M.P. BELAIEFF. 1912. In-4. En feuillets. Bon état, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 7 pages. Quelques petites déchirures.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50030378
907 910. Op. 1, n°3. Partitions pour piano et chant en russe, en français et en allemand. Classification Dewey : 780.26-Partitions
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Coll. "Histoire et civilisations - Histoire", Lille, éd. Presses Universitaires du Septentrion, 2003, EDITION ORIGINALE, in-8, cartonnage souple, couv. ill. coul. éd., 448 pp., très nb. photos en noir, préface de Michelle Perrot, bibliographie, index des transports de "l'Iphigénie", annexes, chronologie, "De 1863 à 1931, la Nouvelle-Calédonie est connue sous le nom de « la Nouvelle ». Vingt-deux mille transportés des travaux forcés, plus de 4 000 déportés politiques, surtout de la Commune de Paris, près de 4 000 relégués, en majorité récidivistes de délits mineurs, auxquels il faut ajouter plus de 1 000 femmes transportées ou reléguées y débarquent, faisant de cette terre kanake du Pacifique Sud, l'archipel des forçats. Louis-José Barbançon retrace l'histoire de la Transportation des forçats à « la Nouvelle ». Une histoire vécue à travers l'exemple du premier convoi de 250 forçats de l'Iphigénie, arrivés dès 1864. Comme l'écrit l'auteur: « dans un pays d'immigration, l'importance dévolue aux premiers arrivés, pionniers volontaires ou malgré eux, reste une dominante de la conscience collective. On a les Mayflower qu'on peut ». Il s'agit par une étude exhaustive des dossiers individuels de ces premiers transportés de retrouver leurs origines et de découvrir leur vie et leur devenir dans la colonie pénitentiaire. Ce ne sont pas des forçats virtuels qui sont mis en scène mais bien des hommes de chair et de sang replacés dans le contexte historique d'une terre de bagne, face à la répression ou à la réhabilitation. L'originalité de ce travail tient dans le fait qu'au-delà des lois, des statistiques, de la chronologie, l'auteur tente de donner la parole à des femmes et à des hommes de rien dont il est lui-même originaire, faisant accéder ces oubliés de toujours, comme l'écrit en préface Michelle Perrot « à la dignité de l'Histoire ». Pas courant Très bon état du papier; la couverture est très légèrement défraîchie
Angers Imprimerie de Cornilleau et Maige 1842 in-12 broché sous couverture imprimée
titre, ij et 163 pp.Voir Bourquelot VI, 366. Ouvrage peu commun, encore que classique, un des premiers à vulgariser des notions pas trop fausses sur la transportation à la française. La première édition était parue la même année 1842, mais à l'adresse d'Angoulême. Paul Sers était à la fois un membre de l'administration pénitentiaire et un écrivain très averti du goût du public, comme il le confesse dans son introduction, qui pourrait servir d'exergue à bien des revues modernes : "La vie des grands criminels a toujours excité une curiosité extrême dans toutes les contrées de la terre". Aussi son ouvrage est-il quand même plus centré sur la vie des criminels (nombreuses anecdotes) que sur les conditions de leur détention :Transport des galériens, admission des condamnés dans les bagnes, division des condamnés, habillement, ferrage, nourriture, coucher, travail, argent en dépôt, douceurs accordées aux condamnés, punitions, maladies, septuagénaires et aliénés, décès, libération, chiffre des forçats, dépenses de la chiourme, initiation du nouveau venu aux secrets des forçats, argot, moyens d'évasion, signes de reconnaissance, correspondances secrètes des condamnés et assistance qu'ils reçoivent du dehors, industrie des forçats, industrie criminelle, récréations permises, affection des forçats, projet d'évasion, de la banqueroute, derniers jours d'un condamné au bagne, surveillance des bagnes, évasion, crimes, réflexions, le "Pirate", "Collet", anecdote historique
1726 1726 Marseille ?Toulon 1726,IN folio ,4 p.,historique et reglement
bon etat,un peu jauni,plis
S.l., s.d. (vers 1790) in-folio, [22] ff. n. ch., couverts à mi-page droite d'une écriture moyenne et très lisible (environ 20 lignes par page), demi-basane Bradel bordeaux à coins, dos orné de C entrelacés (reliure moderne). Petites épidermures au dos.
Non daté, non localisé, ce projet de règlement pénitentiaire apparaît singulièrement abstrait, voire théorique (à aucun moment, on ne sait de quelle hiérarchie relève l'établissement) ; il semble cependant bien accompagner le mouvement de réflexion juridique et sociale sur la détention, ses règles et ses conditions, qui, pour culminer sous la Monarchie de Juillet, occupe la fin du XVIIIe siècle et tout le premier XIXe siècle, à la suite de l'"invention" progressive de la prison comme peine, sinon exclusive (il faudra attendre le XXe siècle), du moins prépondérante.Son contenu est attendu : la gestion des bagnes et de ses occupants. Il aborde dans un premier temps la gestion administrative des bagnes, proposant la division des condamnés en escouades de 36 hommes, chacune dirigée par un argousin et deux sous-argousins, qui "répondront à un chef et à un sous-chef". L'uniforme et la fonction de chaque type de surveillant sont détaillés. Viennent ensuite les questions relatives à la surveillance des forçats et à leur condition de détention : "Tous les forçats auront la teste et la brabe razée et porteront un habillement uniforme ainsy qu' il sera reglé afin que si quelqu'un deux s'echape il ne puisse etre meconnu, et pour plus de sureté ceux qui auront été condamnés a perpétuité seront marqués à leur arrivée dans le lieu de la chaisne d'une fleur de lys à l'épaule droite avec un fer chaud afin que quelque part qu' ils puissent aller on les reconnoisse a cette flétrissure". Les autres sujets abordés concernent la vie quotidienne des détenus, leur nourriture, habillement, enregistrement, déplacements, travaux, le traitement des forçats malades et invalides, la pratique religieuse. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Chez Baillière, 1841 in-8, VIII-464 pp., demi-basane violine, dos lisse, filets dorés (rel. de l'époque). Petite tache angulaire à qqs feuillets, un cahier un peu déboité, sinon bon exemplaire.
Dans cette étude, Hubert Lauvergne, médecin chef de l'hôpital du bagne de Toulon, examine, en autant de chapitres, "les diverses classes ou catégories de forçats condamnés pour meurtres, assassinats, vols, faux ou viols" et tente "d'établir les différences qui existent entre ces diverses espèces de crimes, et les liaisons qu'ils peuvent avoir entre eux." (p. VI-VII). Important chapitre sur les forçats corses.Rare. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT