E. Gallet. début XXème. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages. Gravure noire et blanche en couverture. Petites déchirures.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50008770
E.G. 6571. (1). Op : 31. Partitions pour piano. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Précieux exemplaire très grand de marges, le seul cité et décrit par Tchemerzine, provenant des bibliothèques E. Stroehlin et Zanicki avec ex-libris. On les vend à Paris par Anthoine Bonnemere en L’hostel Dalebret devant sainct Hilaire, 1538.Petit in-8 de (32) ff. Plein maroquin bleu janséniste, dos à nerfs, double filet or sur les coupes, tête dorée, roulette intérieure dorée. Reliure de Hans Asper.126 x 88 mm.
Unique exemplaire en main privée cité et décrit par Tchemerzine (IV-481) avec l’exemplaire de la B.n.F et celui de James de Rothschild, « le seul complet connu des cinq parties ».« Le Premier Livre de la Métamorphose d’Ovide - 1538 - se trouve seul à la B.n.F., ainsi que dans la vente Stroehlin (rel. Asper) - le présent exemplaire » (Tchemerzine).François Ier impulse une politique volontariste en faveur des traductions : désireux d’enrichir la langue française par une référence constante à la langue latine, de lui permettre de rivaliser avec les autres langues modernes, lui-même poète et amateur de poésie, il favorise toutes les entreprises qui rendent accessibles aux lecteurs français les textes des auteurs antiques, et confie la traduction des Métamorphoses à Marot, qui lui en donne, semble-t-il, une lecture fragmentaire dans les jardins du château d’Amboise au mois d’août 1526. En définitive, seuls les deux premiers livres paraissent, le premier en 1534, le second en 1543, un an avant sa mort. La pratique d’Ovide a exercé une influence déterminante sur l’esprit poétique de Marot, qui a toujours reconnu cette inspiration :Pour ce que point le sens n’en est yssu De mon cerveau, ains a esté tissu Subtilement par la Muse d’Ovide.Fasciné par l'Âge d’Or du premier livre des Métamorphoses, ainsi que par le rêve d’un retour harmonieux à l'innocence perdue auquel ce motif donne naissance, ou encore par le retour cyclique et perpétuel des choses au demeurant muables, le poète de Cahors n’a cessé de puiser dans le mythe ovidien la source et le sens nécessaires à sa création poétique, adaptés au raffinement de sa langue. Une communion dans l'émotion et un parcours semblable dans l'exil l’ont rapproché finalement bien davantage d’Ovide que de Virgile, en dépit de la ressemblance amusante - souvent exploitée par jeu - entre les noms de Maro et Marot, et malgré son rêve virgilien « d’escripre vers en grant nombre et hault style », ou sa première traduction des Bucoliques. Les commandes de la cour ont donc stimulé la production et la diffusion des traductions en général, et en particulier celles des œuvres de Virgile et d’Ovide qui, par leur élégance poétique, occupent la place dominante. Le nombre croissant de traductions a en retour déployé les exigences à leur égard, et incité les esprits distingués et les puissantes familles du royaume à posséder ces œuvres tenues pour les plus raffinées. L’érudition cédant ainsi la place à d’autres désirs, on voit apparaître autour des années 1550, à côté des ouvrages encore intégralement traduits, comme les Métamorphoses de François Habert ou l’Enéide de Louis des Masures, des extraits de traductions, ou des morceaux choisis : Du Bellay ne traduit que les livres IV et VI de l’Enéide qui paraissent successivement en 1552 puis en 1560 et seulement la septième héroïde d’Ovide (sur les 21) en 1552, celle qu’adresse Didon à Enée ; Aneau, on l’a vu, ne traduit que le livre III des Métamorphoses qui paraît en 1556 ; Louis des Masures, le livre IX qui paraît en 1557, Saint-Romard, poète marotique avait choisi, au début des années 1540, de ne traduire que les deux lettres des Héroïdes, celles que s’échangent Léandre et Héro. Charles Fontaine, poète défenseur de Marot, qui s’est mêlé de traduction toute sa vie, permet de saisir par les œuvres qu’il choisit mais aussi et surtout par les destinataires pour lesquels il écrit, les raisons pour lesquelles on désire lire Ovide, certains extraits plus que d’autres, ou certains extraits et non plus les œuvres complètes. Charles Fontaine offre ainsi à Jean Brinon - grand mécène proche du roi, qui ouvrira à partir de 1549 à Ronsard et toute la Pléiade les portes de son château de Vilaines et les cordons de sa bourse - quelques « élégies » d’Ovide (et quelques petits poèmes de Catulle) composées autour des années 1538-1539 ainsi que la traduction du premier livre des Remèdes d’amour entre 1547 et 1552.Précieux exemplaire très grand de marges, le seul cité et décrit par Tchemerzine, provenant des bibliothèques E. Stroehlin et Zanicki avec ex-libris.
