P. CODINI. 1911. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. dépliant 4 pages, couverture illustrée de gravures de Pousthomis, ecriture au crayon de papier. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50001873
POUR TOI!, répertoir Berard, valse chantée, paroles de V. Tarault et A.Schmit, musique de P.Codini et Ch.Courtioux, partition mélodique ( 4 bémoles à la clef), et paroles, reference: C19C Classification Dewey : 780.26-Partitions
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MUSIDISC. NON DATE. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette ouvrante en couleurs, photo page 1 : Benaroch, page 3 et 4 : F. Gaillard. 2 disques : Car c'est un nouveau jour, Au doux rivage, Quatre murs et volets clos, Pour toi, rien que pour toi, Et la nuit dans tes bras, Je voudrais mourir avant toi, Loin elle m'attend, Adage pour elle, Peau d'ane, L'eglantine, Et de nous qui se souviendra, Moi et mon camion, A mon hélène, Des femmes et du tabac, Maracangalha, Lucy Fair, Dis papa, Ruban rose et cheveux d'or, La prière, La femme et l'enfant, Ma guitare au saloir.. . . . Classification : 410-33 Tours
Disque n°MU 222. Classification : 410-33 Tours
2 pièces autographes signées (circa 1938) : "Sonnet / Je veux faire un sonnet pour toi, puisque je t'aime / que rien n'est plus parfait que ce chant et plus pur / tant de vers t'ont chanté, trébuchants et mal sûrs / fols et capricieux comme je suis moi-même / " ... [...] "Beautés perdues / Le bosquet de lilas jamais cueilis / pâles de leur excessive opulence / qui fleurissent pour le silence / et pour l'absence / - et quel dieu de quel paradis ? - / [ ... ]
Intéressantes pièces manuscrites signées de l'écrivain et poétesse Jeanne Sandelion (1899-1976).
SALABERT. 1933. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 71 pages de partitions. Premier plat illustré en couleur par Averibet (?).. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
E.A.S. 8970 - COQUIN D'AMOUR + SI PETITE + JE SUIS PETIT + AVANT D'ETRE CAPITAINE + PLEASE + TOTOR T'AS TORT + POUR TOI, RIO RITA + CONFESSION + POURTANT + TOUT VA BIEN + JEUNES MARIES + NE PARLEZ PLUS D'AMOUR + HO HABLES + SI TU VEUX + ANTOINETTE + MIETTE + J'AI REVE D'UNE FLEUR + AVANT D'ETRE CAPITAINE + TOUT VA BIEN + LA MARGOTON DU BATAILLON + NINON + SI PETITE + POURTANT + NE PARLEZ PLUS D'AMOUR + LOIN DE TOI + GARDE MOI TON AMOUR + A PETITS PAS + LA JAVA DU CINEMA + NO HABLES ! + NOUS DIRE ADIEU + DIS MOI POURQUOI + POUR TOI RIO RITA. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Fleury-Mérogis 18 Octobre1976, 21x29,5m, une page recto verso.
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du lundi 18 Octobre1976, 68 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, tient à rassurer son amour à qui il vient en aide, grâce à ses avocates, afin qu'elle obtienne une liberté privisoire : "C'est que je sens que cela va être bon et cela malgré que les avocates m'avaient déconseillé de le faire... tu sais que je fais de la prémonition (mais dans le bon sens). Je sais que ma lettre les fait réfléchir... cela j'en suis certain. C'est la première fois que j'interviens pour toi. Ca aussi a de l'importance..." et grâce à qui elle devrait recouvrer la liberté : "Mais le plus important est que tu retrouves cette pute de liberté. Après ce sera aux avocates de jouer pour un régime plus souple... Je te parle comme si tu étais déjà libre...Que "veux-tu" j'y crois." Débordant d'enthousiasme et de certitude pour le succès de ces démarches regardant la liberté provisoire de Jeanne et sûr du poids de son intervention, l'indomptable Mesrine fulmine à l'idée d'un hypothétique refus des autorités carcérales : "Quel affreux pirate qui te donne de l'espoir. Non mon ange, je ne sais absolument rien. Sauf que le Président a dit que je le menaçais sur ma lettre. J'ai été très dur et à juste raison, car la plaisanterie a assez durée. Toi tu supporteras ton refus.. moi je ne l'accepterai plus. C'est pas plus compliqué que cela. Car tu as assez payé... même trop..." L'ennemi public N°1 en profite encore pour briser cette réputation de fauve sanguinaire qui lui colle à la peau : "Si les journalistes savaient que toutes les