‎MERCIER René‎
‎SIMPLEMENT‎

‎Francis SALABERT. 1930. In-8. En feuillets. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 16 pages environ.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

Reference : RO50015486


‎"E.A.S. 5846. Tiré de l'opérette ""Bégonia"". Répertoire Henri Lluis. Partitions pour orchestre. Classification Dewey : 780.26-Partitions"‎

€19.80 (€19.80 )
Bookseller's contact details

Le-livre.fr / Le Village du Livre

ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France

serviceclient@le-livre.fr

05 57 411 411

Contact bookseller

Payment mode
Others
Cheque
Others cards
Sale conditions

Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎MARTIN DU GARD Roger‎

Reference : 83391

(1934)

‎Lettre autographe signée adressée à son amie Alice Rim clamant tout son bonheur de jouir seul d'un Cassis vidé de ses vacanciers et hôteliers : "Je reste le seul "hivernant"... L'hôtel est vide. J'ai vu partir un à un tous les pensionnaires. Puis le personnel. Enfin les hôteliers. on m'a laissé seul, avec les clefs et une vieille fée Carabosse pour me faire la bouillabaisse. C'est simplement merveilleux. "‎

‎S.n., Cassis 8 Janvier 1934, 13,5x21,5cm, une feuille.‎


‎Lettre autographe signée de Roger Martin du Gard adressée depuis Cassis à son amie Alice Rim (3 pages, 48 lignes à l'encre noire) dans laquelle il savoure sa paisible solitude dans Cassis déserté. Il la remercie pour toutes les gourmandises et confiseries dont elle approvisionne l'ermite provençal qui déplore juste l'absence de ses amis Carlo et Rim à ses côtés: "Cassis. 8 janvier 34 Chère madame, Et serait-ce de petites crottes de musaraignes dans du papier d'argent, que je serais déjà pénétré de reconnaissance par votre amicale attention ! Imaginez donc ce que je puis éprouver en décortiquant ces délicieux tortillons de La Rochelle, croquants et onctueux, insinuants comme des suppositoires, et qui laissent dans mon vieux palaistoutes les saveurs de l'amitié ! Ce confiseur charentais a su donner à vos voeux une forme gastronomique qui en double le prix ; et même si ces voeux, comme tous ses pareils, ne se réalisent pas, je suis d'ores et déjà assuré d'en garder un inoubliable souvenir : mais pourquoi La Rochelle ? Si vous vouliez revoir la mer, pourquoi cette infidélité à notre grande Bleue ? Elle s'était faite accueillante pour vous recevoir : elle avait cessé de charrier ses banquises, retrouvé ses ondulations de soie et son peuplement de petites barques, sous le soleil quasi printanier. Mais les fêtes s'achèvent, et les Carlo Rim n'ont pas reparu... Je reste le seul "hivernant". On me montre du doigt aux enfants du port. Le Bestuan est désert. L'hôtel est vide. J'ai vu partir un à un tous les pensionnaires. Puis le personnel. Enfin les hôteliers. on m'a laissé seul, avec les clefs et une vieille fée Carabosse pour me faire la bouillabaisse. C'est simplement merveilleux. J'ai un poêle à essence qui vit aux dépens de mon oxygène, mais qui me préserve de la congestion par le froid, en m'asphyxiant lentement. Gendre, dans son local déserté, dort toute l'après-midi, roulé en boule sur la banquette, avec sa chienne en guise de chancelière. La vieille amie s'en est allée sans attirer l'attention, et la jeune ne trouble pas encore par ses yeux ce monde de marmottes, qui somnole en attendant votre retour. Je vous souhaite un hiver aussi calme que le mien, un quai de Passy aussi ensoleillé que celui du port. Partagez avec Carlo Rim et M. Virgule toutes mes amitiés fidèles, et croyez, chère madame, que je suis confus mais très heureux de vous avoir laissé le souvenir d'un vieux type gourmand ! Roger Martin du Gard." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR500.00 (€500.00 )

‎SEGALEN Victor‎

Reference : 79585

(1903)

‎Double lettre autographe signée adressée à Emile Mignard évoquant des gravures de Gauguin : "T'expédie, en à propos de la mort de Gauguin, simplement, une gravure sur bois de lui [...] C'est une idole monstrueuse et repue, dans un ciel tourmenté d'une coupée de grande vallée tahitienne. Le mot «Maruru» (prononcer: Maourourou) signifie: merci je suis content."‎

‎Papeete 7 & 15 décembre 1903, 11,3x15,4cm et 11,3x17,7cm, 9 pages et quelques lignes sur 2 feuillets doubles et un feuillet simple.‎


