Denoël. 1982. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 267 pages. Envoi manuscrit de l'auteur en page de faux-titre.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Reference : RO40131827
ISBN : 2207227782
'Sueurs froides'. Roman. Couverture de Gillon. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Fleuve Noir 1971 1971. P. Courcel - Une Mort En Trop / Fleuve Noir 1971
Etat correct
Collection " Police-Express " n° 16 / Editions A.B.C. (1942) - Fascicule in-12 (10 x 13,5) agrafé de 32 pages - Couverture en couleurs illustrée - Très bon état
5 juin 1947 - N° 128 - revue illustrée - in-4 broché
assez bon état
Toulonb, Les Presses du Midi, 2008 14,5 x 20,5 cm, 362 pp Neuf car service de presse
Tome 3.
4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)