infirmières entraient seules dans ma cellule et en toute confiance, on serait loin du "fauve" et de la prise d'otages à la Buffet. Les infirmières ont toujours été sacrées pour moi. Elles sont intouchables comme pas mal d'autres personnes, mais cela les pédés de journalistes l'ignorent ; car ils ne sont pas dans mes pensées et c'est regrettable parfois." Jacques Mesrine évoque la réalisation de son ouvrage L'instinct de mortet sa santé de manière fataliste : "Autrement tout est ok, sauf mes douleurs au coeur qui me reprennent... mais je laisse faire, car je n'aime pas prendre de médicaments. Et puis le mécanisme s'arrêtera le jour "J" du destin. Peut-être dans tes bras... qui sait ? Il termine sa lettre toujours plein d'espoir pour la libération prochaine de sa bien-aimée: "Ce qui compte pour moi c'est de te voir libre et fini les folies, car je ne veux plus te voir retourner en prison. Je n'ai besoin que de ton amour. Le reste, c'est mon affaire. [...] Je t'adore vivement que l'on ouvre ta cage. Bonne nuit chaton et garde confiance ok."" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle il démontre toute sa farouche ardeur et son indestructible conviction dans son combat pour la libération de sa bien-aimée. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Fleury-Mérogis 21 Septembre 1976, 21x29,5m, une page recto verso.
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du mardi 21 septembre1976, 68 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Une pliure horizontale inhérente à la mise sous pli, une petite déchirure en marge droite de la missive au niveau de la pliure. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, s'est arrangé avec sa mère pour qu'elle cède, à son départ de la région parisienne, son appartement de Clichy, à Jeanne Schneider après sa possible liberté provisoire : "J'ai eu un très agréable parloir avec maman. J'ai au moins une bonne nouvelle à t'annoncer. Pour Clichy c'est d'accord... Comme elle va vivre presque tout le temps à la montagne tu auras l'appartement pour toi. Je paierai le loyer. Elle a tout de suite dit d'accord après mon explication... [...] Je me doute de ta joie, de savoir que tu pourras vivre à Clichy - si près de notre papy... toujours présent de par l'amour que nous avons pour lui. Je suis certain que cette petite nouvelle te remonte le moral." Sa fille Sabrina l'inquiète et il pressent qu'il devra se montrer sévère vis à vis de ses écarts de conduite :"De Sabrina rien ! Il y a une chance pour qu'actuellement elle me prépare un "douze" je ne peux t'en parler sur lettre... mais j'ai l'impression que la puce me ment sur certaines choses... elle prend peut-être une route où il va me falloir la plus grande fermeté. J'ai demandé à maman de vérifier si elle va bien à l'école." Des nouvelles de son "filleul" le célèbre braqueur Jean-Charles Willoquet, avec qui il organisa son évasion de la prison de la Santé où ils s'étaient connus, le rendent plus fier : "J'ai reçu la photo du plus jeune détenu de France à savoir mon filleul "Willy Willoquet" dans sa cour de promenade. c'est émouvant et triste à la fois !" La situation de son jeune protégé coupé de tout contact avec ses proches et les gens qui l'aiment, lui rappelle sa propre situation personnelle et les avanies de l'existence isolée d'un prisonnier : "Je me demande comment va réagir Martine quand on va lui enlever ? Enfin c'est le destin qu'elle a choisi et accepté. Elle paie cher le prix de l'amour... Vous le payez toutes "très cher"..." Afin de vite effacer cette morose et implacable vérité, Jacques Mesrine plonge dans l'humour potache et se moque affectueusement des défauts physiques de son amour : "J'espère que la bonne nouvelle va te rendre ton sourire. eh ! la mémé... boutons sur la gueule... ou pas ! Je t'adore... il ne fallait pas flirter avec "voyou" ! C'est lui qui t'as passé cela (sic) nanou d'amour, ton viejo pirate monte à l'abordage de tes lèvres.. et... !! tu coules ! " Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle il fait montre de toute l'intense affection qu'il porte à sa compagne et des forts sentiments dont il entoure les gens qu'il aime. - Photos sur www.Edition-originale.com -