LES CREATIONS DU PELICAN. 1993. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 145 pages illustrées de photos couleurs hors texte.. . . . Classification Dewey : 919-Géographie des autres parties du monde et des mondes extra-terrestres
Reference : RO40080148
ISBN : 2903696349
Guide pour voyageurs curieux. Classification Dewey : 919-Géographie des autres parties du monde et des mondes extra-terrestres
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
A Bordeaux, Chez A. Levieux, 1791. In-8 broché de 8 pp.
« Ce n'est pas seulement le commerce de Bordeaux, c'est la généralité des citoyens de cette ville qui viennent vous retracer les calamités qui affligent les colonies, et solliciter les secours que l'humanité, que le salut public réclament de votre justice. (…) Délibéré en assemblée générale de commerce à Bordeaux le 17 janvier 1791. » Manque à Jardel, Bibliographie de la Martinique.
, , 1812-1816. In-4 de (26)-154 pp. couvertes d'une écriture fine, régulière et très lisible (environ 30 lignes par page), [98] ff. vierges, le tout sur papier filigrané et réglé horizontalement, cuir de Russie fauve, dos lisse, encadrement de guirlande et semis de croisillons à froid sur les plats, tranches marbrées (reliure du XIXe siècle)
Ce registre manuscrit de correspondance, couvrant la période du 26 mai 1812 au 26 septembre 1816, constitue une source précieuse pour l'étude des échanges commerciaux et des dynamiques politiques de l'époque napoléonienne et post-napoléonienne. Bien que l’identité précise de l’auteur demeure incertaine, une tradition attribue ces lettres à un membre de la famille Falligan, influente lignée gantoise qui a marqué l’histoire de la ville de Gand par son hôtel particulier situé sur le Kouter, place emblématique de la cité.Organisation et contenu. Le manuscrit s’articule en deux volets distincts :Un registre alphabétique des correspondants, présenté sur des feuillets à onglets latéraux, permettant une navigation rapide dans le corpus.La minute des lettres expédiées, principalement rédigées depuis Londres (155 des 156 lettres), à l’exception de la dernière, écrite depuis Paris. Ces correspondances, rédigées pour l’essentiel en français, parfois en anglais, traitent majoritairement de sujets commerciaux et financiers : expédition de factures, connaissements, états financiers, comptes rendus d’affaires, ou encore le suivi des cours commerciaux. Les correspondants sont localisés pour la plupart aux Antilles (notamment en Martinique), à l’île Bourbon (aujourd’hui l’île Maurice) et à l’île de France (La Réunion).Correspondance personnelle et contexte historique.Cependant, certaines lettres se distinguent par leur caractère personnel, en particulier celles adressées à M. de Montbrun Desbassyns et à Mme Sophie de Montbrun, apparentés à la famille créole Panon Desbassyns, établie dans les Mascareignes depuis le XVII siècle. Richissimes propriétaires terriens, ces correspondants occupent une place centrale dans le réseau de relations de l’auteur. Le ton adopté dans ces lettres suggère une relation de proximité familiale, peut-être celui d’un père ou d’un frère de Sophie de Montbrun. Outre des considérations commerciales, ces missives abordent des sujets variés, notamment l’actualité politique européenne.L’analyse des lettres de novembre et décembre 1812 révèle les opinions tranchées de l’auteur sur la Campagne de Russie et sur Napoléon Bonaparte, qu’il désigne ironiquement comme "le grand empereur" ou "le petit caporal". En émigré royaliste exilé, il exprime une satisfaction palpable face aux revers de l’armée impériale :« Vous verrez par les papiers que ses succès en Russie lui ont coûté cher, que malgré tous ses efforts, il n'a pas encore rompu l'armée russe » (4 novembre 1812).« Les choses ont bien changé de face en Russie, et l'orgueil du petit caporal doit être terriblement rabaissé par la retraite qu'il est obligé de faire et que l'on pourrait appeler à plus juste titre une fuite plus qu'une retraite. Nous sommes tous ici dans l'admiration des Russes par le dévouement dont ils donnent des preuves tous les jours. » (23 décembre 1812).Un retour à Paris.Après une pause de deux ans dans sa correspondance, l’auteur reprend l’usage du registre avec une lettre datée du 23 juin 1814, toujours envoyée de Londres. Sa dernière contribution, rédigée le 26 septembre 1816, témoigne de son retour à Paris, marquant ainsi la fin de cette riche documentation.Ensemble, ces lettres offrent un témoignage unique sur le commerce, les relations internationales et les sensibilités politiques d’un émigré français de l’époque, ancré dans les réseaux économiques et sociaux des Mascareignes et des Antilles.
Recueil officiel de la plus haute importance pour l’histoire de la Martinique et pour l’histoire du droit. Saint-Pierre, de l’Imprimerie de Pierre Richard, 1767. Relié à la suite: Supplément au code de la Martinique. Saint-Pierre, Pierre Richard, 1772. 2 parties reliées en 1 volume in-folio de (4) pp., XX, 552, viii, 152. Conservé dans son cartonnage de papier bleu marbré d’origine, tranches rouges. Défauts d’usage à la reliure. 313 x 197 mm.
