Albert Morancé. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 67 pages. Etiquette de code sur le dos. Tampons et annotation de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre.. . . . Classification Dewey : 746-Art et artisanat des textiles
Reference : RO40165446
Le Miracle de Beauvais. Les bâtiments. La main d'oeuvre. La manufacture de 1664 à 1927... Classification Dewey : 746-Art et artisanat des textiles
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S.l., s.d. (début du XVIIIe siècle) in-folio, [147] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne, très régulière et lisible (environ 30 à 35 lignes par page), infimes biffures, demi-basane marine, dos lisse muet orné de filets dorés, étiquette de titre contrecollée au centre du plat supérieur, tranches mouchetées de rouge (reliure du XIXe siècle). Coiffes et charnières frottées, pages uniformément roussies.
Copie de la fin du XVIIe ou du début du XVIIIe siècle d'une très importante correspondance diplomatique du futur cardinal de Forbin-Janson (1626-1713), évêque de Beauvais depuis le 25 septembre 1679, et surtout nommé de nouveau en 1680 ambassadeur extraordinaire de Louis XIV à la Diète de Pologne. Comme évêque de Marseille, siège qu'il avait occupé avant son transfert à Beauvais, le prélat avait déjà été envoyé comme ambassadeur extraordinaire à Varsovie pour l'élection du nouveau roi à la suite de la mort de Michel Wi niowiecki (mort le 10 novembre 1673). La Diète, extrêmement divisée comme il se doit en Pologne, se réunit le 11 mai 1674, et l'habileté de Forbin permit de rapprocher les partis et de faire élire Jean III Sobieski, ce qui correspondait au voeu de Louis XIV. Rien d'étonnant donc à ce qu'il ait été choisi pour cette nouvelle représentation, qui est au demeurant assez mal connue, mais dont l'objet était à la fois de réchauffer les relations bilatérales, apparemment un peu mises à mal par les intrigues et les prétentions de la Reine de Pologne (Marie-Casimire-Louise de La Grange d'Arquien), et de s'informer sur les dessous des demandes de subsides destinées à soutenir la lutte contre les Turcs, qui se préparait par l'alliance de l'Empereur et de la Pologne. Les relations actuelles entre les deux Couronnes jadis si proches pouvaient en effet être présentées comme suit (lettre XIV) : "Nous avons trouvé en arrivant le Roy et la Reyne de Pologne aigris par mille fausses préventions, persuadez que V. M. les mesprisoit, qu'elle vouloit les traiter comme des princes tributaires, entretenir la division dans leur Royaume affin qu'ils fussent dans une plus grande dépendance, ne leur accorder aucune grâce .."I. Les missives commencent le 3 août 1680 et vont jusqu'au 14 février 1681. Elles sont au nombre de 75.Parti de Paris le 24 juillet 1680, Forbin arriva à Varsovie le 1er septembre, en passant par Cologne, Münster, Hanovre, Berlin (où il rencontra le Grand Électeur). Il rend compte ensuite des diverses audiences obtenues de Jean III, ou de sa femme, d'abord très générales, puis rentrant dans le vif des négociations. Incidemment, il faut le lire insistant souvent sans discrétion excessive sur l'appui de Louis XIV pour l'obtention de son chapeau (qu'il n'obtiendra qu'en 1690 d'Alexandre VIII). Les matières abordées sont très nombreuses et tiennent autant aux affaires intérieures de Pologne, aux manoeuvres de la Reine (en faveur de son père le marquis d'Arquien), qu'aux préparatifs de la lutte contre les Turcs, envers laquelle Louis XIV manifeste un scepticisme et une réticence remarquables (il réitère plusieurs fois la consigne du secret sur d'éventuels subsides de sa part "jusques à ce que la guerre soit effectivement déclarée"). Le même prince refuse de s'engager à ne pas attaquer les États de l'Empereur en cas d'engagement conjoint contre la Porte : "Que pour ce qui est de la demande qu'il luy a faite par la lettre que le Sr. de Villars luy apporta par laquelle il souhaiteroit que V. M. donnast des asseurances qu'elle n'attaquera pas les pays de l'Empereur ny les Estats de l'Empire tant qu'il feroit la guerre conjointement avec la Pologne contre les Infidelles, je luy ai fait connoistre combien cette demande est captieuse de la part de l'Empereur et tout à fait inutile pour la Pologne (...)".