A la Chanson Parisienne. XXème. In-8. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Pliures. Non paginé. 3 pages environ.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50029156
Partitions pour chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions
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13,2 x 20,6 Paris 1863 1. "Tarbes, le 28 septembre 1863. Mon cher voisin, Rien ne me serait plus agréable que de recevoir votre bonne visite et si vous voulez me la faire, j'espère que vous me donnerez un peu plus de temps et que vous passerez au moins une nuit chez moi. Recevez, mon cher député et ami, l'assurance de mes sentiments bien dévoués. Achille Fould." 2. En-tête du Ministère des finances - Cabinet du Ministre. "Paris le 5 novembre 1864. Mon cher député, Je suis heureux d'être auprès de vous l'interprète des sentiments de l'Empereur. Sa Majesté en témoignage de sa haute satisfaction de la manière dont vous avez accompli votre mission au Mexique vous a élevé au grade de commandeur de la légion d'honneur. Mon collège le Ministre d'Etat doit présenter à la signature de l'Empereur le décret qui vous confère cette distinction. Je ne puis rien ajouter en mon nom après cet acte souverain, mais j'ai grand plaisir à me dire que je conserverai toujours une profonde impression des services que vous avez rendus. J'aime à croire que vous en rendrez encore dans un pays où vous avez su conquérir la confiance du souverain et l'estime de tout le monde. Recevez mon cher député l'assurance de ma sincère amitié. Achille Fould. A Monsieur Corta, membre du Corps législatif." 3. "Trouville le 1er août 1865." - "Mon cher Collègue, C'est avec un grand plaisir que je commence ainsi ma lettre. Vous connaissez mes sentiments et je n'ai pas besoin de vous dire combien j'ai été heureux de lire le décret qui vous appelle au Sénat. ..tous les jours le Moniteur avec une certaine impatience. Enfin la chose est faite et j'espère que l'élection ne rencontrera pas de difficultés. Après avoir passé quelques jours à Vichy, je suis venu retrouver Mme Fould et je la quitte demain. Je retournerai à Paris où je pense rester jusqu'au 10 et me dirigerai vers les Pyrénées. Mr. de Germiny a préparé la convention du premier emprunt mexicain et doit m'en parler à mon passage à Paris. Je verrai aussi à cette occasion M. Langlois qui ne part que le 15 sept. pour Mexico et qui se propose d'aller causer avec vous chez moi. Il s'initie en attendant à la situation et a pu l'étudier sur les documents du Ministère des affaires étrangères et sur les nôtres. Recevez encore une fois, mon cher Collègue, mes félicitations, et croyez à ma sincère amitié. Achille Fould. Ecrivez moi quelques lignes à Paris et dites moi quelles nouvelles vous avez eu du Mexique par le dernier paquebot, celles que j'ai reçues ne sont pas défavorables mais je trouve qu'elles laissent beaucoup à désirer. M. Bonnefonds était mieux. Il a dû embarquer le 15 juillet." 4. En-tête du Ministère des finances - Cabinet du Ministre. "Paris le 29 décembre 1865. Monsieur Corta, Sénateur. Mon cher Collègue et ami. Je suis très touché de ce que vous me dites d'aimable et d'encourageant à l'occasion de mon dernier rapport à l'Empereur. Vous savez tout le prix que j'attache à votre opinion et à votre jugement. Je n'ai donc pu qu'être infiniment sensible à l'approbation si complète que vous voulez bien donner à mes idées. Recevez en tous mes remerciements. On parle du 22 janvier comme devant être l'époque fixée pour l'ouverture de la session. Croyez mon cher Collègue et ami, à mes sentiments bien dévoués. Achille Fould." 5. "Paris, le 19 janvier 1866. Mon cher Collègue. Si vous avez un moment ce matin, vous seriez bien aimable de venir me voir avant une heure. Mille et mille bonnes amitiés. Achille Fould." 6. Aux Eaux bonnes, le 25 août 1866. Mon cher collège et ami. J'ai reçu votre bonne lettre au moment où j'allais partir pour les Eaux bonnes. Elle m'a vivement intéressé. J'espère que les dispositions dans lesquelles j'ai laissé l'Empereur ne se sont pas modifiées et que l'Impératrice Charlotte aura apprécié les sages conseils que vous lui avez donnés. J'ai ...