‎PICQ PASCAL, MOUNIER ALAIN‎
‎LE PREMIER HOMME ET SON TEMPS‎

‎Fontaine - Mango. 1997. In-4. Relié. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Illustré de nombreux dessins et photos en couleur. Bords inférieurs des plats abîmés.. . . . Classification Dewey : 306-Anthropologie‎

Reference : RO40151874
ISBN : 2740407009


‎'Regard d'aujourd'hui'. Classification Dewey : 306-Anthropologie‎

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‎Charron De la sagesse 1630‎

Reference : 4374

Phone number : 06 82 53 12 00

EUR200.00 (€200.00 )

‎PICQ Pascal, MOUNIER Alain & COLLECTIF‎

Reference : RO80142967

(1997)

ISBN : 2740407009

‎Le Premier Homme & son Temps‎

‎FONTAINE - MANGO. 1997. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Nombreuses illustrations et photos en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 0-GENERALITES‎


‎"Collection ""Regards d'Aujourd'hui"". Classification Dewey : 0-GENERALITES"‎

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‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎guerre Commentaires de Messire Blaize de Montluc Mareschal de France 1633 & 1661‎

Reference : 3840

‎"Commentaires de Messire Blaize de Montluc mareschal de France ou sont de?crits tous les combats, rencontres, escarmouches, batailles, sieges, assauts, escalades, prises ou surprises de villes & places fortes : deffenses des assaillies & assiege?es : auecques plusieurs autres faits de guerre signalez & remarquables, esquels ce grand & renomme? guerrier s'est trouve? durant cinquante ou soixante ans, qu'il a porte? les armes : ensembles diverses instructions, qui ne doivent estre ignore?es de ceux qui veulent paruenir par les armes a quelque honneur, & sagement conduire tous exploicts de guerre. A Paris, de l'imprimerie d'Arnould Cotinet, 1661 & à Paris, chez Pierre Bilaine, 1633 pour le second volume, 95 x 150 mm. & 169 x 110 mm. 6 ff. & 702 pp. & 604 & 11 ff., reliures vélin, intérieur bien conservé Les Commentaires de Blaise de Monluc sont les Mémoires du chef des armées catholiques pour le sud-ouest de la France, depuis le début de sa carrière militaire dans les campagnes d'Italie jusqu'aux guerres de Religion . Ces mémoires couvrent donc une vaste période, de l'année 1521 jusqu'en 1576 On admet comme point de départ à la démarche de Blaise de Monluc la longue lettre écrite en novembre 1570 à Charles IX dans laquelle le lieutenant du roi justifie son action en Guyenne au temps des guerres de religion. Un autre texte de 1573, ""Discours au roi sur le fait de la paix"" qui défend une ligne de tolérance religieuse, montre également les préoccupations de l'homme de guerre fortement impliqué dans le contexte de son époque. Envisageant une postérité plus grande, Monluc reprend alors le ""discours de sa vie"" dicté avant 1571 et l'améliore jusqu'à sa mort en 1577, très probablement avec l'aide de son frère cadet Jean, évêque de Valence, esprit fin et cultivé. Certainement aussi avec d'autres aides mais qui nous sont inconnus. Le premier jet du texte, qui était assez brut, y gagne une certaine qualité littéraire et un style plus vivant. Dans ses mémoires, Blaise de Monluc associe récit et commentaires. La partie « récit » se cantonne à sa vie de soldat en donnant des précisions sur les préparatifs militaires, les stratégies et les combats. Monluc fait la relation chronologique de ces exploits guerriers au service de son roi pendant plus de 50 ans de 1521 1 à 1576. Les descriptions des opérations militaires effectuées par Monluc sont faites de façon très précise et représentent de nos jours pour les historiens un inégalable répertoire des techniques de combat et de l'armement du xvi e siècle. Si dans la description de l'action, Blaise de Monluc conserve une excellente mémoire, il est moins heureux dans son maniement de la chronologie où un certain nombre d'erreurs est à relever. On le suit de campagne en campagne au gré des options de politique étrangère de la couronne de France comme dans le duché de Milan ( Pavie - bataille de Cérisoles .) ou contre les Espagnols. Les dernières décennies de sa vie coïncident avec les différentes phases des guerres de religion surtout dans le sud-ouest de la France où nous accompagnons le chef des armées catholiques dans ses multiples sièges et massacres des villes protestantes ( Toulouse , Bordeaux , Lectoure , Vergt , La Rochelle , Montauban , Nérac , Rabastens où il est gravement blessé d'une arquebusade au visage, etc.). Bien évidemment on rencontre aussi les hommes du temps, essentiellement des gens de guerre mais aussi des représentants notables du monde politique comme les rois et les princes ( Charles IX - le futur Henri III .). Son second désir est de « faire connaître son nom » car il est fier de son « honneur et de sa réputation » et il revient souvent sur son parcours social exemplaire : le fils de gentilhomme pauvre a atteint les premières charges du royaume en devenant lieutenant général du roi et tardivement maréchal de France . Il évoque aussi le souci de sa gloire posthume en se référant à l'exemple de César et en se plaçant dans la lignée des grands héros de guerre qu'ils soient hist"‎


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