Précieux exemplaire orné de 5 figures, le seul répertorié de premier état, provenant des bibliothèques A. Firmin-didot et C. Bourlon de Rouvre, cité par Tchemerzine et Bourdillon. Paris, J. Jehannot, s.d. [vers 1520-1521]. Petit in-4, a8, b-e4, f8, g-k4, l8, m-p4, q8, r-v4, x8, y-z4, r4, A-B4, C8, D4, E6 = (142) ff., 2 col., 41 l., 1 grand bois sur le titre répété au verso, extrémité de l’angle supérieure droit du titre restauré. Maroquin rouge, large fleuron doré au centre des plats, dos à nerfs orné, double filet or sur les coupes, tranches dorées. Trautz‑Bauzonnet. 188 x 129 mm.
L’exemplaire Ambroise Firmin-Didot et Charles Bourlon de Rouvre, le seul cité par Tchémerzine (IV-227) et Bourdillon (note 4 page 52) de cette précieuse édition du Roman de la Rose imprimée vers 1520-21. Cet exemplaire parait être le seul répertorié en ce premier état : avant l’adjonction du chiffre XXIX sur le titre après la mention « Imprimé à Paris ». « Titre r. et n. dans une petite bordure de la page : gde lettrine carrée S de départ, couvrant 4 lignes de textura, suivie d'une ligne plus petite et d'un bois d’un nouveau style (répété au v°), rompant avec la double fig. antérieure. Cette fois, L'amant et sa belle dans un paysage, devant un château. Marque de J. Janot à la fin. 5 figures. » Guillaume II, seigneur de Lorris en Gâtinais, est connu pour avoir été armurier en 1239 au château de Melun et avoir rendu des sentences arbitrales avec Philippe de Rémy, bailli du Gâtinais en 1242. Mais son œuvre littéraire laisse supposer qu'il était clerc, en tout cas qu'il connaissait fort bien la littérature latine (notamment Ovide, qu'il imite). Son Roman de la Rose emprunta beaucoup à un premier Roman du même nom, dû à Jean Renart, mais avec talent il sut faire passer l'allégorie (la Rose est l'aimée) du domaine religieux au domaine profane et courtois, tout en lui gardant un côté mystique. Malheureusement, mort très jeune, il laissa l'œuvre inachevée (4 000 vers). Jean de Meung (1250-1305), opulent bourgeois et universitaire qui ne prenait pour maître que la nature et détestait autant l'ascétisme que l'amour courtois, fut son continuateur un peu inattendu. On lui doit un Testament et un Codicille, ainsi que des traductions du Livre des merveilles de Giraud de Barri, du Livre de chevalerie de Végèce, de la Consolation de la philosophie de Boèce. En 1270-75, il décida d'écrire une longue continuation (18 000 octosyllabes) au Roman de la Rose inachevé de Guillaume de Lorris, formant ainsi un traité complet de l'amour, fondé sur une philosophie de la plénitude et de la fécondité. Cette œuvre est en vers, comme celle à laquelle elle fait suite. Le Roman de la Rose (en vers) n'a plus été republié perdant très longtemps (deux siècles ?) après la dernière édition de 1538, mais il en existe de nombreuses rééditions modernes en goth., parmi lesquelles on citera celle de Paris, Delarue, 1878 (1938, 30 vente Fière, n° 522). Également, rééd. par J. de Bonnot, 1988. Précieux exemplaire orné de 5 figures, le seul répertorié de premier état, provenant des bibliothèques A. Firmin-didot et C. Bourlon de Rouvre, cité par Tchémerzine et Bourdillon.
