"Imprimerie des Annales. 2 août 1896. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. Non paginé. 4 pages environ. Gravures noires et blanches représentant des portraits de personnalités de l'époque, ""La femme au perroquet"" d'après Nestchter, ""La leçon de lecture"" d'après Paul Wagner.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions"
Reference : RO50023044
"Supplément aux ""Annales Politiques et Littéraires"", n°684. Partitions pour piano et chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions"
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Bureau du journal. 3 mai 1925. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. L'en-tête du journal peut varier.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Mé-Wong une jolie artiste chinoise, Jackie Coogan a un petit frère, Le marquis et la marquise Henri de la Falaise, née Gloria Swanson, Une loge madame ?, A la gloire des vins de Bordeaux, A propos de la rougeole, Petit golf pour bébé de 4 à 5 ans, Les grands procès féminins du temps passé Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Paris, Dépot de l'Oeuvre d'Auteuil, 1910, 1 1 cahier. 1 feuillet imprimé et 1 feuillet blanc ;
Familles et noms cités: Clermont-Tonnerre, de Mérode, de Lur Saluces, le marquis de Moustier député du Doubs, de Marmier, de Contades, le prince Antoine d'Arenberg, d'Ursel, de la Tour du Pin Gouernet, de Saint-Mauris, de Namur-d'Elzée, de Laubespin, d'Oultrmont, le prince de Monaco, de Laguiche, de Virieu, de Montault, de Villefranche, le Comte Werner de Mérode sénateur du royaume de Belgique, le Comte Jean de Mérode grand Maréchal de sa Majesté le Roi des belges.
Phone number : 06 80 15 77 01
Le Manuscrit Autographe - Revue paraissant tous les trois mois - ROYERE, Jean (Directeur)
Reference : 118218
(1933)
1933 N° 41 - Huitième année - Janvier / Février / Mars 1933 - A Paris, Auguste Blaizot & Fils, Libraires-Éditeurs - Revue trimestrielle - In-4, broché - 251 pages - Illustrations et reproductions photographiques en N&B hors texte
Bon état - Frottements sur la couverture - Bords de la couverture frottés avec petites déchirures sans manque - Ouvrage légèrement voilé - Petits accrocs en haut et bas du dos
Les éditions originales des contes de Perrault appartiennent depuis longtemps au mythe de la haute bibliophilie. Paris, chez la Veuve de Jean-Baptiste Coignard et Jean-Baptiste Coignard Fils, 1691. In-12 de (1) f.bl., (6) ff., 324 pp., (1) f.bl. Relié en plein veau brun granité de l’époque, armes frappées or au centre des plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 160 x 80 mm.
Edition originale absolument rarissime du premier conte de Charles Perrault imprimée 6 ans avant le recueil de Contes de 1697. Il s’agit ici de l’édition originale avec le titre à l’adresse de la veuve et du fils de J.B. Coignard. Certains exemplaires de cette édition originale portent l’adresse de J.B. Coignard, d’autres celle de sa veuve et de son fils. Il est très difficile de savoir lequel des deux feuillets de titre, celui avec l’adresse de l’imprimeur ou celui avec l’adresse de sa veuve et de son fils, fut imprimé avant l’autre. Il est probable que quelques exemplaires de l’édition originale aient été remis dans le commerce à la fin de l’année 1691 avec un titre de relais. Mais donner l’antériorité à l’un ou l’autre feuillet de titre semble difficile. Le 25 aout 1691, l’abbé de Lavau lit à l’Académie Française ‘La Marquise de Salusses ou la patience de Grisélidis’, qui est accueillie avec beaucoup d’applaudissements. La nouvelle en vers de Charles Perrault paraît peu après dans le ‘Recueil’ de l’Académie pour 1691, où figure également ‘A Monsieur ** en luy envoyant la Marquise de Salusses’, ainsi que différents textes de lui. Elle sera aussi, toujours en 