MAME. Non daté. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Couv. partiel. décollorée, Mors fendus, Mouillures. 189 pages illustrées de gravures noir et blanc dans le texte. Illustration noir et blanc en frontispice.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO40074062
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SANOIS (Jean-François-Joseph de La Motte-Geffrard, comte de).
Reference : 11680
(1786)
, , 1786. Manuscrit in-folio réglé (22 x 32,5 cm) de (2)-162 pp., quelques feuillets laissés vierges, vélin sur ais de bois (reliure de l’époque). Titre manuscrit sur le plat supérieur à l'encre du temps : Journal du Comte de Sanois sortant de la Maison de force de Charenton où il a été détenu au secret depuis le 4. may 1785 jusqu'au 25 janvier 1786. Premier cahier. Mémoire dicté à Besançon (suivi sur le dos, en long :) Journal manuscrit du comte de Sanois May 1786 7bre 1787.
Le Comte de Sanois et son Journal : Une Plongée Historique au Coeur des Lettres de Cachet. Le journal manuscrit de Jean-François-Joseph de La Motte-Geffrard, comte de Sanois, représente un témoignage rare et précieux des abus de pouvoir sous l'Ancien Régime en France. Ce document, rédigé entre mai 1785 et janvier 1786, est bien plus qu'un simple récit autobiographique : il est une protestation poignante contre les lettres de cachet, ces instruments de justice arbitraire qui permettaient l'incarcération sans procès.Dans cet article, nous explorons les événements qui ont conduit à la rédaction de ce journal, son contenu et son impact historique. En mettant en lumière les luttes personnelles du comte de Sanois et leur résonance sociopolitique, nous espérons offrir un aperçu complet de cette époque tumultueuse.Le Contexte Historique : Les Lettres de Cachet. Les lettres de cachet, symbole du despotisme royal, permettaient au souverain d'ordonner l'emprisonnement d'un individu sans procès. Bien que souvent utilisées pour écarter des opposants politiques, elles étaient également exploitées dans des conflits familiaux ou financiers, comme ce fut le cas pour le comte de Sanois.Jean-François-Joseph de La Motte-Geffrard était un aide-major des Gardes françaises et chevalier de l’ordre de Saint-Louis. Accusé de dilapidation et de banqueroute frauduleuse, il fut enfermé à la maison de force de Charenton sur demande de sa propre famille. Cette détention arbitraire souligna les abus systémiques des lettres de cachet, offrant une illustration tragique de leur utilisation dans des affaires privées.Le Journal du Comte de Sanois : Une Déclaration de Défense. Une Rédaction en Captivité. Le comte de Sanois a commencé la rédaction de son journal en mai 1785, alors qu’il était emprisonné à Besançon. Ce mémoire fut dicté à deux officiers prisonniers comme lui, reflétant une volonté farouche de préserver son histoire et de préparer sa défense. Revu et corrigé après sa libération en janvier 1786, le manuscrit présente un récit organisé et soigneusement structuré en chapitres thématiques, chacun abordant un aspect de sa vie ou de son procès.Une structure précise. Le journal est divisé en plusieurs chapitres qui abordent les accusations portées contre lui, les conflits familiaux et financiers, ainsi que les épisodes marquants de sa vie. Voici quelques-uns des chapitres les plus notables :Accusations et Répliques : Une réfutation détaillée des charges de dilapidation et de banqueroute frauduleuse.Conflits Familiaux : Des descriptions poignantes de sa relation tendue avec sa fille et ses frères cadets.Procès et Transferts : Les étapes de son emprisonnement et de sa détention à Charenton.Vie Privée et Mariage : Des réflexions sur sa femme et les événements marquants de leur union.Un témoignage unique. Le manuscrit, relié sur ais de bois, est à la fois une pièce historique et un instrument de défense. Il illustre la volonté de Sanois de faire entendre sa voix, même