à M. le cte de Germiny au sujet de la réclamation des diplomates mexicains et je crois qu'il y fera droit au moins en partie. Le désir de profiter de mon congé que je crains de ne pouvoir prolonger autant que je le voudrais me décide de ne pas retourner à Tarbes pour la réunion du Conseil Général. Votre collègue Lacaze voudra bien me remplacer. J'espère que ce changement dans mes projets ne me privera pas de votre visite à Tarbes, où je serai le 10 ou 11 septembre pour quelques jours. Je n'ose vous demander de pousser jusqu'ici, enfin de quelques façons que ce soit, je serai charmé de vous voir. Ma santé commence à se bien ...du calme et du bon air. Tout à vous...Achille Fould." 7. Paris, le 25 septembre 1866. Mon cher Collègue et ami. J'ai reçu vos deux lettres du 23 et du 24 avec les correspondances de Mexico que vous avez bien voulu me communiquer. Je n'ai pas manqué de lire ces correspondances avec bien de l'intérêt quoiqu'elles n'aient pu nous apprendre rien de nouveau sur la crise dont tout le monde s'entretient en ce moment. En effet vos lettres comme celles que nous avons reçues nous mêmes sont datées des 15 au 20 octobre et les nouvelles venues par les Etats-Unis sont des premiers jours de novembre. Nous ne pourrons donc savoir à quoi nous en tenir positivement sur le contenu de ces dépêches que vers la fin du mois. Il est bien probable cependant, comme tout le laissait pressentir, qu'elles se confirmeront et que l'on est arrivé à la crise qui doit mettre un terme à cette malheureuse affaire du Mexique. Aussitôt que j'aurais appris quelque chose de positif je m'empresserai de vous en informer. Je prends bien part à vos inquiétude pour M. votre fils, mais j'espère que vous ne tarderez pas à le revoir. Quant aux bruits d'emprunt que l'on a fait courir, il y a quelques temps et qui, vous l'avez vu, n'avaient aucun fondement, je vous remercie de ce que vous voulez bien me dire d'aimable à ce sujet. Aujourd'hui, grâce à Dieu, il n'est plus question de cela et tout le monde, je crois, est d'accord sur le système financier à.suivre. Il est certain que l'état satisfaisant des revenus permettra de suffire à toutes les exigences de la situation. Je m'occupe activement en ce moment de la préparation du budget et du rapport que j'ai l'habitude d'adresser tous les ans à l'Empereur sur les Finances. En attendant le plaisir de vous revoir, je vous renouvelle mon cher Collègue et ami, l'assurance de mes sentiments bien dévoués. Achille Fould." 8. "Paris, le 24 décembre 1866. Mon cher Collègue et ami, Je vous remercie de ce que vous voulez bien me dire ua sujet de mon rapport. Je suis d'autant plus satisfait de la manière dont vous l'appréciez que j'attache, vous le savez, beaucoup d'importance à votre opinion. Je vous remercie aussi de l'empressement que vous avez mis à me faire part du mariage de Melle votre fille. Je n'ai pas besoin de vous exprimer tous les voeux que je forme pour son bonheur et le vôtre par conséquent. Il me semble d'ailleurs, d'après de ce vous me dites de votre futur gendre que ce mariage présente toute garantie de convenance et de position. Veuillez donc recevoir, mon cher ami, et faire agréer à Mme Corta mes sincères félicitations. Je crois qu'il sera très à propos que vous écriviez à S.M. l'Impératrice à cette occasion. Les dernières nouvelles que nous avons reçues du Mexique sont bien peu satisfaisantes. L'Empereur Maximilien était toujours dans la même indécision et je crains bien que ces hésitations n'aient pour effet de compliquer la crise. Je ne sais rien encore au sujet de la Convocation des Chambres, mais l'époque de leur réunion ne peut pas être bien éloignée et je me réjouirai de vous revoir. Croyez, mon cher Collège et ami, à mes sentiments bien dévoués. Achille Fould. Je ne crois pas que le Corps législatif et le Sénat soient convoqués avant un mois. Rien n'est fixé à cet égard." 9. [Courrier non daté] "Mercredi matin 12 avril. Mon cher Monsieur Corta, Je ne puis assez vous dire assez combien j'ai été satisfait de votre discours si complet, si lucide, si plein de bons arguments. Je suis sûr qu'il exercera une influence très utile et très opportune sur la cause à laquelle vous avez déjà rendu de si éminents services. Votre bien dévoué, Achille Fould." 