SALABERT. sans date. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 74 pages de partitions dont 9 de partitions textes et paroles. 1er plan illustré par POUSSE.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50033304
"E.A..S 8617. Fox-trot du film ""PROFESSEUR CUPIDON"". Partitions pour piano-conducteur, violini-conducteur, violoncello, flute, clarinette, tromba (cornet ou trompette), violini-conducteur, banjo, saxophone alto et tenor, contrebasse Classification Dewey : 780.26-Partitions"
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Ondet 1912
Etat moyen Petit format
n° 364 - Juin 1953 - nouvelle série - revue illustrée - in-4 broché - 32 pages
bon état
Doll Tania - Verdun Henry - Pothier Charles L.,Dolley Georges
Reference : 7595
(1933)
Salabert 1933
Bon état Petit format
3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents
Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents
Années 1980 à 2000. 1980 4 chemises cartonnées à rabats ( 460 x 330 mm, 400 x 300 mm, 320 x 240 mm, 330 x 260 mm) contenant: I. Pomme dApi : Dossier de 4 pochettes desquisses et dessins au crayon, au pastel, au feutre, à laquarelle et de textes manuscrits, calques, maquettes montées, planches inédites en couleur... II. Catimini : 10 dessins originaux en couleur montés sous passe-partout ; III. Catimini : dossier de 5 chemises de dessins et maquettes titrées « Petite fille, Petit garçon, La mer est mouillée, inédits, divers » de dessins préparatoires en noir et en couleur, maquettes, manuscrits à lencre et au crayon ; IV. Maquette originale du livre « Saperli et Popette », 29 compositions au crayon de couleur, au feutre, au pastel, à la gouache, encartés dans un bristol noir. Sont joints: « La mer est très mouillée », 1988 et « Saperli et Popette », 1994. Emboitatage de rangement, dos de toile noire avec étiquette de titrage en couleur, plats recouverts de papier marbré noir et vert, rabats recouversts de toile écrue, élastics de fermeture.
Importantes archives dElzbieta, artiste et écrivaine française dorigine polonaise autrice de contes et dhistoires, ensemble de travaux originaux constitué de dessins, manuscrits et maquettes de ses publications pour la jeunesse des années 1980 aux années 2000 consacrés à plusieurs de ses personnages. Elzbieta Violet, de son nom de plume Elzbieta (1936-2018) nait en Pologne dune française et dun père polonais disparu au cours des années de guerre. Durant son enfance, elle apprend 5 langues en vivant successivement en Pologne, en Alsace occupée, en Angleterre, avant d'habiter à Paris chez un oncle polonais blanchisseur qui l'exploitait, comme elle le raconte dans « La Nostalgie aborigène » (2008). Elle est lautrice de plusieurs ouvrages mettant en perspective son activité d'auteure et d'illustratrice jeunesse, et le rôle que les contes ont joué dans sa propre enfance et son parcours d'artiste. « Je dois à l'histoire de Blanche-Neige des frères Grimm, sans fin revisitée en secret, d'avoir été pourvue d'un talisman protecteur qui m'a permis, au milieu de circonstances difficiles, de ne jamais perdre entièrement confiance. » Dans un de ses carnets de notes, elle a écrit : « Que disent les contes ? Désir denfants et stérilité, haine des parents envers leur progéniture, honte de navoir que des filles, mauvais fils-Parents sen débarrassent ; Enfant chassé par sa mère recueilli par papy ogre, il finit par faire battre sa mère par son bâton magique » Son ogre à elle fut cet oncle Polonais qui la traitée comme une domestique. Découverte en 1972 par la magie sans paroles de « Petit Mops », une taupe déroulant sa sensibilité au bout d'un fil de crayon noir, elle a depuis multiplié les personnages (rarement humains, toujours humbles et obstinés) et les techniques (aquarelles sur papier japonais, croquis aux traits dédoublés). Les albums d'Elzbieta sont des autobiographies déguisées, d'une grande splendeur visuelle, porteuses d'un insondable secret. Elzbieta écrit les textes qu'elle illustre et elle est aussi peintre et photographe. Elle reçoit le Prix Sorcières en 1994 pour Flon-Flon et Musette. Elle est sélectionnée pour le prix commémoratif Astrid Lindgren (« Astrid Lindgren memorial award » ALMA) en 2006 et en 2008. En 2012, elle obtient le Prix Spécial du Prix Sorcières. Dans une interview réalisée par Telerama en 2014 dans son petit atelier parisien, elle disait « Expliquer ce qu'il faut penser, comprendre, ressentir devant une uvre d'art n'est pas toujours utile. Les enfants le savent. J'admire leur capacité à voyager en silence dans leur propre pensée intime. Mon principal mode de communication, en tant qu'artiste, c'est le non-dit. Elle explique ensuite son choix dêtre artiste. « On peut parler de vocation. J'avais toujours décidé d'être artiste, mais je ne savais pas en quoi cela consistait. Je pensais que j'allais le découvrir au fur et à mesure, et ça s'est passé comme ça. Je savais que ça serait fabuleux, je n'imaginais pas que ce serait aussi difficile. Je m'aperçois aujourd'hui que j'ai eu une vraie vie d'artiste ». [et plus loin:] « Peut-être que les enfants nous sauveront tous un jour si on apprend à les regarder. Les présentes archives réunissent des dossiers annotés de sa main contenant des centaines de dessins et de pages manuscrites qui permettent de comprendre la genèse de son travail décrivaine et dartiste, la création de ses personnages, les découpages, la mise en couleur, le montage des maquettes, lécriture des textes. Ils sont consacrés à quelques-uns de personnages favoris : Catimini, Petite fille, Petit garçon, La mer est mouillée, Saperli et Popette parus dans Pomme dApi ou en album, ainsi que des inédits. Les parcourir est un véritable voyage au pays des contes. 