en captivé, contre des accusations qu’il considérait comme infondées.Un procès au service d’une cause plus grande. L’Intervention de Pierre-Louis de Lacretelle Le comte de Sanois bénéficia de l’assistance de Pierre-Louis de Lacretelle, un jeune avocat et écrivain brillant. Lacretelle publia en 1786 un « Mémoire pour le comte de Sanois sortant de Charenton », qui attaquait directement l’usage des lettres de cachet.Cet écrit transforma une affaire privée en un sujet de débat public, exposant les dérives des pratiques judiciaires de l’Ancien Régime. Les arguments de Lacretelle, présentés avec éloquence et conviction, furent déterminants pour sensibiliser l’opinion publique.Une Affaire Politique. Le cas du comte de Sanois devint rapidement emblématique d’une lutte contre l’arbitraire royal. En effet, la critique des lettres de cachet était à l’époque un sujet de discorde majeure entre les défenseurs des libertés individuelles et les partisans de l’absolutisme monarchique. En portant cette affaire devant le tribunal de l’opinion publique, Lacretelle et Sanois contribuèrent à affaiblir la légitimité de ces pratiques.Impact et héritage. Une Victoire Symbolique. Bien que l’affaire n’ait pas conduit à une suppression immédiate des lettres de cachet, elle a joué un rôle clé dans leur abolition en 1790. Le courage de Sanois et l’habilité rhétorique de Lacretelle ont contribué à l’effritement progressif de l’autoritarisme royal.Un Héritage DocumentéLe journal du comte de Sanois reste aujourd’hui une source inestimable pour les historiens. Il offre un aperçu unique sur les luttes d’un individu face à un système oppressif, tout en éclairant les dynamiques sociales et juridiques de la fin de l’Ancien Régime.Le cas de Jean-François-Joseph de La Motte-Geffrard, comte de Sanois, révèle les failles d’un système judiciaire où les libertés individuelles étaient sacrifiées sur l’autel de l’autorité royale. Son journal manuscrit, à la fois confession et plaidoyer, est un témoignage éloquent de l’injustice de son époque.Aujourd’hui, ce document inspire par sa force et rappelle l’importance de la lutte pour les droits fondamentaux. En donnant la parole à ceux qui furent réduits au silence, l’histoire du comte de Sanois continue de résonner comme un appel à la justice et à l’équité.
DE CIRCOURT, Comte Adolphe ; DE CIRCOURT, Anastasie ; [Anastasie de KLUSTINE, Comtesse de CIRCOURT ] ; TICKNOR, Anna
Reference : 44698
(1836)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane verte, tomaison marquée : "1 - Littérature, Biographie" : Lettre sur l'Etat actuel de la Littérature Russe adressée à Mr. ***, Bibl. Univ. Octobre 1828, 20 pp. [ par Anastasie de Circourt ] ; Recension de : George Miloslawsky, ou Les Russes en 1612. Roman historique par Mr. Zagoskine, Bibl. Univ. Avril 1831, 23 pp. [ par Anastasie de Circourt ] ; Relation d'une course à Bénévent et à Amalfi, Bibl. Univ. Juillet 1832, 16 pp. (Fragment d'une lettre de Madame de ***) ; Fragmens de Lettre de Mad. *** contenant la Relation de quelques excursions dans le Royaume de Naples, Bibl. Univ. Novembre 1832, 20 pp. ; Messire Louis Arioste sans son gouvernement. Aventure du Seizième siècle. pp. 126-140 puis 214-242 et 328-348 ; Le Crucifix de Baden par M. le Cte Ad. de Circourt, Imprimerie Librairie de Mme Veuve Brugnot, Dijon, 1837, 17 pp. ; Le Mystère des Alpes ou la Comtesse de St-Gervais, Imprimerie de Mme Veuve Brugnot, Dijon, 1838, 24 pp. ; Gérardmer, Légende lorraine, pp. 163-186 ; Chants Populaires de la Campagne de Rome, 15 pp. ; Sur les romances espagnoles, Bibl. Univ. Mars 1831, 38 pp. et 1832 36 pp. ; Romances des Maurisques de Grenade, 26 pp. ; Poètes de la première Renaissance italienne. Guido Cavalcanti. Au Bureau de la Revue Contemporaine, Paris, 1855, 21 pp. ; Cino da Pistoia, Bib. Univ. 1858, 35 pp. ; Essai sur Michel-Ange, considéré comme Poète, Bib. Univ., Mars 1833, 