À partir du 27 octobre, date de l'arrivée de Vitry, les lettres peuvent être rédigées par les deux ambassadeurs (comme la XII), mais l'évêque continue ses missives particulières au Roi. Les deux numérotées XIV et XV (toutes deux du 8 novembre 1680) sont particulièrement longues (ff. 23-38) et importantes, donnant non seulement tout le détail des affaires pendantes, mais aussi et surtout l'atmosphère de la Cour de Pologne, itinérante entre la Lituanie et la Russie en cette fin d'année 1680 : "Il faut que V. M. s'attache entièrement la Reyne de Pologne car il est certain qu'elle a un pouvoir absolu sur l'esprit du Roy son mary qui ne luy cache rien, qui la met dans toutes les affaires et enfin elle le tourne où il luy plaist".Au début de l'année 1681, les deux hommes rejoignent la Cour de Jean III à Varsovie, où doit se tenir la Diète. En annexe de la lettre XLIII du 14 janvier 1681, on trouvera des copies de missives de l'Électeur de Brandebourg, du prince Louis de Honenzollern (fils cadet de l'Électeur), de Wichert (résident de Brandebourg en Prusse).Au milieu de mille intrigues, la conclusion générale de l'ambassade tient en quelques mots de la dernière lettre adressée au Roi (LXX, du 14 février) : "la parole positive [que le Roy et la Reyne de Pologne] nous ont donnée de ne se point détacher de l'amitié de V. M. et d'entrer aprez la Diette dans un traitté d'alliance".II. Sont intercalées dans cette partie des copies de lettres de Roger Akakia (cf. infra), alors en mission en Transylvanie pour rallier les Mécontents de Hongrie à la politique anti-habsbourgeoise de la France, ce qui n'allait pas sans mal ("Je crois devoir avertir que les Hongrois Mescontens sont conseillez par quelques-uns qui se disent venir de la France, de s'accommoder avec l'Empereur, et pour les y porter, ils taschent de faire perdre à ceux la toute espérance d'un secours de la France sans lequel ils ne peuvent continuer la guerre"). Adressées aux deux ambassadeurs, elles en reçoivent des réponses conjointes (lettres XXVIII-XXX).Enfin, d'autres missives, plus courtes, sont adressées à divers personnages en poste dans le pays : Antoine Baluze, résident de France en Pologne depuis 1644 (il avait été attaché à la personne de Marie-Louise de Gonzague-Nevers, épouse de Ladislas IV, puis de son frère Jean II), et désireux de rentrer en France en raison du mauvais état de sa santé (il devait obtenir son congé, quitter Varsovie en mars 1681, pour mourir à Paris en septembre suivant) ; François du Pas de Feuquières, comte de Rébénacq, etc.III. À la suite de la correspondance du négociateur proprement dite a été réuni un dossier regroupant les instructions données au diplomate avant et pendant sa mission, sous le titre général de : Négociation de Monseigneur l'évesque et comte de Beauvais Pair de France, ambassadeur extraordinaire en Pologne (ff. 105-147), composé de cinq parties :1. Mémoire pour servir d'instruction tant au Sr. évesque de Beauvais allant de la part du Roy ambassadeur extraordinaire en Pologne qu'au Sr. marquis de Vitry, qui doit demeurer plus longtemps aud[it] pays en cette mesme qualité (ff. 105-112). Nicolas-Louis de Lhospital, marquis de Vitry (1636-1685), fils du maréchal de Vitry, fut ambassadeur en Pologne de 1680 à 1683, en remplacement de François-Gaston de Béthune-Sully (dont le séjour semble avoir été celui d'un brouillon), et après une mission auprès de l'Empereur. Il était censé arriver sur place avant Forbin, encore retenu par le soin de son nouveau diocèse (et où la lutte contre le jansénisme l'accaparait), mais ce fut exactement l'inverse qui se produisit.2. Addition au mémoire servant d'instruction (ff. 113-116).3. Lettres de créance données par Sa Majesté à Mgr de Beauvais pour le Roy et la Reyne de Pologne (ff. 116v-117r).4. Articles du traité secret signé avec Mr. l'Électeur de Brandebourg le 25e octobre 1679, dont il est fait mention dans l'instruction du Roy (f. 117). Il s'agit du traité secret de Saint-Germain-en-Laye, signé le 25 octobre 1679 entre le roi de France et l'électeur de Brandebourg Frédéric-Guillaume Ier, constituant un complément au traité homonyme signé en juin de la même année par lequel le Brandebourg restituait à la Suède ses possessions de Poméranie et de Stettin. Le Grand Électeur recevait des subsides de la France, mais s'engageait en retour à donner son suffrage au Roi ou au dauphin en cas d'élection impériale. 