Société d'Editions Littéraires et Artistiques - Librairie Paul Ollendorff. 1901. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 282 pages.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Reference : RO40103529
2e édition. Roman. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Paris, Poulet-Malassis, 1862. 1 vol. in-12 relié demi-toile bordeaux, pièce de titre noire, couvertures conservées (salies), tampon à sec sur la couverture, XII 350 pp. Envoi de lauteur au Courrier de Tarn-et-Garonne. Etiquette « Quercy » collée sur le contre-plat supérieur. Deux ou trois taches marginales dans louvrage.Edition originale du premier livre de Léon Cladel, décrivant la bohême et « ses Martyrs ridicules », et dont on pense que Baudelaire a corrigé le manuscrit et conseillé lauteur. On sait que le tirage est de 500exemplaires. Bon exemplaire dans une reliure modeste, recherché également pour la longue préface donnée par Baudelaire.Catalogue G. Oberlé, Léon Cladel.
Achevé d’imprimer le 2 novembre 1475. [Auguste Vindelicorum, Ant. Sorg], 1475. In-folio gothique de (1) f.bl., 484 feuillets à 40 lignes par page, ainsi complet, mention manuscrite en bas du titre, qq. mouillures sans gravité, annotations marginales, signets de l’époque. Reliure monastique en veau brun estampé à froid sur ais de bois, dos refait, plats très ornés, écoinçons d’angle et cabochon central en métal, titre de l’œuvre calligraphié d’une main monastique sur le plat supérieur. Reliure réalisée vers 1475. 301 x 212 mm.
Edition princeps rare imprimée par Anton Sorg en novembre 1475. ISTC ic00292000 ; BMC II 342 ; BSB-Ink D-189 ; Goff C292 ; GW 6277 ; HC 4711 ; IGI 2601. « Edition rare décrite par Panzer, tome 1. p. 106, et par Hain ; elle a été vendue 9 livres 19 sh. 6 d. Bibliothèque d’Alchorne, en 1813 ; 20 et 48 flor. Butsch » (Brunet I-1666). Cette édition princeps a atteint des prix considérables signalés par Brunet : 9 livres 19 sh soit 200 f or en 1813, prix supérieur à l’édition originale des Précieuses ridicules. « Première édition, très rare ; les caractères sont ceux employés par Ant. Sorg, célèbre imprimeur d’Augsbourg. Elle est imprimée à longues lignes, et sans chiffres, signatures et réclames. Ces distiques moraux sont attribués à Caton le censeur, mort l’an 148 avant Jésus-Christ ». (M ; de la Serna, Dictionnaire bibliographique du quinzième siècle, 399) “First edition of Philippus de Bergamo’s treatise, the Speculum regiminis. Rather than a commentary on the Disticha Catonis, this text is an original work” (ISTC), and comprises the majority of the volume, commencing on folio 91. It was printed by Anton Sorg in the first year of his independent activity, with type acquired from the press at the monastery of St Ulrich and Afra”. L’œuvre de Cato eut une grande réputation au Moyen Age et fut traduite dans de nombreuses langues. Chaucer y fait de nombreuses références. La versification et la métrique sont d’excellente qualité. Jacques-Philippe Bergame, chroniqueur italien, né à Soldio en 1434, mort en 1520, appartenait à la famille des Foresti et entra dans l’ordre des ermites de Saint-Augustin. Ses écrits ou commentaires sont toujours recherchés des lettrés. Précieux exemplaire conservé dans sa rare et belle reliure de l’époque portant dans un cadre en laiton le titre de l’ouvrage dans une écriture monastique sur le plat supérieur - dos refait comme presque toujours pour un volume aussi épais - enrichi de cette inscription monastique sur le premier feuillet : « Iste liber est monasterii Stti Egidii in Nuremburg ordinis sti Benedicti » et de nombreuses annotations marginales. Autre fait rare, subsistent, dépassant des pages, la totalité des dix pattes ou petits signets de cuir fixés sous papier pour signaler des passages importants du texte et en faciliter l’accès.
Bruxelles, chez l'Éditeur Henry Kistemaeckers, 186. In-12 broché de [4]-321-[3] pages.
