"EDITIONS DE LA MODE NATIONALE /"" Collection Fama "" N°20. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos abîmé, Quelques rousseurs. ENVIRON 184 PAGES - manque en coiffe de pied.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne"
Reference : RO40062421
Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
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[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.
« Nous avons été profondément peinés par le deuil si cruel qui vous a frappé. Nous aurions voulu jusqu’à la fin, accompagner le cher et grand ami – Nous n’avons pas su….. où et quand, mais son souvenir demeure auprès de nous, qu’il honorait d’une belle amitié… ».
IMP. ALEX. JARLET. 1961. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Agrafes rouillées, Quelques rousseurs. Environ 10 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Classification Dewey : 792-Théâtre
[Édition privée], s. d. (vers 1880). in-8 (244 x 161 mm), (4), 301, (7) pp., 22 planches hors-texte tirées sur japon dont : portrait photo d'Édouard Ferry en frontispice, 1 page autographe et 20 pl. hors-texte (dont une non-annoncée à la table des planches), soit 7 clichés de Victor Franck, photographe à Saint-Dié, et 13 dessins par Louis Schutzenberger, Charles Mewès, Mme Eugénie Ferry et Mme Marguerite Fauconnier, reliure d'époque en maroquin janséniste, large dentelle intérieure, gardes de soie écarlate, doubles-gardes, tête dorée ; édition originale, ex-libris contrecollé sur premier feuillet blanc, très bel exemplaire.
Il s'agit très probablement d'une édition privée tirée à très peu d'exemplaires. Monographie de Retournemer, L'Âme des Plantes, Soupir de Nonne, Histoire d'Ours... Edouard Ferry était le cousin germain de Jules Ferry.