‎Double lettre autographe signée de Victor Segalen adressée à Emile Mignard. Neuf pages et quelques lignes rédigées à l'encre noire sur deux feuillets doubles et un feuillet simple.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Longue lettre évoquant l'avancement des Immémoriaux et une gravure de Paul Gauguin. Segalen poursuit la rédaction de sa grande fiction, Les Immémoriaux, qui paraîtra en 1907 au Mercure de France sous le pseudonyme de Max-Anély (Max en hommage à Max Prat et Anély, l'un des prénoms de sa femme), Segalen n'étant pas autorisé, en sa qualité de médecin militaire, à signer une uvre fictionnelle de son patronyme. «Je me suis décidément attelé à la partie active de mon travail. Là encore, si les sources abondent, il me manque l'auditeur sympathique et avisé auquel je soumettrais, page par page, ma copie. Si je le mène à bonne fin je n'aurai qu'à me louer de ma campagne, ayant résisté à l'enlisement intellectuel prédit.[...] Enfin réussirai-je à terminer quelque chose, à tirer de moi autre chose qu'un désir fou d'uvrer, je commence à croire que oui. Je pars pour une tournée de trois semaines, calme, en des pays déjà connus, avec une formidable bibliothèque Polynésienne; j'en reviendrai peut-être avec Œ matériellement achevé.J'ai moins qu'autrefois l'obsession du verbe et j'écris avec plus de calme. » Mais il n'y a pas que l'écriture des Immémoriaux qui accapare Segalen. Entre temps, en octobre 1903, il a fait l'acquisition d'uvres et d'objets ayant appartenu au peintre Paul Gauguin qui venait de disparaître aux Marquises. Dans une lettre du 2 octobre 1903, il écrivait à Emile Mignard: «Je viens de gagner 450f dont 250 pour un accouchement assez ennuyeux. Sur ces 450 j'en ai consacré 200f à l'achat de toiles, bois sculptés, croquis, album, du peintre Paul Gauguin, l'un des meilleurs Impressionnistes, qui, réfugié aux Marquises, vient d'y mourir. J'ai acquis à bas prix, à la vente publique, d'admirables choses: deux portraits de lui, une grande toile où défilent des Tahitiens, des bois sculptés dont je ferai tirer des épreuves, des croquis, des notes... Je m'étais fait son champion, ici, car très ingrat, très isolé, haineux même, il était généralement détesté dans la colonie.» La vente aux enchères des biens et des uvres de Gauguin, demeurés dans sa Maison du Jouir après sa mort, eut lieu à l'automne 1903. L'un des rares acquéreurs présents lors de cette liquidation fut Victor Segalen qui permit ainsi le sauvetage de plusieurs pièces capitales du peintre qui risquaient d'être détruites dans l'indifférence générale. Segalen, qui avait espéré arriver à temps pour rencontrer Gauguin, ravive sa mémoire en tentant - malgré sa faible solde - d'acquérir un maximum d'uvres de son défunt mentor. Il évoque d'ailleurs ici une gravure du peintre: «T'expédie, en à propos de la mort de Gauguin, simplement, une gravure sur bois de lui, en double exemplaire, dont un pour l'ami Max [Prat] [...] C'est une idole monstrueuse et repue, dans un ciel tourmenté d'une coupée de grande vallée tahitienne. Le mot «Maruru» (prononcer: Maourourou) signifie: merci je suis content.» Segalen possédait en effet plusieurs épreuves de cette gravure représentant la divinité Hina; un fragment de l'une d'entre elles était collé sur la page de garde de son Journal de voyage et on retrouvera la même silhouette de l'idole sur la couverture du manuscrit des Immémoriaux. Cette déférence pour Gauguin est également visible à travers un autre projet, la rédaction d'un article lui rendant hommage: «J'écris à Morache. J'ai eu tort de ne rien envoyer au Mercure à propos de la fin de Gauguin.» Et en effet, un article apologétique intitulé «Gauguin dans son dernier décor» paraîtra en juin 1904 dans le Mercure de France. Segalen y décrit les derniers jours du peintre dans sa Maison du Jouir. Comme en témoigne notre lettre, cet article a peut-être été écrit sous l'impulsion de Saint-Pol-Roux: «J'ai reçu de Saint-Pol-Roux une bonne et encourageante lettre.» Dans cette lettre, datée du 15 octobre 1903, le poète symboliste le questionne: «Que devenez-vous, mon bien cher ami? Malgré le silence - qui au fond n'est le silence que pour les imbéciles - vous êtes de ceux qui habitent ma quotidienne pensée. [...] Votre image y fut plus particulièrement évoquée ces temps-ci de par la mort de Paul Gauguin décédé à Papeete. L'avez-vous assisté? Sans doute, n'est-ce pas? Car vous l'avez dû connaître. Oh dites-nous quelque chose sur ce malheureux de la Destinée qui fut souvent un grand artiste, et à sa manière un Maître. Comment se fait-il que vous n'ayez pas adressé quelque relation sur cette mort au Mercure de France qui l'eût accueillie avec enthousiasme ? ...» Cet oubli sera donc doublement réparé: en sus de la publication de l'article tant sollicité, Segalen fera don du fronton et des panneaux de la Maison du Jouir à son ami poète pour son manoir breton. Ces superbes décorations sont aujourd'hui conservées au Musée d'Orsay. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR6,000.00 (€6,000.00 )

