HENRY LEMOINE. sans date. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 17 pages de partitions. papier à la forme. 1er plat tamponné.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50033349
3604 H. à Madame de Chezelles. partitions pour piano arrangée par Achille LEMOINE. Repertoire des Cours Laborde. Classification Dewey : 780.26-Partitions
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Paris, Flammarion 1980, 220x135mm, 217pages, broché. Couverture à rabats. Bon état.
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Paris, Librairie de France 1921-1925, 240x190mm, broché. Exemplaires numérotés sur papier Lafuma de Voiron. Bon état. Aucune tomaison n’est indiqué pour cette collection, lors de la parution en 1921, l’éditeur annoncait 12 tomes, il existe des variantes de tirage, notre exemplaire contient le Théâtre broché avec les Trois Contes sous la même couverture (pagination distincte), la même chose pour le Voyage en Orient qui se trouve broché avec le tome 4 de la correspondance, alors que dans d’autres tirage ces deux titres, Théâtre et Voyages ont parus séparément. Nous avons donc pour notre exemplaire 15 tomes en 13 volumes. Nous avons joint à la série le volume de Descharmes sur Bouvard et Pécuchet chez le même éditeur et aussi sous l’appellation Edition du Centenaire.
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Reference : alb74696d6f2f65e148
Education sentimentale. In English (ask us if in doubt)/Leducation sentimentale. Short description: In English (ask us if in doubt).History dun Jeune homme par Gustave Flaubert. fr. Education of Senses. A Story of a Young Man Paris Michel Levy Freres editeurs.Edited by Michel Levy 1870. Tome premier. 427c. In a case 21.0x14.0 cm. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb74696d6f2f65e148
Bel exemplaire à grandes marges, partiellement non rogné, conservé dans ses élégantes reliures de l’époque avec les couvertures bleues conservées. Paris, Michel Lévy, 1870. 2 volumes grand in-8 de : I/ (2) ff., 427 pp.; II/ (2) ff., 331 pp., 32 pp. (catalogue de l’éditeur). Qq. discrètes rousseurs. Demi-maroquin fauve de l’époque à coins, dos à nerfs ornés, tête dorée sur témoins, couvertures bleues et dos conservés. Reliure de l’époque signée de Marius Magnin. 227 x 149 mm.
Edition originale. Vicaire, Manuel de l’amateur de livres du XIXe siècle, 726. Histoire d’un jeune homme, commencée à la fin de 1863 et écrite de septembre 1864 à mai 1869, « L’Education sentimentale » a paru en novembre 1869. Bien que riche de nombre détails autobiographiques, l’œuvre n’a rien de commun avec le roman de jeunesse écrit sous ce titre en 1845. La présence enchanteresse de Madame Arnoux qui domine l’œuvre entière comme Madame Schlesinger domina la pensée de Flaubert font assurément de ce roman un témoignage irrécusable sur la vie sentimentale de l’écrivain, avec les interférences et les recoupements du rêve et de la réalité dont cette œuvre est le fruit amer et brûlant. Tissée de réel et d’imaginaire « L’Education » est aussi l’histoire morale des hommes qui vécurent sous la monarchie de juillet, et l’évocation de toute la vie parisienne de la cinquième décade du XIXe siècle, cette fermentation politique et sociale qui conduisit à la révolution de 1848 et au coup d’état. « Comment aujourd’hui ne pas reconnaître en ce livre flaubertien par excellence et en cette œuvre goethéenne par son ampleur, un des livres capitaux de la littérature moderne qui a vu, par la suite, tant de copies de ce héros mélancolique. Certaines pages comme celles décrivant la rencontre des deux amants, à la fin du roman, comptent parmi les plus pures et les plus lyriques de toute l’œuvre flaubertienne ». Bel exemplaire à grandes marges, partiellement non rogné, conservé dans ses élégantes reliures de l’époque avec les couvertures bleues conservées.
Paris, Mercure de France, (10 février) 1907. 1 vol. (120 x 185 mm) de 265 p. et 1 f. Bradel toile bleu ciel, pièce de titre, fleuron doré au dos, date en pied, tête dorée, couvertures conservées. Édition originale. Un des 29 exemplaires sur hollande (n° 19) - seul papier après 5 exemplaires sur Japon.
« Beaucoup de chefs-d’œuvre de Colette doivent aux lieux qui les inspirèrent. Ainsi Rozven et la Bretagne donnèrent naissance au Blé en herbe, La Treille muscate et la Provence à La Naissance du jour. La Retraite sentimentale est comme illuminée par la beauté et la poésie des Monts-Bouccons, propriété située près de Besançon que Willy avait offerte à Colette en 1901 et que le couple conserva jusqu’en 1905 […]Il vient véritablement clore le cycle des Claudine. Annie, l’héroïne de Claudine s’en va, et Claudine sont réfugiées à Casamène – transposition romanesque des Monts-Bouccons – alors que Renaud, l’un des modèles de Willy, s’éteint peu à peu et meurt à Paris » (notice sur le site des Amis de Colette au sujet de La Retraite sentimentale). Colette avait épousé Henry Gauthiers-Villars, dit Willy, en 1893, avant de divorcer d’avec son Pygmalion cavalier en 1906 et de publier l’année suivante ce premier roman, plus grave et plus profond que les précédents, signé de son seul nom. Octave Mirbeau en saluera « les trente dernières pages, belles comme L’Ecclésiaste ». Cet opus est le dernier à mettre Claudine en scène et marque la transition entre la première période de Colette et son œuvre future, laissant son héroïne revenir dans sa maison natale de Montigny-en-Fresnois – double romanesque de Saint-Sauveur-en-Puisaye –, entourée de ses bêtes et découvrant, dans ses jardins retrouvés, de nouvelles raisons d’espérer : « Quelle amertume d’abord, – mais quel apaisement ensuite ! – de découvrir, – un jour où le printemps tremble encore de froid, de malaise et d’espoir, – que rien n’a changé, ni l’odeur de la terre, ni le frisson du ruisseau, ni la forme, en boutons de roses, des bourgeons du marronnier… Se pencher, étonnée, sur la petite coupe filigranée des anémones sauvages, vers le tapis innombrable des violettes, – sont-elles mauves, sont-elles bleues ? – caresser du regard la forme inoubliée des montagnes, boire d’un soupir qui hésite le vin piquant d’un nouveau soleil, – revivre ! revivre ! avec un peu de honte, puis avec plus de confiance, retrouver la force, retrouver la présence même de l’absent dans tout ce qu’il y a d’intact, d’inévitable, d’imprévu et de serein dans la marche des heures, dans le décor des saisons… » Bel exemplaire.