Octave Doin - Edouard Privat. 1888. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 423 pages. Envoi manuscrit de l'auteur en page de faux-titre. Ruban adhésif vert collé sur le dos. Tampons et annotations de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre. Couverture et cahiers se détachant. Derniers feuillets (Table) légèrement déchirés avec petits manques dans les coins supérieurs.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Reference : RO40143360
Etude pratique et médico-légale sur la persistance partielle de la raison chez les aliénés et sur leurs actes raisonnables. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
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Paris, Octave Doin / Toulouse, Édouard Privat, 1888. In-8, broché.
ENVOI de l’auteur. [6781]
P., Octave Doin et Toulouse, Privat, 1888, in-8, toile rouge, dos lisse, pièce d'auteur et de titre de cuir rouge, 424 pp. (SS3)
Édition originale. Étude pratique et médico-légale sur la persistance partielle de la raison chez les aliénés et sur leurs actes raisonnables. Rigoli dans Lire le délire cite cet auteur treize fois. Envoi de l'auteur : "Hommage affectueux à mon cher condisciple et ami de Dr R. Faucheux - Dr V. Parant".
3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]
3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.
P., Demonville, 1806/1807, 3 MEMOIRES reliés en un volume in 8, pleine basane racinée, dos orné de fers dorés (reliure de l'époque), 32pp., 48pp., (2), 48pp.
---- EDITION ORIGINALE ---- BEL EXEMPLAIRE ---- "Le premier ouvrage de Prost qui ait attiré sur lui l'attention publique est la Médecine éclairée par l'observation et l'ouverture des corps, résultat de plus de quatre cents autopsies... Il donna, avant Broussais l'explication du rôle joué par la muqueuse gastro-intestinale dans un grand nombre de maladies aigues... Les mêmes principes sont appliqués dans les Coups d'oeil sur la folie qu'il publia en 1806 et 1807. Ne constatant dans le cerveau aucune lésion susceptible d'expliquer les phénomènes observés, il porta ses recherches sur les viscères abdominaux et trouva le canal intestinal rouge, dénudé, parfois excorié, des matières muqueuses ou bilieuses, une dilatation de la vésicule biliaire, du gonflement des glandes mésentériques... De ces constatations anatomiques, de l'influence connue des passions sur les divers organes, et de l'influence de ces organes sur les fonctions intellectuelles, il tira les conclusions suivantes : la manie est un trouble des organes cérébraux déterminé par un trouble des organes muqueux du ventre et surtout de la bile et des intestins...". (Semelaigne I pp. 145/147)**4336/ARM1D-4437/CART.6
A Amsterdam, chez François L'Honoré, 1745. In-12, rel. de l'ép. pleine-basane fauve, dos à nerfs, caissons dorés ornés d'un fleuron doré, titre doré, roulette dorée sur les coupes, tranches rouges, gardes cailloutées, [10] ff.-340 pp.-[10] ff., 6 gravures dépl., 75 à mi-pp. in-t.
Ouvrage recherché pour la beauté de ses gravures, inspirées des dessins exécutés à la plume par Holbein, sur les marges d'un exemplaire de l'Eloge de la folie, que l'on peut voir encore au Musée de Bâle (COHEN, 348). Coiffe de tête arasée, mors supérieur fendu, départ de fente du mors inférieur, 3 coins un peu émoussés, petite galerie de vers sur les premières pp., bonne condition par ailleurs. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)