‎ZOLA Emile‎

Reference : 79108

(1882)

‎Lettre autographe signée inédite adressée à Léon Carbonnaux chef de rayon au Bon Marché et conseil pour l'écriture d'Au bonheur des Dames : "Je désire simplement toucher au sujet dans mon livre, pour le besoin du petit drame commercial qui me sert de fable." ‎

‎Médan 23 juin 1882, 13,4x21,6cm, 1 page 1/2 sur un double feuillet - enveloppe jointe.‎


‎Lettre autographe signée d'Emile Zola- apparemment inédite -adressée à Léon Carbonnaux, rédigée à l'encre noire sur un double feuillet.Pliures inhérentes à l'envoi. Enveloppe jointe. Important témoignage du colossal travail de documentationet du rôle capital des informateurs d'Emile Zola dans la peinture de son immense fresque naturelle et sociale. Cette lettre a été envoyée à Léon Carbonnaux, chef de rayon au Bon Marché qui transmit à Emile Zola de précieuses informations pour la création du onzième volume des Rougon-Macquart: Au Bonheur des Dames. On ne connaît que deux lettres de Léon Carbonnaux à Emile Zola: elles sont consultables dans la numérisation du dossier préparatoire du Bonheur des Dames mis en ligne par la Bibliothèque nationale de France. On sait cependant grâce à ce même dossier, dans lequel figure une longue section intitulée «Notes Carbonnaux», que ce chef de rayon au Bon Marché fournit un nombre important d'informations à Zola, notamment sur les murs des employés et leur rémunération. Les deux hommes se sont sans doute rencontrés alors qu'Emile Zola, avide de renseignement quant au fonctionnement des grands magasins, mena une enquête de terrain en février et mars 1882. Cette réponse serait donc la toute première que l'écrivain adressa au chef de rayon, en réponse à sa lettre du 19 juin 1882. Bien loin d'imaginer le vif succès que remportera ce nouveau roman, Zola semble même le prendre à la légère: «Je désire simplement toucher au sujet dans mon livre, pour le besoin du petit drame commercial qui me sert de fable. Vos notes sont excellentes.[...] Enfin, me voilà au travail. Le sujet est à la fois bien vaste - et bien ingrat pour un roman. On devra me tolérer un peu de fiction, car il faut bien que je passionne la matière. Mais je tâche de m'en tenir le plus strictement possible à mes notes. » Il faut dire que Carbonnaux prend son rôle d'informateur très à cur et, n'ayant aucun doute quant au succès du livre, il écrit: «Dans le bâtiment chez nous d'ailleurs, partout on attend votre livre. Les lecteurs ne vous manqueront pas. Soyez-en sûr. Vous n'en êtes plus à compter les succès celui-là s'annonce comme devant dépasser les autres.» (lettre du 19 juin 1882) Car un autre ouvrage, sur le même sujet, vient de paraître: «J'ai lu le volume de Pierre Giffard. Il me paraît comme vous injuste et même faux dans plusieurs parties. C'est bâclé. Il aurait fallu, pour un pareil ouvrage de documents purs, une entière exactitude. Moi qui écris une uvre d'imagination, je ne me permettrai pas de tels écarts.» C'est Carbonnaux qui avait signalé l'ouvrage à Zola: «Pierre Giffard du Figaro vient de faire paraître chez Havard un vol de 300 pages intitulé « Les Grands bazars de Paris ». [...] On sait que le Figaro est inféodé au Louvre [magasin concurrent au Bon Marché] & on peut assurer que ce livre a été commandé et bâclé dès que votre intention de traiter le même sujet a été connue. [...] Il fallait déguiser un peu la réclame pour le Louvre.» (lettre du 19 juin 1882) On voit bien ici à quel point les grands magasins fascinent et l'on comprend l'immense succès que remportera ce roman de Zola décrivant leur avènement et leur suprématie. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR2,800.00 (€2,800.00 )

‎MALLARME Stéphane‎

Reference : 76335

(1892)

‎Carte de visite autographe adressée à Alidor Delzant : "Mon cher ami, veuillez présenter à Madame, en gardant pour vous, mes voeux simplement les meilleurs."‎

‎S.n., Paris 30 décembre 1892, 10,4x6,3cm, une carte de visite et son enveloppe.‎


‎Carte de visite autographe signée de Stéphane Mallarmé adressée à Alidor Delzant. Enveloppe jointe. ?Alidor Delzant fut avocat, collectionneur et bibliophile. Ami des Goncourt, il leur consacra un ouvrage et fut le secrétaire et légataire testamentaire d'Edmond. "Mon cher ami, veuillez présenter à Madame, en gardant pour vous, mes voeux simplement les meilleurs." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

Reference : 400017077

‎Mimose Spring Des chansons...tout simplement éditions de la revue du Centre‎

‎ Sans date. Mimose Spring: Des chansons. tout simplement (éditions de la revue du Centre) . Mimose Spring: Des chansons. tout simplement (éditions de la revue du Centre)‎


‎Etat correct‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR30.00 (€30.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !