"Perrin. 1973. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 339 pages. Illustré de nombreuses photos en noir et blanc hors texte. Envoi manuscrit de l'auteur (à Paul Guth) en page de garde.. . . . Classification Dewey : 96.7-Coll. ""le livre moderne illustré"""
Reference : RO40205124
"Un règne féminin sous le Second Empire. Classification Dewey : 96.7-Coll. ""le livre moderne illustré"""
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Galerie Georges Petit 1904 Grand in-4. Reliure demi-chagrin havane, dos à nerfs, XXII-125 pp., 35 planches sous serpentes. Petit accroc en tête de dos, coins frottés, intérieur frais.
Catalogue posthume de la collection de S.A.I. Madame la Princesse Mathilde, contenant des tableaux anciens, des tableaux modernes, des objets d'art et d'ameublement. Préface de Fédéric Masson. Bon état d’occasion
Amiot-Dumont, 1953, in-8°, 310 pp, préface d'Adrien Dansette, sources, 3 tableaux généalogiques hors texte, biblio, broché, bon état
Biographie de Mathilde-Létizia Wilhelmine Bonaparte, dite « la princesse Mathilde » (1820-1904) — "L'ouvrage de Marguerite Castillon du Perron sur la princesse Mathilde est agréablement écrit. II a le mérite d'apporter de l'inédit, tiré surtout des Papiers Primoli. On éprouve dès lors un plaisir constant à revivre cette vie manquée dès qu'il s'agit de l'amour, mieux réussie dès qu'il s'agit de l'amitié. La princesse a su être elle-même, indépendante et libre, sauf quand il s'agissait du culte napoléonien. Très substantielle préface de M. Adrien Dansette." (Pierre Guiral, Revue Historique)
Emile-Paul, 1929, in-8°, 365 pp, broché, couv. illustrée, bon état (ouvrage couronné par l'Académie française)
La princesse Mathilde est un des personnages les plus intéressants de la société du second Empire. La nièce de Napoléon Ier, l'amie des artistes et des écrivains, méritait de fixer l'attention. On suit son enfance à la cour de Sttutgart, auprès de son oncle le roi de Wurtemberg, l'idylle avec le prince Louis-Napoléon, le futur Napoléon III, puis le mariage inattendu avec un prince russe, Demidoff, mariage malheureux qui aboutit après cinq ans à une séparation. Vient ensuite l'installation à Paris, l'apparition du chevalier servant, le comte de Nieuwkerke, dont elle fit plus tard un surintendant des Beaux-Arts et qui sut tirer gloire de cette liaison impériale. Nous suivons ensuite la princesse Mathilde dans ses demeures, à Saint-Gratien, à Paris rue de Courcelles, entourée des amis, Sainte-Beuve, Théophile Gautier, le peintre Eugène Giraud, qu'elle appelait «ma vieille giraille ». Enfin, la retraite après la chute de l'Empire, l'hôtel de la rue de Berry, où elle vit en coquetterie avec le nouveau régime, et le vide se faisant peu à peu autour de la princesse, jusqu'à la disparition, le 2 janvier 1904, entourée des derniers fidèles. Le livre est bien informé : l'auteur a puisé abondamment dans les Mémoires du temps, les lettres et, souvenirs d'écrivains, et il a recueilli les confidences des derniers familiers de la princesse, le comte Primoli, M. d'Ocagne, la comtesse Benedetti.
S. l. 1854 [4] pp. in-f° (359 x 229 mm), 106 lignes, écriture cursive à l'encre brune.
Violent pamphlet anti-Bourbon en vers, autographe et inédit, sous forme de dialogue entre l'auteur et Mathilde Bonaparte signé et daté du 7 juin 1854. L'auteur accuse Mathilde Bonaparte, qui vient de donner son patronage en présence de L'abbé Moret et de monseigneur Sibour à un ouvroir de jeunes filles dit « asile Mathilde », de n'avoir fait « en ouvrant un asile à ces jeunes Ultra » que former « un dangereux essaims de serpens » dont la « pensée obstinement aspire à la destruction de notre jeune empire ». Et de continuer « qu'ils sont tous ennemis nés de toute dynastie qui de Robert-le-fort n'est pas, tout droit, sortie, et machinent sans cesse, avec un zèle ardent, un retour d'Henri-quint leur digne Prétendant. » Il finit par « Que dira l'empereur ? ». Il est fait référence ici à l'oeuvre de Notre-Dame des Sept Douleurs, créée pour secourir des jeunes filles nées ou domiciliées dans le département de la Seine. Fondée en 1853 par l'abbé Moret, curé de Saint-Philippe du Roule, la paroisse de Mathilde fut placée sous le patronage de la princesse en 1854. Auguste Barthélemy (1796-1867), est un poète satirique français. Après avoir acquis une certaine réputation locale comme poète, Barthélemy gagna Paris. Il produisit alors plusieurs oeuvres en collaboration avec Joseph Méry dont le succès fut immédiat. En 1829, Barthélemy fut emprisonné pour la publication de leur Fils de l'homme, puis fut libéré lors de la révolution de Juillet 1830. De mars 1831 à avril 1832, ils publièrent une série de satires en vers dans l'hebdomadaire La Némésis, où ils attaquaient le gouvernement de Louis-Philippe. En 1832, il publia un poème anonyme soutenant certains actes du gouvernement dirigés contre la faction libérale du parti orléaniste. Ce changement d'allégeance mit fin à son influence et ses écrits ultérieurs passèrent inaperçus. Pendant quelques années, il bénéficia d'une pension convenable du gouvernement et s'abstint d'écrire des satires. Il reprit son ancienne manière en 1844, mais sans renouer avec le succès.
P., Perrin, 1973, skivertex rouge et rhodoïd éd., 340 pp., ill. h.-t., bibliographie. (GE6C)
Collection Présence de l'histoire.