G. Charpentier. 1878. In-12. Relié. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Rousseurs. 353 pages. Couverture muette et refaite et tachée.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Reference : RO40210278
'Les Héros modernes'. Roman. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
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Fleury-Mérogis 22 Septembre1976, 21x29,5m, une page recto verso.
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du samedi 22 Septembre1976, 67 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis et privé de chaleur humaine, s'enthousiasme de toutes les visites qu'il reçoit au parloir, battant ainsi en brèche le mythe du bandit asocial et denué de sentiments humains : "Et après cela on dira que je suis un sauvage ! non justement et les gens qui ont eu un contact avec moi, désirent me revoir. Cela m'a fait un immense plaisir et sais-tu la suite... elle va demander aussi pour te voir. Parait-il que je suis regretté par les infirmières "monsieur sourire" voilà le secret." Il a apprécié tout particulièrement la visite de l'infirmière de la prison de la Santé qui sera également leur témoin de mariage avec Jeanne Schneider et qu'il encense : "... une énorme surprise ! tu ne devineras jamais qui est venu me voir ! Mon infirmière de la santé... oui ma puce... cette charmante dame aux cheveux blancs que tu avais vu au parloir à la santé et qui doit être notre témoin à notre mariage [...] C'est une femme exceptionnelle, ancienne infirmière militaire et assez bien placée au ministère. Pendant mes 2 ans et demi à la santé je l'ai considérée comme une mère, cette femme est dévouée, que cela n'en est pas pensable. Malheur à celui qui toucherait un seul de ses cheveux." L'ennemi public N°1 en profite encore pour briser cette réputation de fauve sanguinaire qui lui colle à la peau : "Si les journalistes savaient que toutes les infirmières entraient seules dans ma cellule et en toute confiance, on serait loin du "fauve" et de la prise d'otages à la Buffet. Les infirmières ont toujours été sacrées pour moi. Elles sont intouchables comme pas mal d'autres personnes, mais cela les pédés de journalistes l'ignorent ; car ils ne sont pas dans mes pensées et c'est regrettable parfois." Jacques Mesrine le révolté se surprend à apprécier sa solitude carcérale : "Sais-tu que je commence à me plaire ici... Quel calme tu sais manou, mon isolement je le supporte dans la mesure où j'ai la paix. En détention il n'est pas prouvé que je l'aurais. C'est de me réactions que j'aie peur... et la mentalité des prétendus truands est de plus en plus dégueulasse ! [...] dans mon isolement, il y a du bon et du mauvais... mais personnellement je ne veux pas me plaindre... car il n'y a pas de motif à le faire." et achève sa lettre par des considérations paternelles pour sa fille peu assidue à l'école et pour laquelle il se fait du mouron : "Je vais savoir si Sabrina a été régulièrement à ses cours... je fais le voeu que oui car si le cas contraire se présentait... pas de pitié cette fois-là... Mais que de souci peut représenter cette môme et quelle impuissance j'ai à la contrôler en étant ici !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine débordant de révération pour la corporation des infirmières et de regrettable détestation pour celle des journalistes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Editions nuit et jour. 28 juin 1979. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Dévouée a son mari jusqu'au crime, Elle découvre qu'elle a sa mère pour rivale, Il avait fait d'une petite vendeuse une chatelaine, Abattu par sa maitresse le jour de son mariage, Séparé de sa femme il ne supporte pas qu'elle le trompe, Elle force son mari a lui être infidèle Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Bureau du journal. 1890. In-4. Relié. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Du 4 janvier 1890 (n° 1497) au 27 décembre 1890 (n° 1548). Paginé de 281 à 416 et de 1 à 280 + suppléments.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Extrait des sommaires : La bergère de domrémy par Charles Buet, Dévouée par José de Coppin, Le garde fou par Jean Grange, Les noces d'or du grand père par Jean Grange, Obéissance par M. du Campfranc, Le diner du diplomé par Jean Grange, Le maréchal de Montmayeur par Charles Buet, La maison par J. Borius, Le juge et le marchand de légumes par Jean Grange Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Editions nuit et jour. 19 mars 2008. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 35 pages. Nombreuses photographies en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : La belle princesse et le ballon rouge par Bruno Lédion, L'horreur au bout des doigts par Hervé Hellec, Un héros de 9 ans, Plus forts que la tempête, Une garde malade si dévouée par Sylvain Auffret, Diner avec l'assassin par Bruno Lédion Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Bureaux du journal. 7 aout 1969. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 27 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Le meurtre par téléphone du chateau de Rostolane, Lucia, la call-girl dirigeait tout chez le vicomte de Régis par Henry Guy Devignac, Chantal, l'infirmière dévouée empoisonnait froidement le mari qui lui avait fait vivre cinq ans de bonheur parfait par Ivan Boutry Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux