourniffent de l'eau aux Habitans", ses monuments, les bureaux de l'administration royale, les quartiers, les nomes des rues, les paroisses, les marchands et les marchés, les horaires des courriers et les postes de chevaux, etc. (LCPCVOY-0026) (230,00 €)
(Une incroyable "photo d'époque" des merveilles du Château de Versailles et de la vie de la Cour avant la Révolution, dans un rarissime exemplaire conservé dans sa brochure imprimée de l'époque) (www.cepays-ci.com)