35 pp. ; Etude sur Michel-Ange, Revue Française et Etrangèr, 82 pp. ; Louise de Medicis, Bib. Univ. décembre 1845, 28 pp. ; Poésies lyriques de Victoire Colonna, Bib. Univ. de Genève, 48 pp. ; Catherine d'Atayde, Imprimerie Ferd. Ramboz et Cie, Genève, 1853, 29 pp. ; William H. Prescott, Bib. Univ. 1859, 24 pp. ; Recension de : L'historien Prescott (sa biographie par George Ticknor), pp. 127-162 ; Alessandro Manzoni, pp. 462-472 ; Prosper Mérimée, pp. 336-342 ; Un littérateur américain. George Ticknor. [ With an autograph letter by Anna Ticknor ], Bib. Univ. pp.507-525 et 693-712
Recueil original d'articles (le plus souvent en tirés-à-part originaux) du Comte Adolphe de Circourt, dont plusieurs avec sa signature autographe et ses annotations. Un lettre autographe signée de 3 pp. par Anna Ticknor, veuve de George Ticknor, est relié avec l'article que lui a consacré le Comte de Circourt. With an autograph letter by Anna Ticknor, George Ticknor's widow :"Newport, July 22 '77. My Dear Count Circourt. The arrival of the number of the Bibliothèque you so kindly sent me was a moment of great interest. Ever since the publication of our volumes, my desire to know your estimate of them, has been strong and constant. Your familiarity with [... ] the work, and your faithful interest in Mr. Ticknor would induce you to demand a suitable presentation [ ... ] I thank you sincerely for the care & attention you have given to the work. [ ... ] Their reception in England & France, has given us the greater pleasure& a request lately received from Mme Tardieu that she may translate them into French is a great satisfaction [ ... ] I hope the peace & beauty of La Celle are refreshing your spirits & adding to your strength. We are enjoying quiet & freedom, joined to social & easy intercourse, with old friends, & new acquaintance, for Newport then intelligent & cultivated visitor from all path of the country. The come of the New administration is watched with the deepest interest, & strong hopes ; best my advanced age, makes me regard it, almost as I do a portion of part his long , as a scene that cannot influence my future. [ ... ]". Le salon d'Anastasie de Circourt et de son mari le Comte Adolphe de Circourt fut l'un des plus célèbres du XIXe siècle. Comme l'écrit Sainte-Beuve, "aucune prévention, aucun préjugé n’arrêtait cette personne, si pieuse d’ailleurs et si ferme dans ses croyances, dès qu’elle sentait qu’elle avait affaire à un esprit de valeur et à un homme de talent". Correspondant de Tocqueville, le Comte collabora à de nombreuses revues (Revue Britannique, Revue Contemporaine, Revue Britannique, etc...). . Etat très satisfaisant (mq. de papier au second plat, ex-libris Bibliothèque des Bruyères, très bon état par ailleurs) pour cet recueil établi par l'auteur, le Comte de Circourt et provenant de sa bibliothèque des Bruyères, à La Celle-Saint-Cloud.
Nouvelle Edition dans laquelle on a rétabli tout ce qui avait été supprimé dans les précédentes, 9 vol. in-12 reliure de l'époque pleine basane glacée mouchetée, dos à 5 nerfs, coupes ornées,Chez J. Nourse, Londres, 1743, 1 f., xcvi-435 pp. et 4 ff. n. ch. ; 1 f., 585 pp. et 7 ff. n. ch. ; 1 f., 630 pp. et 9 ff. n. ch. ; 1 f., 645 pp., 5 ff. n. ch. ; 1 f., 499 pp. et 3 ff. n. ch. ; 1 f., 458 pp. et 4 ff. n. ch. ; 1 f., 484 pp. et 4 ff. n. ch. ; 1 f., 408 pp. et 3 ff. n. ch. ; 1 f., 348 pp., 4 ff., 12 pp. Rappel du titre complet : Lettres, Mémoires et Négociations de Monsieur le Comte d'Estrades (9 Tomes - Complet) Tant en qualité d'Ambassadeur de S.M.T.C. en Italie, en Angleterre & en Hollande, Que comme Ambassadeur Plénipotentiaire à la Paix de Nimègue, Conjointement avec Messieurs Colbert & Comte d'Avaux ; avec les Réponses du Roi et du Secrétaire d'Etat : Ouvage où sont compris l'Achat de Dunkerque, Et plusieurs autres choses très-intéressantes
