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Poésie de FREDERIC SAISSET musique d' A.LARRIEU
MARCHE POUR LE PRINTEMPS
Eveillard et Jacquot. Sans date. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Quatre pages dont deux de texte et partitions, gravure illustrée de HROVET gb.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50000042
N° R.J. 3182. Classification Dewey : 780.26-Partitions
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Mon marché gourmand. Spécial printemps été. 163 recettes savoureuses et économiques pour tous les jours.
Paris, Plon, 2003, broché, couverture illustrée en couleurs, 14x22,5 cm, 322 pages.
légères traces de pliures sur coin inférieur de couverture.
Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).
LA REVUE HORTICOLE 1943 N° 2098 - Chronique horticole : Plantes médicinales. — Outils de jardinage. — Nécrologie. — Floraison simultanée des espèces fruitières au printemps de 1943. — Lutte contre le « marché noir ». — Propagande officielle pour les cultu
LA REVUE HORTICOLE. 1943. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages illustrées de gravures dans le texte.. . . . Classification Dewey : 635-Horticulture
SOMMAIRE : Chronique horticole : Plantes médicinales. — Outils de jardinage. — Nécrologie. — Floraison simultanée des espèces fruitières au printemps de 1943. — Lutte contre le « marché noir ». — Propagande officielle pour les cultures d'appoint : exposition ambulante, radio. — Recherche des terrains disponibles pour jardins autour de Paris, etc.Le Secours National et le Soja dans les jardins familiaux. — P. CH.Un prix de ¡'Institut pour les progrès horticoles ; le Prix Zvorilcine. — Professeur L. BLARIN-GHEM (de l'institut).Revue de la Presse horticole.Les plantes à suspensions (et à balcons) de serres et de plein air. — G. DURIVAULT.Technique de fertilisation des arbres fruitiers au pal injecteur — B. GLAENZER.Les variations du StreÜtzia Regsnæ. — Et. PIEDOYE.Le Portrait du jardinier. — Marc GUERRÉLes Avantages de la culture du Soja au jardin familial. — Dr Jean BALZLI.Du Traitement des Pommiers contre la « Tavelure ». — A. BALLEREAU.Où se procurer les espèces fruitières peu connues signalées par M. EYREINOFF ?Nouveautés horticoles pour Î943 (suite).Le complément de l'Arcure. — A. RICHARD.Le Potager lointain cultivé en 12 voyages par an (suite). — P. CHOUARD.Revue bibliographique : Chrysanthenum, Cyclamen, Markt Pflanzeniucht, Die Dungung in der Gärtnerischen Praxis. — Les Feuillus.GRAVURESles divers stades de la manœuvre du pal injecteur. — Strelitzia Reginæ, forme à 2 spathes par fleur. — Plan de» travaux à faire au Potager lointain au cours des > et 4‘ voyage» (25 avril, 10 mai). Classification Dewey : 635-Horticulture
SELECTION PRINTEMPS - ALBUM CONTENANT 30 MORCEAUX FACILES POUR PIANO, CHOISIS PARMI LES SUCCES : Melancholia + Air de ballet + Chagrin d'amour + Marche des amoureux + Sérénade à Colombine + La fauvette du temple + La Tzigane + L'amoureuse sérénade...
AU PRINTEMPS. 1908. In-Folio. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 61 pages de partitions. Page de titre illustrée en noir et blanc par P. Borie. Premier plat illustré en couleur. Cahier désolidarisé des plats. Annotation au stylo sur le premier contre plat.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
30 titres : Melancholia + Air de ballet + Chagrin d'amour + Marche des amoureux + Sérénade à Colombine + La fauvette du temple + La Tzigane + L'amoureuse sérénade + Célèbre barcarolle + Sérénade d'Arlequin + Valse enchantée + Le torrent + Pas des Amphores + Valse du rêve + Viens mon bien aimé + L'ile des baisers + Marche des petits Matelots + L'oiseau d'amour + Un jour + La belle au bois dormant + Brune ou blonde + Noce arabe + Chanson bretonne + Bacchanale + All right + Roman d'amour + Tu me dirais + Tout passe + Les patineurs parisiens + Salut à Vienne. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Prêtres en milieu indépendant,supplément au courrier de l'ACI,N° 2 printemps 76 : Pour un après Lourdes- la longue marche de l'aumênerie.
imprimerie dumas. 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 38 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Pour un après Lourdes- la longue marche de l'aumênerie. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