4 cardboard folders with flaps (460 x 330 mm, 400 x 300 mm, 320 x 240 mm, 330 x 260 mm) containing: I. Pomme dApi: Folder of 4 pockets of sketches and drawings in pencil, pastel, felt-tip pen, watercolor and handwritten texts, tracing papers, mounted models, unpublished color plates... II. Catimini: 10 original color drawings mounted under a mat; III. Catimini: Folder of 5 folders of drawings and models titled Petite fille, Petit garçon, La mer est mouillée, unpublished, miscellaneous of preparatory drawings in black and color, models, manuscripts in ink and pencil; IV. Original model of the book Saperli et Popette, 29 compositions in colored pencil, felt-tip pen, pastel, gouache, inserted in a black Bristol board. In total several hundred drawings, sketches, handwritten pages. Included, 2 printed books: La mer est mouillée, 1988 and Saperli et Popette, 1994. Storage box, black canvas spine with colored title label, covers covered in black and green marbled paper, flaps covered in unbleached canvas, elastic closures. Important archives of Elzbieta, a French artist and writer of Polish origin, author of tales and stories, a collection of original works consisting of drawings, manuscripts and models of her publications for young people from the 1980s to the 2000s devoted to several of her characters. Elzbieta Violet, whose pen name is Elzbieta (1936-2018) was born in Poland to a French woman and a Polish father who disappeared during the war years. During her childhood, she learned 5 languages while living successively in Poland, occupied Alsace, and England, before living in Paris with a Polish uncle who was a laundryman who exploited her, as she recounts in "La Nostalgie aborigène" (2008). She is the author of several works that put into perspective her activity as a children's author and illustrator, and the role that tales played in her own childhood and her career as an artist. "I owe to the story of Snow White by the Brothers Grimm, endlessly revisited in secret, having been provided with a protective talisman that allowed me, in the midst of difficult circumstances, to never completely lose confidence." In one of her notebooks, she wrote: "What do the tales say? Desire for children and sterility, hatred of parents towards their offspring, shame of having only girls, bad sons-Parents get rid of them; Child chased away by his mother taken in by grandpa ogre, he ends up having his mother beaten by her magic stick" ... Her ogre was this Polish uncle who treated her like a servant. Discovered in 1972 by the wordless magic of "Petit Mops", a mole unrolling its sensitivity at the end of a black pencil thread, she has since multiplied the characters (rarely human, always humble and stubborn) and the techniques (watercolors on Japanese paper, sketches with double lines). Elzbieta's albums are disguised autobiographies, of great visual splendor, carrying an unfathomable secret. Elzbieta writes the texts that she illustrates and she is also a painter and photographer. She received the Prix Sorcières in 1994 for Flon-Flon and Musette. She was selected for the Astrid Lindgren memorial award (ALMA) in 2006 and 2008. In 2012, she received the Prix Spécial du Prix Sorcières. In an interview conducted by Telerama in 2014 in her small Parisian studio, she said, Explaining what to think, understand, feel in front of a work of art is not always useful. Children know this. I admire their ability to travel silently in their own intimate thoughts. My main mode of communication, as an artist, is the unspoken. She then explains her choice to be an artist. We can talk about a vocation. I had always decided to be an artist, but I didnt know what it was. I thought I would discover it as I went along, and thats how it happened. I knew it would be fabulous, I didnt imagine it would be so difficult. I realize today that I have had a real life as an artist. [and further:] Maybe children will save us all one day if we learn to look at them. These archives bring together files annotated by her hand containing hundreds of drawings and handwritten pages that allow us to understand the genesis of her work as a writer and artist, the creation of her characters, the cutting, the coloring, the assembly of the models, the writing of the texts. They are devoted to some of her favorite characters: Catimini, Petite fille, Petit garçon, La mer est mouillée, Saperli et Popette published in Pomme dApi or in albums, as well as unpublished works. Browsing through them is a real journey to the land of tales.
Phone number : 06 81 35 73 35