Maréchal de France et maire perpétuel de Bordeaux, Godefroi, Comte d'Estrades (1607-1686) est né à Agen. Page de Louis XIII, il est gouverneur de Dunkerque en 1650 : il rendra la ville aux anglais après la bataille des Dunes, et négociera son rachat en 1662. Fidèle à Mazarin pendant la Fronde, il est récompensé du titre de lieutenant général et de maire perpétuel de Bordeaux. Il sera également ambassadeur en Angleterre et en Hollande, participe au siège de Maastricht (qui coûtera la ville à d'Artagnan) et gagne son bâton de Maréchal de France en 1675, qui récompense sa prise de Liège. La présente édition, première complète (après celle de 1709 en 5 volumes et celle de 1719 en 6 volumes) est généralement considérée comme la véritable édition originale. Bon état (reliure un peu frottées avec petites usures en coiffes en coins, bon exemplaire pas ailleurs, ex-libris Gross-Russbach). Brunet, 24118
BONNARD (Abel) : L’Enfance. Paris, Le Divan, 1927. Plaquette petit in-8 sensu stricto, 72pp. [dont faux-titre et titre]-(1) f. [blanc / achevé d’imprimer], brochée, couverture imprimée ocre (de très bonne apparence, malgré une petite trace d’enfoncement en bas du dos, par contre, à l’intérieur, invasion de taches brunes – déjà - : papier de très mauvaise qualité). ÉDITION ORIGINALE, dans la collection « Les Soirées du Divan », n° 25, tirée à 925 exemplaires numérotés (celui-ci un des huit cents sur « bel alfa bouffant » (sic). D’entrée, le propos se veut rassurant : « J’aime plus l’enfance que les enfants » (p.7), mais, l’éducation doit être sévère : « (elle) n’est que le dernier cas du dressage » (p.59). Par ailleurs, quelle condescendance, quelle suffisance envers les plus démunis : « Un petit pauvre regarde avec une sorte d’étonnement et d’indépendance la misère de ses parents, qui n’est pas encore la sienne [sic !]» (p.44). Quel détachement du petit malheureux sur son sort : il est vrai que la religion est là, qui lui promet un bel avenir post-mortem. Surtout, pas de révolte, car, « rien de plus sinistre qu’un polisson gouailleur (…), c’est pourquoi le type de Gavroche est si repoussant » (p.41). Rien que çà. Autobiographie ? : « Un petit garçon de quatre ans jouait souvent avec une jeune fille, qui le maniait comme une poupée (…). Moi aussi, dit-il, quand je serai une jeune fille comme toi. – Mais, mon chéri, répondit-elle, tu ne seras jamais une jeune fille. Il faillit pleurer » (p.45). Dépit. Il faudra choisir, drame freudien / cornélien, attirance/répulsion : « Les enfants excellent à manier les grandes personnes (…) Dans ces manèges, l’adresse des deux sexes n’est pas égale (…) [Les garçons] sont plus simples, plus rudes (…) Les petites filles sont des femmes dès leur naissance, et les premières armes de ces innocentes sont celles des courtisanes » (p.63). Malgré tout, le Bonnard poète jaillit in fine : « Les enfants sont l’illusion de l’espèce, comme le printemps est l’illusion de l’année » (p.70)
Reference : G425
FAKE HISTORY Cette histoire n’est qu’un conte, une histoire à dormir debout. Les historiens se sont fourvoyés, volontairement ou non : une ascendance noble, fut-elle impériale et illégitime, flatte l’orgueil du bourgeois. Seulement voilà : comme la terre, l’État Civil ne ment pas, …au moins sur les dates. On trouvera dans les Archives de la Corse du Sud, l’acte de mariage de Pauline Benielli et Ernest Bonnard, dans celles de la Vienne, l’acte de naissance d’Abel : le premier en date du 10/02/1880 (note 13), le second, en date du 19/12//1883 (note 14). Que la gestation fut longue ! Et on comprend mieux l’attachement d’Abel à sa maman ! Elle mourra dans la villégiature pétainiste de Sigmaringen en 1945. Mais il a encore mieux : Abel n’était pas fils unique, avant lui étaient nés un frère et une sœur, décédés tous deux en bas âge (note 15). =================