5. Lettres du Roy et de Mr. de Croissy à Mgr l'évesque de Beauvais depuis le 17 juillet 1680 jusqu'au 13 feb[vrier]) 1681 (ff. 117-147). Dans cette dernière partie, on trouvera également correspondance active et passive de Roger Akakia de Fresne, qui exerça longtemps les fonctions de secrétaire de l'ambassade de Pologne, et a laissé le souvenir ambigu d'un intrigant incorrigible (il avait déjà été embastillé en 1664 à la suite de son premier séjour en Pologne).Le CCF ne signale apparemment aucun manuscrit correspondant à notre recueil. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
[Imprimerie Typographique A. Beauvais ] - BEAUVAIS, Arsène
Reference : 67150
(1894)
Le Siège de Calais (1347) Opéra en quatre Actes et cinq Tableaux, 1 cahier in-4 br., 35 ff. [ On joint : ] Hildegarde. Légende en deux Actes, 11 ff. [ On joint : ] Marguerite, Opéra-Comique en un acte. Paroles de Arsène Beauvais, s.d., 4 ff. [ On joint : ] Le Siècle Typographique. 14e année n° 126 juin-juillet 1904, avec notice consacrée à Arsène Beauvais [ On joint : ] La France Fortifiée, Imprimerie Typographique A. Beauvais, Melun, 1886, 31 pp. [ On joint : ] Diplôme de Concours de Poésie des Concours littéraires de la Revue Stéphanoise (Poésie), troisième prix attribué à Arsène Beauvais, le 29 août 1894
Imprimeur Typographe né à Pithiviers le 14 décembre 1843, Arsène Beauvais travailla une vingtaine d'années à Bordeaux en tant que correcteur au journal "La Gironde". Il se fit une certaine notoriété en publiant une "Etude sur la place des mots" puis en 1900 "La Place des Mots ; les Erreurs de l'Académie". Etat satisfaisant (divers manques ou accrocs en couv. ou marges). Prix du lot, non séparable.
Paris, Durand et Pedone-Lauriel, Joseph Albanel, 1870 in-8, 625 pp, avec 4 planches hors-texte, sous serpentes, broché. Dos factice, qqs rousseurs? Ex-libris Yves Louis Mongrolle.
Unique édition de cette monographie : le Collège de Beauvais était sis dans l'actuelle rue Jean-de-Beauvais (Ve arrondissement) ; fondé en 1370 par Jean de Dormans, chancelier de France et évêque de Beauvais, il devint au XVIIe et au XVIIIe siècle un des hauts lieux jansénistes de la capitale. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
7 titres en 1 vol. in-8 reliure de l'époque plein veau brun, dos à 5 nerfs, contient : Discours qui a remporté le Prix d'éloquence à l'Académie Françoise en l'année MDCCLV, par ke P. Guénard, Jésuite, Chez B. Brunet, 1755, 35 pp. [ Suivi de : ] Eloge de Maurice de Saxe, Duc de Sémigalle & de Curlande, Maréchal Général des Armées de Sa Majesté Très-Chrétienne, Discours qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1759 par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Chez Brunet, Paris, 1759, 1 f., 42 pp. [ Suivi de : ] Eloge de Henri-François d'Aguesseau, Chancelier de France, Commandeur des Ordres du Roi, Discours qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1760 par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Chez Brunet, Paris, 1760, 1 f., 48 pp. [ Suivi de : ] Eloge de René Duguay-Trouin, Lieutenant Général des Armées navales, Commandeur de l'Ordre Royal & Militaire de S. Louis, Discours qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1761 par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Chez la Veuve de Bernard Brunet, Paris, 1761, 74 pp. [ Suivi de : ] Eloge de Maximilien de Béthune, Duc de Sully, Surintendant des Finances, &cc principal Ministre sous Henri IV, Discours qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1763 par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Chez Regnard, Paris, 1763, 91 pp. [ Suivi de : ] Epitre au Peuple, ouvrage présenté à l'Académie Françoise en 1760, par M. Thomas, Professeur en l'Université de Paris au Collège de Beauvais, Troisième édition, s.n., s.l., 1761, 13 pp. pp. [ Suivi de : ] Ode sur le Temps, qui a remporté le Prix de l'Académie Françoise en 1762, Chez la V. Brunet, Paris, 1762, 16 pp.
Intéressant recueil d'éloges, presque tous en édition originale. Etat très satsfaisant (reliure frottée avec mq. en coiffes et pièce de titre, première garde volante faible, mq. angulaire à la seconde garde volante, bon état par ailleurs).
