Librairie Plon. 1884. In-12. Relié demi-cuir. Etat passable, Plats abîmés, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 353 pages. Pièces de titre rouge et noire sur le dos avec auteur, titre et roulettes dorés. Dos très frotté avec fortes épidermures. Plats très frottés avec manque en surface du 2e. Couverture se détachant. Tampons en page de titre. Quelques feuillets détachés.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Reference : RO40152090
Léontine Duval. Madame Raveneau. Angélina. Deux procès de femmes. Parnay. Le Rosier. La foi du charbonnier. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
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Table; Léontine Duval, Madame Raveneau, Angélina, deux procès de femmes, Parnay, le Rosier, la foi du charbonnier. Ouvrage écrit sous le pseudonyme de Jules Quesnay de Beaurepaire (1834-1923), né le 3 juillet 1834 à Saumur et mort le 25 juillet 1923 à Vitrai-sous-Laigle, est un magistrat et écrivain français. En tant que procureur près la Cour d'appel de Paris, il a dressé l'acte d'accusation contre le général Boulanger Vol in8, 20x14, demi-cuir, dos à nerf, très bon état, 354pp. Paris, Plon 1884 ref/108
ABC Magazine. 1930. In-4. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Paginé de 353 à 380 + fascicule de 8 pages bulletin des abécistes - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Le croquis reportage par André Galland - réflexions sur le paysage à propos de Victor Charreton par Gustave Kahn - à travers l'estampe japonaise trois peintres de femmes par Jeanne G.Avelet - la gouache et son emploi en décoration par Ray.Lambert - le musée permanent des colonies - Baudelaire prosateur par Henry Peyre de Bétouzet - Hélène Branche. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Hachette & Cie. 15 avril 1910. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 79 à 104. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Madame d'A et son fils, Au carrousel militaire donné par la société hippique française, Les rois de la mode, Marcel Prévost, peintre du sentiment par Henry Bidou, Croquis d'enfants, Conférences de femmes, L'enfance de deux fiancés royaux par Jane Dieulafoy, Le mariage prolonge la vie, Mystificateurs et sosies Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Bureau du journal. 28 février 1943. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 11 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Croquis de la guerre de Russie, l'un remorquant l'autre les chars se perdent dans la nuit, Dans les usines de guerre 74 hommes ne font pas le travail de 66 femmes, Mlle Meyer, bernoise élève un futur empereur, L'Amérique en guerre contracte 23 millions de rhumes Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, relié.
Ensemble de huit estampes originales en couleur, tirées sur papier vergé. Les croquis XXXIII et XXXVI sont signés en bas à gauche et à droite des planches. Les planches sont introduites par un texte de Jeanne Ramon-Fernandez. Reliure à la bradel en plein papier à motif décoratif, dos lisse, tête dorée. Gravures originalesréalisées pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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