1691, publiée séparément chez Jean-Baptiste Coignard. Elle est si rare que Tchemerzine ne décrit que la seconde édition séparée qu’il qualifie déjà de « rarissime » (V, 172). Seuls Gumuchian (n°4472), Stoerer et Tannery (n°402) décrivent la présente édition (à l’adresse de J.B. Coignard). « Il est probable que cette nouvelle soit ici en édition originale » écrit Tannery. Ce conte connut deux éditions cette année-là, l'une dans le présent recueil, l'autre en volume séparé. Or, bien que les bibliographes aient toujours décrit l'édition séparée comme l'originale (cf. Tchemerzine, V, 172), il semble maintenant établi qu'elle parut après le présent recueil. Tony Gheeraert écrit notamment dans son édition critique des Contes merveilleux (Honoré Champion, 2005, p. 19) : « Cette pièce paraît deux fois en 1691, d'abord dans le ‘Recueil de plusieurs pièces d'éloquence [...]’ donné cette année-là, puis, isolément, dans un petit volume in-12° de 58 pages ». La lecture du volume, « achevé d’imprimer le 22 septembre 1691 », soit moins d’un mois après la première lecture du texte, ne laisse aucun doute. Dans le passage intitulé « A Monsieur ** en luy envoyant la Marquise de Salusses », page 195, le conteur écrit « Si je m’estais rendu à tous les differents avis qui m’ont esté donnez sur l’Ouvrage que je vous envoye, il n’y seroit rien demeuré que le conte tout sec & tout uni, & en ce cas j’aurois mieux fait de n’y pas toucher & de le laisser dans son papier bleu où il est depuis tant d’années…Ensuite de cette conférence j’ay pris le parti de laisser mon Ouvrage tel à peu près qu’il a esté lu dans l’Académie… J’apprendray du public ce que j’en dois croire et suivray exactement tous ses avis, s’il m’arrive jamais de faire une seconde édition de cet ouvrage ». Cette seconde édition est décrite par Tchemerzine comme originale puisqu’il ignore l’existence de la nôtre. « De tout ce qu’a écrit Perrault, rien n’a plus contribué à le rendre célèbre qu’un tout petit livre auquel, probablement, il n'attachait lui-même que peu d'importance. L'idée lui vint de recueillir les contes que les enfants aiment tant à entendre de la bouche de leurs mères, de leurs nourrices, quand ils ont été sages. Il les publia en janvier 1697, sous le nom de son fils Perrault d'Armancourt. Voici en quels termes Sainte-Beuve parle de ce petit livre: « La Belle au bois dormant, le Petit chaperon rouge, la Barbe bleue, le Chat botté, Cendrillon, Riquet à la houppe, la marquise de Salusses et le Petit Poucet, qu'ajouter au seul titre de ces petits chefs-d’œuvre ? On a disserté sur la question de savoir si Perrault en est le véritable auteur. Il est bien certain que pour la matière de ces Contes Perrault a dû puiser dans un fonds de tradition populaire, et qu'il n'a fait que fixer par écrit ce que, de temps immémorial, toutes les mères grands ont raconté. Mais sa rédaction est simple, courante, d'une bonne foi naïve, quelque peu malicieuse pourtant et légère ; elle est telle que tout le monde la répète et croit l'avoir trouvée. Les petites moralités finales en vers sentent bien l'ami de Quinault et le contemporain gaulois de La Fontaine, mais elles ne tiennent que si l'on veut au récit ; elles en sont la date. Si j'osais revenir, à propos de ces Contes d'enfants, à la grosse querelle des anciens et des modernes, je dirais que Perrault a fourni là un argument contre lui-même, car ce fonds d'imagination merveilleuse et enfantine appartient nécessairement à un âge ancien et très antérieur ; on n'inventerait plus aujourd'hui de ces choses, si elles n'avaient été imaginées dès longtemps ; elles n'auraient pas cours, si elles n'avaient été accueillies et crues bien avant nous. Nous ne faisons plus que les varier et les habiller diversement. Il y a donc un âge pour certaines