P., Imprimerie Nationale, 1892, pt in-4°, xxiii-381 pp, 41 pièces justificatives, reliure demi-basane fauve mordorée à coins, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés, 1er plat conservé, bon état. Edition originale. Bel exemplaire
"Cet ouvrage est une thèse de l'Ecole des chartes qui repose sur des recherches étendues ; elle fait honneur à la fois à l'auteur et aux maîtres dont il a reçu les leçons. La commune de Beauvais s'est formée lentement, par développements successifs ; elle ne sort pas d'une insurrection victorieuse ; elle n'est point le fruit d'une concession gracieuse du souverain. L'évêque de Beauvais, des le début du XIe siècle, est maître et seigneur dans sa ville épiscopale et ne relève que du roi ; mais les bourgeois jouissent déjà de certaines libertés, de certains privilèges qui, peu a peu, se préciseront, prendront corps et se fixeront dans des chartes de coutumes. La royauté ne joue aucun rôle actif dans ce lent développement ; au XIIIe siecle, son intervention, sous saint Louis notamment, est plutot violente et maladroite ; plus tard, devenue plus habile, elle soumet la bourgeoisie de Beauvais à des persécutions savantes et bien conduites, qui doivent à son gré amener la ruine de la commune et l'abandon des libertés par les habitants. A Beauvais, ce résultat est plus lent à venir qu'ailleurs, et, jusqu'au XVIIe siecle, la ville gardera quelques-unes de ses franchises. Mais, dès le XIVe, l'autorité royale a pris pied dans la cité et, sous pretexte de réformer les abus, elle a mis des entraves au libre exercice du gouvernement communal. Sur toutes ces questions, sur le fonctionnement de la commune durant deux siècles, sur les droits respectifs des pairs et de l'évêque, on trouvera dans le livre de M. Labande beaucoup de très curieux renseignements. On peut citer entre autres le chapitre sur le développement du pouvoir épiscopal ; l'auteur montre fort bien comment il naît des le IXe siècle et comment le prélat parvient, au XIe, à évincer le comte." (A. Molinier, Revue Historique, 1893) — "L'histoire de Beauvais par M. Labande n'embrasse que la période allant des origines au commencement du XVe siècle, c'est-à-dire jusqu'à l'époque où l'autorité royale s'y implanta définitivement et remplaça l'administration municipale. C'est à partir du XIe siècle que les annales de cette ville deviennent surtout intéressantes, c'est-à-dire à dater du moment où les évêques acquirent le comté de Beauvais et où la charte communale fut concédée à cette ville. Si elle n'eut pas tous les privilèges politiques et judiciaires que l'on trouve dans d'autres localités plus favorisées, en revanche elle résista plus longtemps à toutes les causes ordinaires de ruine. Tandis que d'autres communes étaient absorbées par le pouvoir royal à la suite de leurs querelles et de leurs divisions intestines ou des dissensions qui s'élevaient entre elles et les juridictions voisines, il fallut tous les malheurs accumulés par la guerre de Cent ans pour diminuer seulement les privilèges administratifs et politiques de Beauvais. Aussi l'étude de l'organisation de cette ville était-elle intéressante, mais difficile, à cause de la dispersion des documents. M. Labande l'a abordée résolument et s'en est tiré à son avantage. Le volume qu'il offre au public fut d'abord présenté comme thèse à l'Ecole des chartes, et valut à son auteur l'honneur de sortir le premier. Dans la première partie, M. Labande fait connaître les différentes vicissitudes que subit la ville de Beauvais, depuis ses origines jusqu'à la fin du règne de Philippe le Bel, les relations de l'évêque et de la commune avec la royauté. La deuxième partie est consacrée aux institutions municipales. Nous apprenons successivement comment s'établit la commune, quelle était sa constitution, quelle était l'étendue de la juridiction des magistrats municipaux, quels furent les rapports de l'évêque et de la commune, et enfin ce que furent le commerce et l'industrie de Beauvais pendant le moyen âge. La troisième partie est le tableau de la décadence de la commune ; on assiste peu à peu à l'infiltration de l'autorité royale, d'abord dans les affaires militaires et dans les finances, puis à l'établissement d'un juge royal qui, après avoir connu de toutes les causes appartenant de droit au bailli de Senlis, finit par se trouver aux assemblées des trois corps de la ville, et par y exercer une influence prépondérante. Quarante et une pièces justificatives, la plupart très intéressantes, terminent cet ouvrage, qui fait réellement honneur à M. Labande." (Jules Viard, Revue des Questions historiques, 1893)