Édition originale fort rare de cet « incunable » martiniquais. Sabin, 61263; Barbier, Dictionnaire des ouvrages anonymes, 623; L’Imprimerie hors l’Europe, p. 143; Dampierre, p. 198; Leclerc, Bibliotheca Americana, 1436. Recueil officiel de la plus haute importance pour l’histoire de la Martinique et pour l’histoire du droit. Ce Code fut rédigé par Jacques Petit de Viévigne, qui était conseiller honoraire au Conseil supérieur de la Martinique en 1786, sénéchal et juge de l’amirauté de Saint-Pierre de la Martinique. «Cet ouvrage a été conçu et rédigé suivant un plan méthodique, de manière à servir à l’administrateur et au juge. Pour l’histoire, on a fait une table des documents par ordre chronologique. Mais il est bon d’ajouter que le seul acte antérieur à 1664 contenu dans le «Code» est l’Edit de 1642 portant extension des privilèges concédés à la Compagnie des Isles de l’Amérique […]. C’est la réédition de 1807-1814 de cet ouvrage que l’on rencontre ordinairement, l’édition originale étant fort rare» (Dampierre). Il est divisé en 8 parties: la première contient les lois sur l’Administration générale, la seconde celles ayant trait à l’Eglise, la troisième à l’armée, la quatrième concernant les finances, la cinquième le commerce, la sixième la marine, la septième traitant de la justice et la dernière de la police. Le Supplément publié en 1772 est également de la plus grande rareté et se trouve rarement relie a la suite du code. La Martinique fut occupée en 1635 au nom de la France par Charles Lyénard et Jean Duplessis; Saint-Pierre fut créée en 1658 et Fort-de-France en 1672. Les anglais s’emparent de l’île le 13 février 1762; le traité de Versailles (1767) la rend à la France. Un décret de 1789 déclare les hommes de couleur égaux aux blancs, puis la Convention proclame la liberté des noirs. La guerre civile qui suit l’émancipation ruine les cultures et malgré la résistance de Rochambeau, les anglais s’emparent à nouveau de l’île en 1794. Un traité en novembre 1815 rattachait définitivement la Martinique à la France. C’est dans ce contexte mouvant qu’est édité le Code de la Martinique. Le premier volume paraît l’année même de la ratification du traité de Versailles. Le Code de la Martinique est la plus ancienne impression connue faite dans cette île. «L’imprimerie doit remonter à l’année 1729 en Martinique, à cette date le premier brevet d’imprimeur est accordé au sieur Devaux, libraire; mais on ne connaît aucune impression sortie de cet atelier. Ce n’est qu’en 1767 que nous pouvons citer un livre, qui, jusqu’à nouvelle découverte, est un incunable» (L’Imprimerie hors l’Europe). «Recueil important et fort rare pour l’histoire de la Martinique; c’est une des plus anciennes impressions faites dans cette île, quoique le premier brevet d’imprimeur ait été accordé à un sieur Devaux en 1729, on ne connaît aucun livre sorti des presses de cet imprimeur» (Leclerc). Il est intéressant de lire dans la préface d’une édition postérieure du Code, imprimée à Saint-Pierre en 1807-1814, que cette édition originale de 1767 était déjà devenue introuvable: «Considérant que le Recueil connu sous le nom de ‘Code de la Martinique’ est devenu tellement rare qu’on ne peut plus se le procurer à aucun prix; que cependant cette collection, la seule de son genre existante, est devenue indispensable pour le maniement des affaires, tant publiques que privées, dans cette colonie…». Intéressant exemplaire conservé dans son état d’origine, dans son cartonnage de papier bleu marbré, sans aucune restauration. Tiré à petit nombre à des milliers de kilomètres de la métropole, dans un climat peu propice à la conservation des livres, ce volume est parvenu jusqu’à nous dans sa stricte condition de l’époque. Provenance: cachet de la Bibliothèque du Château de Saint-Marcel (B. du R.) sur le titre.
Fort de France Conseil général de la Martinique 1992 in-4 broché 1 revue, brochée blanc grand in-quarto Editeur (paperback in-4 Editor) (21 x 27 cm), dos blanc muet, 1ère de couverture illustrée en couleurs, toutes tranches lisses (edges smoothes), revue de luxe sur papier glaçé, orné de nombreuses photographies, documents, gravures, cartes in et hors-texte en noir et en couleurs, 208 pages, sans date (1992), Fort-de-France : Conseil général de la Martinique, Musée régional d'histoire et d'ethnographie de la Martinique Editeur,
N° SPECIAL sur la révolution en martinique et aux antilles............bel exemplaire.....en trés bon état (very good condition). en trés bon état
Fort de France Conseil général de la Martinique 1988/1989 in-4 broché 1 revue, brochée blanc grand in-quarto Editeur (paperback in-4 Editor) (21 x 27 cm), dos blanc muet, 1ère de couverture illustrée en couleurs, toutes tranches lisses (edges smoothes), revue de luxe sur papier glaçé, orné de nombreuses photographies, documents, gravures, cartes in et hors-texte en noir et en couleurs, 92 + 108 pages, 1988/1989, Fort-de-France : Conseil général de la Martinique, Musée régional d'histoire et d'ethnographie de la Martinique Editeur,
N° sur la Mer et les Hommes en martinique et aux antilles............bel exemplaire.....en trés bon état (very good condition). en trés bon état