10. [Courrier non daté] "Samedi 20 mai. Mon cher Monsieur Corta. J'ai trouvé hier en rentrant la lettre de M. G... que vous m'avez laissée. Si vous voulez en causer, vous me trouverez aujourd'hui à une heure. En attendant le plaisir ici de vous voir, je vous offre l'assurance de ma bien sincère amitiés. Achille Fould." Elu conseiller général de Tarbes, puis député des Hautes-Pyrénées sous la Monarchie de Juillet, Achille Fould en tant que Ministre des Finances de Napoléon III de 1861 à 1863, est au centre du pouvoir impérial. Aux Finances, Fould a été le défenseur de l'orthodoxie budgétaire, qu'il prône dans chacun de ses rapports annuels à l'Empereur, d'où sa prudence à l'égard de l'expédition du Mexique (1861-1867). Charles Corta (1805-1870) était un député landais bonapartiste, proche de Napoléon III. Membre de la commission du Budget au Corps législatif, il avait été envoyé en 1864, dans le cadre de l'expédition du Mexique, en mission à Mexico comme expert financier, afin de contribuer à l'organisation du gouvernement mexicain et au développement de la présence française. Il revint en France en septembre 1864 et participa en novembre 1864 à Compiègne à une conférence sur la délicate situation mexicaine qui réunissait Napoléon III, le roi des Belges et Achille Fould. il est nommé officier puis commandeur de la Légion d'honneur. En 1865, en récompense de ses services, il est élevé au rang de sénateur. Cette série de lettres montrent la proximité des deux hommes et laisse transparaitre la montée des périls, militaires et financiers, à Mexico. L'Empereur Maximilien fut fait prisonnier à Queretaro et exécuté en juin 1867. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Dargaud Editeur 1980 47 pages in-4. 1980. relié. 47 pages. In-4 (320x240 mm) 46+46+47+47+47 pages. Exemplaire relié Skyvertex décoré. Achille Talon Cerveau-Choc Achille Talon persiste et signe Achille Talon Mon fils à moi L'indispensable Achille Talon Achille Talon au pouvoir.Illustrations en couleurs. Dorures un peu estompées au dos sinon très bon état général. Poids : 1330 gr
Dargaud Editeur 1982 47 pages in-4. 1982. relié. 47 pages. In-4 (320x240 mm) 47+47+47+47+47 pages. Exemplaire relié Skyvertex décoré. Greg**. Les insolences d'Achille Talo Achille Talon méprise l'obstacle Les petits desseins d'Achille Talon Achille Talon le roi de la science-fiction Brave et honnête Achille Talon. Illustrations en noir et en couleurs (essentiellement en couleurs). Très bon état général avec les dorures au dos un peu estompées. Poids : 1310 gr
8 brochures in-8 sous couv. postérieures : Documents Financiers, 70 pp. [ 14 novembre 1861 ] [On joint : ] Rapport n° 1 Session de 1861. Sénat. Séance du mardi 17 décembre 1861. Rapport fit par M. le Premier Président Troplong au nom de la Commission chargée d'examiner le projet de Sénatus-Consulte portant modification des articles 4 et 12 du Sénatus-Consulte du 25 décembre 1852, 77 pp. [On joint : ] Discours de M. Achille Fould, Sénateur, Ministre des Finances, dans la délibération sur le projet de Sénatus-Consulte portant modification des articles 4 et 12 du Sénatus-Consulte du 25 décembre 1852, couv. cons., Extrait du Moniteur Universel, du 21 décembre 1861, Typographie E. Panckoucke et Cie, Paris, 1861, 19 pp. [On joint : ] Rapport à l'Empereur sur les Finances, Extrait du Moniteur Universel, du 28 décembre 1862, Typographie Panckoucke, 17 pp. [On joint : ] Rapport adressé à l'Empereur sur les Finances, Extrait du Moniteur Universel, du 22 janvier 1862, Typographie Panckoucke, 39 pp. [On joint : ] Rapport adressé à l'Empereur sur les Finances, Extrait du Moniteur Universel, du 3 décembre 1863, Typographie Panckoucke, 16 pp. [On joint : ] Achille Fould : Rapport adressé à l'Empereur sur la conversion facultative des renets 4 1/2, 4% et des Obligations du Trésor, couv. cons., Typographie E. Panckoucke et Cie, Paris, 1862, 8 pp. [On joint : ] Discours de M. Achille Fould, Sénateur, Ministre des Finances, Séance du 24 mars 1862, couv. cons., Extrait du Moniteur Universel, du 25 mars 1863, Typographie E. Panckoucke et Cie, Paris, 1863, 19 pp.
Rares réunions de 8 tirés-à-part relatifs au finances du Second Empire de 1861 à 1863. Achille Marcus Fould (1861-1867) fut Ministre des Finances de Napoléon III, du 14 novembre 1861 au 20 janvier 1867. Bon ensemble, non séparable.
Moulins, Desrosiers, 1833-1838. 2 volumes in-folio (31 x 46 cm) & un atlas grand in-folio (35,5 x 53 cm), tome I : 2ff.n.ch.-XXpp.-672pp. (1f.n.ch. après 111) - tome II : 2ff.n.ch.-284pp.-403pp. 1 planche de musique gravée, hors-texte - atlas : 137 planches y compris le titre-frontispice -2 cartes. - 21kg. Reliures de l'époque demi-chagrin cerise, dos à 5 nerfs, caissons jeux de filets dorés ornés fers romantiques dorés.