Note 3- Abel Bonnard : Pour l’élite intellectuelle, dans la Revue hebdomadaire, t.7, 07/07/1936, p.248). Note 4- cité d’après B. Pénicaud et Vincent Vidal-Naquet : Les révolutions de l’Amour (etc.). Note 5- aujourd’hui remis à la mode par nos chères politiques, NKM à propos de Patrick Buisson, la Marine au sujet du beau Florian… [en 2017…] Note 6- cf. Pierre Dac, qui à Radio Londres, fustigeait le ministre : dans son parti, « l’envers vaut l’endroit ») Note 7- hexagonegay.com précise qu’à l’époque, « les lieux de rencontre homos parisiens (cinémas et vespasiennes) connaiss[ai]ent bien sa silhouette » ; en revanche, il déplore que « Je Suis Partout » ni la presse d’extrême- droite, si prompts à dénoncer l’homosexualité (…) n’ont fait état de l’homosexualité de Bonnard ». Note 8- pour present.fr/tag/abel-bonnard/ : « La belle Bonnard… Gestapette… Yves Morel le sait : immanquablement, ce sont les plaisanteries qui fuseront de la bouche des sots si vous jetez le nom d’A.B. dans une conversation (même universitaire). Et pourtant, voilà une personnalité plus complexe que sa mauvaise renommée : on ne lui connaît que des liaisons féminines ». Sans rire ! Note 9- Buisson (Patrick) : 1940-1945. Années érotiques (Paris, Albin Michel, 2009.2 volumes. « Abel Bonnard, le scandaleux » (t. I, p.263 et suiv.) nous apprend que « son vrai père est un aristocrate italien, J.N. Primoli, descendant de Lucien Bonaparte, qui séduisit sa mère, Marie-Paule [sic !] Benielli, peu de temps avant son mariage [re-sic !!]». Note 10- Descendia de José Bonaparte, Rey de Espana y de las Indias, y sus entronques i talianos y franceses (Anales de la Real Academia Matritense de Heràldica y Genealogia, vol.XII, 2009, pp. 143-327). Note 11- Pasquali, Costanza : Proust, Primoli. La Moda. Otto lettere inedite di Proust e tre saggi. Roma, Ed. di Storia et litteratura, 1961, p.32. Note 12- Yves Morel ( Abel Bonnard. Coll. Qui suis-je ? Editions Pardès, 2017) : « Ne pouvant épouser le père de son enfant, Pauline Benielli se résolut à un mariage de raison avec Ernest Bonnard (…) qui reconnut Abel et lui donna son nom », qui complète bien la formule de P. Buisson (note 9). Note 13- Archives Départementales de Corse du Sud Ajaccio, Mariages, 1880 (f° 55-56/159) Note 14- Archives Départementales de la Vienne, Naissances, 1883 (9 E, p. 251), avec cette note marginale manuscrite : « Décédé à Madrid (Espagne) le 31 mars 1968 ». Confirmation de sa naissance, post mortem. Note 15- Abel- Jean- Désiré (A) aux prénoms identiques et Fanny-Françoise-Justine (B) (A) Melun, avril 1881- Poitiers, 26/06/1883. A.D. de la Vienne , Décès 1883, n°490, f° 147/278 (B) AD de la Vienne, Poitiers, 08/07/1885 [Naissances 1885, n°438, f°121/250]- 12/05/1886 [Décès 1886, n°370, f° 102/259. « Nom de la mère : Pauline Bennieni »] !! Aujourd’hui, (08/2022), que l’on consulte Wikipédia, ou des sites dits sérieux ( ?) de généalogie (geneanet, geneastar), la fausse généalogie prospère. Une lueur d’espoir : la généalogie d’Ernest Bonnard, le père « nourricier »… Patatras ! Si le frère aîné Abel (1881-1883) est bien mentionné, on trouve immédiatement après un « demi-frère Abel, etc.). Errare humanus est, perseverare diabolicum.
PARIS 1799 1 acte, brochure de 4 pages (un grand feuillet plié en 2), sur papier vergé ligné et filigrané, manuscrite à l'encre brune sur les 3 premières pages, format : 29,5 x 21 cm, tampon timbre fiscal noir :"loire-inférieure", 75 centimes, en haut à gauche de la 1ère page, fait à PARIS LE 5 THERMIDOR AN 7, signé : RUEL,
Le "comte" Nicolas Auguste Marie Rousseau de Saint-Aignan, PAIR de France, né à Nantes le 8 mars 1770 et mort à Paris le 21 mai 1858, est un militaire, diplomate et homme politique français (Comte (fait baron de l'Empire, il fut appelé comte après son élévation à la pairie en 1835, sans avoir jamais reçu ce titre. Un cas similaire se présente avec Antoine d'Argout) ................ rare document original d'époque ...... en bon état ( good condition). bon état