SGIE. Non daté. In-18. Broché. Etat du neuf, Tâchée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 84 pages. Illustré d'un plan en noir hors texte. Etiquette de code sur le 1er plat. Tampons et annotation de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre. Page de titre collée.. . . . Classification Dewey : 250-Ordres religieux chrétiens
Reference : RO40164716
Les lieux, Les Martyrs, Les Souvenirs. Classification Dewey : 250-Ordres religieux chrétiens
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S.l. [Paris] s.d. [vers 1730] in-4 en feuille, premier feuillet sali
3 pp. In fine : "Ces eaux se débitent aux Carmes déchaussez, près le Palais du Luxembourg, Fauxbourg Saint-Germain, à Paris".Un des prospectus publicitaires parisiens pour le remède traditionnel de l'Eau des Carmes, préparation alcoolisée à base de mélisse, de 23 autres ingrédients et d'eau distillée, à la composition presque inchangée depuis 1611. Il s'agit ici de la version du père Damien, commercialisée par les Carmes réformés de la rue de Vaugirard, en concurrence directe avec le couvent des Grands Carmes (de la place Maubert).La préparation est toujours commercialisée de nos jours en pharmacie : si, en 1797, les Carmes de la place Maubert en confièrent la recette à la Société des Pharmaciens de Paris, ce n'est pas par ce biais qu'elle est parvenue jusqu'à nous. En effet, c'est en mars 1824, qu'un acte de société fut passé entre les carmes survivants de la rue de Vaugirard, au nom de frère Antoine-Laurent Paradis. En 1829, le frère Paradis, dernier des Carmes, s’associa avec son neveu Antoine Royer. Enfin, en 1834, Amédée Boyer épousa la veuve Royer et devint l’unique propriétaire de la société et l’unique détenteur du secret du dernier frère des Carmes déchaussés de la rue de Vaugirard, fondant ainsi la Société de l’Eau de mélisse des Carmes Boyer. Cette société existe toujours, installée à Courbevoie en 1844, puis à Carrières-sur-Seine en 1990, et s'appelle aujourd'hui "Eau de Mélisse des Carmes"
Nouvelle série - N° 17 - Septembre-Octobre 1924 - Rédaction et Administration, Irigny (Rhône) - revue illustrée - petit in-8 broché - 26 pages
bon état
Marseille, Veuve de Henry Martel, 1708. 3 parties en 1 vol. in-12 de 401-(8) pp., veau brun, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Nouvelle édition de la règle du Tiers-Ordre carmélite refondé en 1708 à Marseille sous le nom de "Tiers-Ordre de la Sainte-Vierge du Mont Carmel et de la Sainte Thérèse de Jésus". Le premier coutumier de l'ordre avait paru en 1637 et la troisième édition était publiée en 1695 à Paris par Urbain Coustelier sous le titre La règle et les statuts du Tiers Ordre de Nostre-Dame du Mont-Carmel. Fondé par des ermites sur le mont Carmel en Palestine à la fin du XIIe siècle, les premiers Carmes quittent leurs ermitages au début du XIIIe siècle pour établir leur ordre monastique en Europe, bientôt divisé en Grands Carmes et en Carmes déchaux, ces derniers issus de la réforme instituée par Thérèse d'Avila au XVIe siècle : dans sa bulle du 23 mars 1594, le pape Clément VIII étend aux Carmes déchaux les privilèges accordés précédemment à l'ordre du Carmel d'organiser des groupes de laïcs dénommés "Tiers-Ordre carmélite" - car créé dans un troisième temps. La règle du Tiers-Ordre est définie en 1637 par les Carmes chaussés et conservée jusqu'en 1708 où une nouvelle règle spécifique est définie. Le Tiers-Ordre est alors renommé en "Tiers-Ordre de la Sainte-Vierge du Mont Carmel et de la Sainte Thérèse De Jésus". Cette règle restera en vigueur jusqu'en 1921 où elle sera revue et mise à jour.Bois gravés pleine page répété au verso des feuillets de titre des deuxième et troisième parties. Ex-libris gravé sur le premier contreplat : Christ en croix avec la légende "O Crux ave, spes unica". Pâle mouillure marginale, reliure partiellement épidermée.
COUVENT DES CARMES DECHAUSSES (LYON) - EX-LIBRIS - EXLIBRIS - BOOK PLATE.
Reference : 15783
Le Mans, Imprimerie de Monnoyer, 1851 in-12, 47 pp., dérelié.
Sur la conversion et l'entrée en religion du célèbre Hermann Cohen (1820-1871), fils d'un riche financier juif de Hambourg, dévoué au piano dès l'âge de quatre ans et qui s'était acquis une grande réputation tant comme interprète que comme compositeur. Il se convertit au catholicisme en 1847, puis entra dans l'Ordre des Carmes-Déchaux au monastère de Broussey sous le nom de frère Augustin-Marie du Saint-Sacrement. Prédicateur de renom, restaurateur de l'Ordre en Angleterre à la demande de Pie IX, il mourut à Spandau pendant la guerre franco-prussienne et fut enterré dans la cathédrale Sainte-Edwige de Berlin. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT