Etienne Chiron. 1928. In-12. Broché. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Non coupé. 284 pages. Petits manques sur le dos. 1re page de garde salie. Pages jaunies.. . . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Reference : RO40151209
Sa vie politique. L'Orateur. L'Homme. Son Ouevre. Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
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Plon, 1981-1984, 3 vol. gr. in-8°, 332, 266 et 460 pp, 48 pl. de photos hors texte, biblio, brochés, couv. illustrées, bon état
Complet — "La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors) — "Moi, Aristide Briand" n'est pas une biographie comme les autres. Briand n'ayant pas laissé de Mémoires, Vercors, en écrivain de grande classe expert à saisir de l'intérieur les hommes et les choses, s'est substitué à lui pour nous donner ici la plus vraie des autobiographies. Était-il manière moins infidèle de raconter une vie, de comprendre un destin, que de rendre ainsi la parole à celui qui demeure l'une des plus hautes figures de l'histoire contemporaine ? La rencontre est exceptionnelle et la réussite totale, car la sympathie ne masque jamais le regard critique. Et Aristide Briand, avec son éternelle cigarette entre les lèvres, est là tout entier, vivant dans son temps. Du jeune avocat de Saint-Nazaire, aux prises avec un « scandale » amoureux, au diplomate des accords de Locarno, deux grandes passions dominent cette vie et cette carrière politique bien remplie. La passion d'unifier et la passion de la paix. Avant la guerre, voici l'ami de Jaurès – avec lequel il rompra dans la tristesse – œuvrant pour l'union du socialisme français. Après la guerre, voici l'apôtre du désarmement, avec son horreur de la « guerre inhumaine », voulant redonner ses chances à l'Europe meurtrie. Le prix de ce grand livre est de montrer que ces passions, ces combats ont été portés par une même et longue fidélité. Un portrait aux mille facettes, où revit de la façon la plus vivante toute une époque.
[MARTIGNE-BRIAND] DAINVILLE Architecte du Département de Maine-et-Loire, Angers place de l'Académie
Reference : 25344
(1878)
MARTIGNE-BRIAND 1878/1880 2 lettres à en-tête imprimé en noir du "Cabinet de M. Dainville, Architecte du Département de Maine et Loire, Angers, place de l'Académie", adressées à Mr Merlet (Propriétaire et Maire de Martigné-Briand), format : 21,5 x 26,5 cm, lettres de 4 pages (une feuille pliée en deux) manuscrites à l'encre brune, signées par M. DAINVILLE (Architecte du Département de Maine-et-Loire) et datées : Angers, le 10 Juillet 1880 + Angers, le 17 Aout 1878, le courrier du 17 aout, pour adresser les Plans de l'Etable, du Poulailler et des Toits à Porcs de votre basse-cour, le courrier du 10 Juillet 1880, pour adresser le plan de l'Ecurie et de la vacherie formant la 1ère partie des travaux à entreprendre des batiments de servitudes de votre propriété de Ville Neuve ............ + A - 1 Plan Original, format : 37 x 48,5 cm, à l'encre noire et rouge, sur papier fin toilé blanc avec un verso blanc brillant, intitulé : Projet de Construction des Servitures du Chateau de Villeneuve à Mr Merlet - Facade sur le chemin, plan dressé et signé par l'architecte : Angers, le 10 Juillet 1880 (signé) Dainville, ............ + B - 1 plan Original, format : 23,5 x 48 cm, à l'encre noire et lavis aquarelle rose, sur papier fin toilé blanc avec un verso blanc brillant, intitulé : Commune de Martigné - Propriété de Villeneuve appartenant à Mr Merlet - Batiments de Servitudes à Construire : Façade de la Porcherie + Facade de l'Etable à l'échelle 0,02: p: 100, dressé par l'architecte soussigné : Angers, le 17 aout 1878 (signé) Dainville, ............ + C - 1 Plan Original, format : 45,5 x 42 cm, à l'encre noire et lavis aquarelle rose, bleu et marron, sur papier fin toilé blanc avec un verso blanc brillant, intitulé : Propriété de Villeneuve appartenant à Mr Merlet : Projet d'une grille d'entrée, vue de face et vue de dessus (échelle : 0,05 pour 100), dressé par l'architecte soussigné : Angers, le 20 Juin 1878 (signé) Dainville, ............ + D - 1 Plan Original, format : 36 x 51,5 cm, à l'encre noire et lavis aquarelle rose, sur papier fin toilé blanc avec un verso blanc brillant, intitulé : Commune de Martigné - Propriété de Villeneuve - Batiments de Servitudes à Construire pour Mr Merlet : Cour des Servitudes (vue de dessus)(échelle : 0,02 pour 100)dressé par l'architecte soussigné : Angers, le 17 Aout 1878 (signé) Dainville, ........... + E - 1 Plan Original, format : 73 x 80,5 cm, à l'encre noire et lavis aquarelle rose et rouge, sur papier fin toilé blanc avec un verso blanc brillant, intitulé : chateau de Villeneuve - Mr Merlet Propriétaire - Projet de construction de Servitudes (Plan de l'Ecurie - Etable, vue de face et vue de dessus + portail de la basse-cour - vue de face)(échelle : 0,02 pour 100)dressé par l'architecte soussigné : Angers, le 26 Aout 1880 (signé) Dainville, ............... + F - 1 Plan Original, format : 58 x 97,5 cm, à l'encre noire et lavis aquarelle rose, rouge et noir, sur papier fin toilé blanc avec un verso blanc brillant, intitulé : Projet de construction de Servitudes du Chateau de Villeneuve appartenant à Mr Merlet : (Vue de dessus du Cellier, du Passage et du batiment de l'Ecurie et de la Vacherie, dressé par l'architecte soussigné : Angers, le 10 Juillet 1880 (signé) Dainville, ............. + G - 1 Plan Original, format : 60 x 50 cm, à la mine de plomb et lavis aquarelle rose, sur papier blanc, intitulé : Propriété de Mr Merlet - Batiment des Servitudes de Villeneuve : Détail d'Exécution (Corniche de l'Etable et frise sous la corniche à l'aplomb des pilastres : non daté et signé, ................ + H - 1 Plan Original, format : 48,5 x 37 cm, à l'encre noire, sur papier fin toilé blanc avec un verso blanc brillant, intitulé : Projet de Construction des Servitudes du Chateau de Villeneuve à Mr Merlet Façade sur la Cour (vue de face), dressé par l'architecte soussigné : Angers, le 10 Juillet 1880 (signé) Dainville, .............. + I - 1 Plan Original, format : 49 x 40 cm, à l'encre noire et lavis à l'aquarelle rouge et marron, sur papier fin toilé blanc avec un verso blanc brillant, intitulé : Commune de Martigné - Propriété de Villeneuve appartenant à Mr Merlet - Batiments de Servitudes à Construire : Pignon de l'Etable en Coupe de la Porcherie et Coupe, dressé par l'architecte soussigné : Angers, le 17 Aout 1878 (signé) Dainville, .............. + J - 1 Plan Original, format : 79 x 48,5 cm, à l'encre noire et lavis à l'aquarelle rouge, marron et noir, sur papier calque, intitulé : Propriété de Villeneuve appartenant à Mr Merlet : projet de construction de Servitudes, Plan du Plancher (vue de dessus), dressé par l'architecte soussigné : Angers, le 20 Novembre 1880 (signé) Dainville, .............. + J - 1 Plan Original, format : 68 x 48 cm, à l'encre noire et lavis à l'aquarelle rouge et noir, sur papier calque, intitulé : Propriété de Villeneuve appartenant à Mr Merlet : projet de construction de Servitudes, Plan de la remise, l'Ecurie et la Chambre (Vue de Face et de Dessus), dressé par l'architecte soussigné : Angers, le 20 Novembre 1880 (signé) Dainville,
Jules Merlet, Maire de Martigné-Briand est un homme politique français né le 26 novembre 1830 à Angers (Maine-et-Loire) et décédé le 1er août 1921 au château de La Barre (Martigné-Briand, Maine-et-Loire) ....... Ernest Jean François Dainville, né le 28 septembre 1824 à Angers et mort le 3 mars 1917, architecte angevin .... TRES BEAUX DOCUMENTS ORIGINAUX D'EPOQUE DU CHATEAU DE VILLENEUVE................. EN TRES BON ETAT (VERY GOOD CONDITION).
Grand cahier in-folio de 6 feuillets, sur papier vélin fort "Outhenin Chalandre Fils & Co. Savoyeux ". Paris, [Ministère des Affaires étrangères], 27 août 1928
Edition officielle du traité de paix signé par les 15 puissances au Quai d'Orsay le 27 août 1928. Texte bilingue français-anglais."Le pacte Briand-Kellogg, ou pacte de Paris, est un traité de paix signé en 1928 par soixante-trois pays qui "condamnent le recours à la guerre pour le règlement des différends internationaux et y renoncent en tant qu'instrument de politique nationale dans leurs relations mutuelles". Linitiative de ce pacte revient à Aristide Briand, ministre français des Affaires étrangères, et Frank Kellogg, secrétaire dÉtat américain. Signé le 27 août 1928 à Paris, il entra en vigueur le 24 juillet 1929. Cest le climat détendu des relations internationales qui permet la signature de ce pacte, par 15 puissances dont la France, les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Italie, l'Allemagne et le Japon, pour la renonciation générale à la guerre. Si le pacte est accueilli dans l'enthousiasme aux États-Unis, il suscite une réserve indéniable en Europe.Le texte avait en principe une portée limitée, dans la mesure où aucune sanction nétait prévue en cas dinfraction, seule une réprobation internationale étant envisagée".Très bon exemplaire.
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Plon, 1984, gr. in-8°, 460 pp, 16 pl. de photos hors texte, index, broché, couv. illustrée, bon état (Cent ans d'histoire de France, 3)
"La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)
Editions du Capitole, COLLECTION " LES NOUVEAUX CHATIMENTS" , N° 2, , 5 avril 1930 - In-8° carré, br, remplié sur un volet vertical, couverture au monogramme des éditeur ( voir plats en photo ), 187pp-1ff, bel exemplaire sur Alfa pour cet somme toute important tirage de l'édition Originale. Tranche de titre insolé formant une lisière contrastée avec les plats, plus frais, belle pagination exempte de rousseurs.
Marcel Proust , hors les positions de Daudet, écrivit à propos de ses "Choses vues" : « Les ressemblances entre Saint-Simon et Léon Daudet sont nombreuses : la plus profonde me semble l'alternance, et l'égale réussite, des portraits magnifiquement atroces et des portraits doux, vénérant, nobles" Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.