1740 - PARIS, De la Compagnie des Libraiire - 1740 - T. I seul - In-4 - Reliure plein veau de l'époque - coiffe de tête usagée - Dos à nerfs, à caissons fleuronnes - manque pièces de titre - graffitis en pages de garde - Bandeaux - Lettrines - 10Gravures H.T. & 15 gravures en texte - mouillures en tête en fin d'ouvrage - (10)-555-(25) pages.- PARIS, De la Compagnie des Libraiire - 1738 - T. II seul - In-4 - Reliure plein veau de l'époque , coiffes frottées - Dos à nerfs, à caissons fleuronnes - manque pièces de titre - (6)-572-(12) pages & 86 pages -mouillures- 2 volumes
MAURICEAU, Francois - (1637-1709), Maître chirurgien et premier accoucheur de la Maternité de Paris, fut un des fondateurs de l'obstétrique. Cet ouvrage, qui fut traduit en plusieurs langues, apporta des innovations à la pratique traditionnelle. L'auteur insiste notamment sur la nécessité de connaître l'anatomie et la physiologie - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Superbe exemplaire en vélin de l’époque provenant de la bibliothèque Tross (1865). Et se vend pour l’Autheur, à Paris, chez Pierre Le Monnier, 1672. Avec privilège du Roy. In-12 de (4) ff. et 99 pp. Vélin souple, dos lisse. Reliure de l’époque. 144 x 84 mm.
Edition originale rarissime en vélin de l’époque; le seul exemplaire en cette condition cité par Deschamps. Tchemerzine, V, 342. «Edition originale de cette tragédie qui remporta un grand succès à l’hôtel de Bourgogne, malgré le sujet turc alors inconnu qu’avait choisi Racine. On lui pardonnera d’avoir si vite renoncé à ce qu’il avait énoncé dans la préface de Bérénice : « Ce n’est point une nécessité qu’il y ait du sang & des morts dans une Tragédie.» Peu importe, l’action se déroulait au palais du sultan à Constantinople. Or la cour de Louis XIV et les spectateurs raffolaient des aventures orientales qu’on leur servait ; Molière ne fit-il pas jouer en ces mêmes années son Bourgeois gentilhomme, dont une des scènes montrait un ballet où évoluaient Turcs, Maures et Égyptiens?» (Cat. Jean Bonna). «La tragédie de Bajazet est la seule que Racine ait tirée de l’histoire du XVIIème siècle, presque contemporaine. Jusque-là il avait pris tous ses sujets dans l’antiquité ou l’histoire ancienne, grecque ou latine. Cette fois il eut l’idée de mettre à la scène des faits qui étaient encore présents dans les mémoires et de prendre ses personnages dans cet Orient vers lequel étaient encore tournés tous les esprits. Le héros de la pièce, le jeune Bajazet, l’un des fils d’Achmet Ier avait été étranglé, par ordre de son frère le sultan Amurath IV, vers l’année 1635. De tels actes de sauvagerie n’étaient pas rares dans les familles souveraines de l’empire ottoman ; mais cette fois la victime avait laissé de telles sympathies, qu’après plus de trente ans on n’avait pas oublié ce fait, ni en Turquie, ni même en France. Racine espéra qu’il obtiendrait du succès en la présentant au théâtre. M. de Cézy, ambassadeur français à Constantinople, lui raconta des détails dont il avait été témoin, et le poète se mit à l’œuvre. Il sut tirer un parti excellent des circonstances dramatiques qui avaient accompagné cet assassinat, en les poétisant; et avec le don remarquable qu’il avait de traduire les sentiments du cœur, il composa des scènes poignantes d’émotion et les raconta dans ce langage magnifique dont il avait le secret. Il produisit ainsi cette intéressante pièce, qui fut jouée avec beaucoup de succès le mardi 5 janvier 1672, par la troupe de l’Hôtel de Bourgogne, et qu’on reprit souvent depuis. Pourtant Racine n’était pas très rassuré en présentant sa pièce au public. Il exprime son inquiétude dans la Préface, et s’excuse presque « d’avoir osé mettre sur la Scène une Histoire aussi récente, s’autorisant cependant de ce que: ‘L’éloignement des païs répare en quelque sorte la trop grande proximité des temps. Car le peuple ne met guère de différence entre ce qui est, si j’ose ainsi parler, à mille ans de luy, et ce qui en est à mille lieuës.’ » (Le Petit, Bibliographie des éditions originales, 366-367). Superbe exemplaire en vélin de l’époque provenant de la bibliothèque Tross (1865), le seul répertorié en condition d’époque par les bibliographes de référence.
1976 1976. Exbrayat: l'inspecteur mourra seul/ Club des Masques N°19 1976 . Exbrayat: l'inspecteur mourra seul/ Club des Masques N°19 1976
Etat correct