Seconde édition, imprimée sur papier bleuté, avec un avis de Léon Cladel en préambule qui semble désapprouver cette publication, ce "volume, tombé dans le domaine public, reparaît à présent, bien malgré nous. […] et nous voici l'obligé de qui nous désoblige en tirant ce bouquin de l'ombre où nous eussions désiré qu'il restât enseveli."Selon le témoignage de l'auteur, rapporté par sa fille Judith Cladel, Baudelaire aida à mettre en forme le roman, qui manquait de style et de syntaxe: “Huit mois durant, il daigna me pétrir de ses mains savantes et me rendre ductile et modéré, mois si dur de pâte et si violemment excessif... ” (Maître & Disciple, Paris, 1951, cité par G. Oberlé). L'éditeur: "Les Martyrs ridicules ont été entièrement remaniés et refaits sur les indications de Baudelaire. Je doute même que la collaboration n'ait pas été plus loin". (Poulet-Malassis; Bulletin du Bibliophile, avril 1923). Un poème intitulé "Mon Ane", extrait d'une ancienne revue, est collé sur la page de titre, avec l'inexorable marque due au papier de piètre qualité. Mais le poème est sympa, et il n'est pas inutile de préciser que l'auteur avait une passion pour les ânes, bardots, et autres bourricots.
Paris, Poulet-Malassis, 1862. In-8 de [2]-XII-[2]-350-[2]p. demi-percaline chocolat à la Bradel, dos lisse orné d'un fleuron doré, pièce de titre en maroquin prune, premier plat de couverture conservé, coins à peine frottés.
Édition originale du premier livre de Léon Cladel, et de l'importante préface de douze pages de Charles Baudelaire. Selon le témoignage de l'auteur, rapporté par sa fille Judith Cladel, Baudelaire aida à mettre en forme le roman, qui manquait de style et de syntaxe: “Huit mois durant, il daigna me pétrir de ses mains savantes et me rendre ductile et modéré, mois si dur de pâte et si violemment excessif... ” (Maître & Disciple, Paris, 1951, cité par G. Oberlé). L'éditeur: "Les Martyrs ridicules ont été entièrement remaniés et refaits sur les indications de Baudelaire. Je doute même que la collaboration n'ait pas été plus loin". (Poulet-Malassis; Bulletin du Bibliophile, avril 1923). De là à considérer ce texte comme le seul roman de Baudelaire il n'y a qu'un pas. On joint à l'exemplaire un poème manuscrit autographe de Léon Cladel dédicacé "A mon ami Alphonse Daudet" intitulé Palinodia, signé et daté du 5 janvier 1868. Il semble avoir été publié dans La Plume en 1892. Sans le faux-titre. Le tirage en a été limité à 500 exemplaires et un seul exemplaire sur Wathman, pour Baudelaire. Vicaire II, 402.
Paris, Jean Baptiste Coignard, 1695. In-12 de 1 titre, (4) ff., 69 pp., 36 pp. [Peau d’âne], 12 pp. [les Souhaits ridicules]. Peau d’Âne est précédé d’un titre particulier compris dans la pagination et les Souhaits ridicules d’un simple faux-titre. Veau blond, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs finement orné, pièces de titre en maroquin citron et vert, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure signée « Petit successeur de Simier », vers 1860. 161 x 96 mm. SECONDE EDITION COMPLETE, RARISSIME, DONT TCHEMERZINE NE CITE QU’UN SEUL EXEMPLAIRE « Daulnoy, veau ancien, 4 100 FF ». Les éditions originales de Peau d’Ane » et des Souhaits ridicules paraissent l’année précédente, en 1694, chez le même imprimeur. Ce recueil renferme l'un des plus célèbres contes de Perrault, Peau d'âne, initialement publié en 1694 à la suite de la seconde édition de Griselidis. On y trouve également l'intéressante préface (8 pages) de Perrault qui défend les contes comme un divertissement et un sujet d'instruction (cf. Tchemerzine, t. V, pp. 174-175) : ces bagatelles n'estoient pas de pures bagatelles, qu'elles renfermoient une morale utile, & que le récit enjoué dont elles estoient enveloppées, n'avoit esté choisi que pour les faire entrer plus agréablement dans l'esprit & d'une manière qui instruisist & divertist tout ensemble. Selon la nouvelle classification des contes de Ruth B. Bottigheimer1, Peau d’Asne serait le premier conte de fées français écrit. PRECIEUX EXEMPLAIRE PROVENANT DE LA BIBLIOTHEQUE Guy Pellion AVEC EX-LIBRIS ARMORIE.