fictions et certaines crédulités heureuses, et si la science du genre humain s'accroît incessamment, son imagination ne fleurit pas de même ». « Mais l'origine de ces contes doit être recherchée encore plus loin. Les contes se rattachent à Berthe au pied d'oie (la Reine Pédauque) - Berthe ou Berchta, divinité germanique. Pour les frères Grimm, la mythologie survit dans les « Contes de nourrice ». L’édition originale du premier Conte, « La marquise de Salusses » parut en 1691, puis le recueil parut en janvier 1697 sous la protection d'un privilège daté du 28 octobre 1696 et enregistré le 11 janvier 1697. La littérature de colportage adopta les Contes de Perrault dès 1707 et le Cabinet des fées de 1781 les regardera comme la création d'un genre nouveau. Le récit puise sa source dans le Décaméron de Boccace. A nouveau publiée en 1694, la nouvelle est alors suivie de deux autres contes également en vers, Peau d’Ane et Les Souhaits ridicules dont ce sont les éditions originales. C’est Charles Nodier (1844) « qui, le premier, y décèlera une des plus ravissantes productions de la prose française » et la situera parmi les grands textes littéraires français. La gloire vint avec les XIXe et XXe siècles. Précieux exemplaire relié à l’époque en veau granité aux armes du marquis de Langeac. « Gilbert-Allyre-Antoine de Langeac, VIIe du nom, dit le marquis de Langeac, seigneur de Préchonnet, Bonnebaut, Paleport et autres lieux, fils de Claude-Allyre et de Madeleine de Montanier, né vers 1700, fut grand sénéchal d’Auvergne et mourut à Clermont-Ferrand en septembre 1780. Il avait épousé en premières noces Marguerite-Reine Rochette en 1720 et en secondes noces, le 5 mai 1742, Louise-Elisabeth de Melun, princesse d’Epinoy ». Olivier, Pl. 748. Les éditions originales des contes de Perrault conservées dans leur reliure de l’époque armoriée ont de tout temps été recherchées des bibliophiles.
Au marquis de Ricard, mémoire pour la fourniture « d’une bague a saphir avec un diamant de chaque cotté », le 2 août 1732. À la marquise, un premier mémoire, fort bien détaillé, acquitté le 28 août 1756 qui concerne la livraison et fourniture d’une paire de boucles d’oreilles « de diamants à fleurs », par le joailler A. Aubert, à Paris. « Aubert md joaillier place daufine en entrant par le pont neuf adroite la première boutiques après l’épicier a paris », lequel Aubert rédige le détail des diamants fournis et leur nombre, « 99 Diamants pesent 15 Kt un quart pierres épaisses pierre faible et roses. J’en prend 80 dit diamant pour en faire une paire de Boucles d’oreilles afleurs les 19 restant sont pour faire deux pair de boucles de nuit aparis ce 15 juillet 1756 ». Ce même joailler a reçu également en paiement, la fourniture de « cinq tabatières de carton doublée d’écaille », d’une glace et d’une « boite à mouche ». Le second mémoire adressé à cette même marquise, est acquitté à Avignon, le 8 octobre 1785. « livré une paire des boucles d’oreilles à l’indiene composée de cinquante quatre diamants provenant d’une paire des boucles d’oreilles où il y avait cinquante brillant et 12 pettites roses d’Hollande les quelles roses je les prendrai en échange pour une pierre fournie dont les chattons des boucles en ayant eu trois de reste pour le coulon de la croix… ». Suit le prix pour « la façon » et « le surplus de diamant ». La dernière pièce concerne un « mémoire et acquis des diamants que j’ai emploié a des boucles doreille », mémoire rédigé par un employé du joailler Aubert, concernant son travail d’exécution en 1756 à Paris. « J’ai emploier etant a paris en 1756 pour faire de boucles doreille en port à fleurs deux paires de boucles de nuit et cinq épingles les diament d’un papillon de croix d’une bague avec de deux croix de malte… ».
L’ensemble des 5 documents