Édition originale & premier tirage. La plus célèbre et la plus prestigieuse production sur notre province, publiée et imprimée à Moulins. L'atlas contient 137 planches et 2 cartes : "La province de Bourbonnais" et "le département de l'Allier". Les dessins perspectifs sont reproduits par la lithographie, tandis que les relevés et les représentations linéaires sont gravés sur cuivre. Les volumes de texte, pour lesquels Desrosiers a utilisé une élégante typographie, sont ornés de lettrines, titres en rouge, vignettes et bandeaux gravés sur bois. Ils contiennent en outre une planche hors-texte gravée présentant quelques extraits de chansons populaires avec chacune deux lignes de musique notée ; et quelques gravures à pleine page représentant les premiers seigneurs de la province, d'après des manuscrits anciens. A l'époque romantique, le goût nouveau alliait la recherche du pittoresque naturel à celle de l'archéologie médiévale. On publiait des voyages en France où les paysages et les monuments les plus célèbres étaient figurés. Charles Nodier, le baron Taylor et Alphonse de Cailleux livraient cette énorme et somptueuse publication des "Voyages pittoresques et romantiques dans l'Ancienne France". C'est dans cet esprit que s'inscrit le grand projet d'Achille Allier et de l'imprimeur Pierre-Antoine Desrosiers, qui revendiquaient en plus la volonté de "décentraliser" la création et la diffusion de l'art. Le jeune historien, maniant aussi bien aussi bien la plume que le crayon, servi par une grande intelligence et une faculté de travail formidable, utilisa les documents, notes et dessins du vieil artiste moulinois Dufour. L'éditeur, quand à lui, sut animer un aréopage d'artistes déjà célèbres : Aimé Chenavard, Gigoux, Schaal, Courtin, Sabathier, E. Tudot, Dufour, Durand, Sagot... et divers artistes locaux ou parisiens ; et son atelier forma des lithographes remarquables parmi lesquels Pierdon, Ponthenier, Champagnat. Achille Allier, mort en 1836 à l'âge de 29 ans, n'a pu achever son ouvrage. Adolphe Michel et Louis Batissier lui ont succédé à partir du deuxième volume. En moins de cinq ans et une vingtaine de livraisons, les deux imposants volumes in-folio et le splendide atlas révélèrent la parfaite maîtrise artistique et technique d'un atelier provincial. L'Ancien Bourbonnais, suivi immédiatement par L'Ancienne Auvergne et le Velay et par les treize volumes de L'Art en Province, suscitèrent un réel mouvement d'admiration, comme le prouvent les lettres adressées au grand imprimeur par Montalembert, Chateaubriand, Victor Hugo et Lamartine : "J'étais loin de penser qu'il fut possible d'arriver en province à une telle perfection". Ce livre prestigieux a inspiré à Valery Larbaud son "Voyage au pays d'Allen". Reproduisons ici la note du Baron Charles Dupin in "Rapport du jury Central sur les produits de l’Industrie Française exposés en 1834…" tome 3 page 422 : "L'établissement formé par ce typographe [Desrosiers], dans la ville de Moulins, rivalise avec les meilleures imprimeries de la capitale. Il a présenté, sous ce titre L'Ancien Bourbonnais, in-folio, les premières livraisons d'un livre qui réunit tous les genres de mérite : perfection des caractères ordinaires et gothiques, gravés exprès pour cet ouvrage, vignettes d'un goût exquis, beauté du papier, et pureté du tirage. M. Desrosiers est créateur de l'imprimerie la plus considérable et la plus parfaite que nos départements possèdent : le jury lui décerne la médaille d'argent. S'il continue à produire des ouvrages remarquables par un semblable degré de supériorité, la récompense du premier ordre couronnera ses travaux à la prochaine exposition". Voir le long article de V. Schoelcher, in Revue de Paris de mars 1835 pages 220 et seq. - "La Loire Historique" de Touchard Lafosse, entrées "Achille Allier" "et "Moulins" - "Publications Romantiques en Bourbonnais" par Yvonne Monceau in "Deuxième congrès de la Fédération des Sociétés Savantes du Centre de la France..." Moulins, 1935, pp. 44 et seq. - "L'un des plus beaux monuments que les arts aient élevés pour la réédification de l'ancienne France" (Quérard). - 5 gravures manquent, comme dans tous les exemplaires (collationnées d'après la table établie par Crépin-Leblond : 8 ; 32 ; 41 ; 51 ; 77). Titre du tome 1 bruni, rousseurs éparses dans les volumes de texte, quelques piqûres ou brunissures dans l'atlas ; charnières du tome II distendues ; premier plat de l'atlas renouvelé avec un tissu rouge.