fayard noir. 2021. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 556 pages.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Reference : RO40056693
ISBN : 2213721084
Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
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Paris, D'Houry, 1750, in-12, [8]-IX-[3]-734-[2] pp, Veau marbré, dos à nerfs et fleuronné, pièce de titre havane, tranches rouges, Important ouvrage qui réunit les Observations sur les effets de la saignée et à L'art de guérir par la saignée. Sans le portrait de l'auteur et sans le dernier feuillet d'errata. Les travaux de Quesnay sur la saignée ont rencontré un très vif succès à l'époque ; le point de départ de ses réflexions sur le sujet se situe en 1730, lorsqu'il manifesta son désaccord avec Jean-Baptiste Silva qui, dans un Traité de l'usage des différentes sortes de saignée (1727), affirmait qu'il fallait toujours saigner la partie opposée de la partie du corps malade. Quesnay démontra, au contraire, que les saignées agissent par déplétion et que le sang n'était jamais attiré par les parties éloignées. Il publia dans un premier temps l'Observation sur les effets de la saignée (1730), et, six ans plus tard, alors qu'il pouvait profiter du puissant soutien du Duc de Villeroy, il enrichit ses première démonstrations d'une thérapeutique générale, L'art de guérir par la saignée (1736), afin de préciser dans quels cas la saignée doit ou peut être utilisée, et en complément de quels autres remèdes ou pratiques chirurgicales. François Quesnay (1694-1774), en dépit de ses origines très modestes, accomplit "une carrière de médécin-chirurgien éblouissante" (En français dans le texte) : il obtint tous les grades, devint membre de plusieurs académies savantes et fut nommé médecin personnel de la Pompadour. Il est surtout reconnu pour ses études physiologiques, qui forment la base de sa pensée philosophique et économique. Installé à la cour en 1749, il put s'occuper d'économie politique comme d'un "passe-temps". Il fut le fondateur de la toute première école systématique d'économie et l'auteur de textes "manifestes", le Tableau économique (1758) et la Physiocratie (1767). Bel exemplaire. Coins légèrement émoussés. Annotation manuscrite ancienne sur la dernière garde blanche. Blake, 368. Wellcome IV, 455. Couverture rigide
Bon [8]-IX-[3]-734-[2] pp.
Paris, D'Houry, 1750, in-12, portrait, [8]-IX-[3]-734-[2] pp, Basane havane de l'époque, dos lisse et fleuronné, pièce de titre rouge, plats ornés d'un quadrillage à froid, super ex-libris sur une pièce de maroquin rouge au premier plat [B. Pouuerreau], tranches rouges, Important ouvrage qui réunit les Observations sur les effets de la saignée et à L'art de guérir par la saignée. Bien complet du portrait de l'auteur, qui manque souvent. Les travaux de Quesnay sur la saignée ont rencontré un très vif succès à l'époque ; le point de départ de ses réflexions sur le sujet se situe en 1730, lorsqu'il manifesta son désaccord avec Jean-Baptiste Silva qui, dans un Traité de l'usage des différentes sortes de saignée (1727), affirmait qu'il fallait toujours saigner la partie opposée de la partie du corps malade. Quesnay démontra, au contraire, que les saignées agissent par déplétion et que le sang n'était jamais attiré par les parties éloignées. Il publia dans un premier temps l'Observation sur les effets de la saignée (1730), et, 6 ans plus tard, alors qu'il pouvait profiter du puissant soutien du Duc de Villeroy, il enrichit ses première démonstrations d'une thérapeutique générale, L'art de guérir par la saignée (1736), afin de préciser dans quels cas la saignée doit ou peut être utilisée, et en complément de quels autres remèdes ou pratiques chirurgicales. François Quesnay (1694-1774), en dépit de ses origines très modestes, accomplit "une carrière de médécin-chirurgien éblouissante" (En français dans le texte) : il obtint tous les grades, devint membre de plusieurs académies savantes et fut nommé médecin personnel de la Pompadour. Il est surtout reconnu pour ses études physiologiques, qui forment la base de sa pensée philosophique et économique. Installé à la cour en 1749, il put s'occuper d'économie politique comme d'un "passe-temps". Il fut le fondateur de la toute première école systématique d'économie et l'auteur de textes "manifestes", le Tableau économique (1758) et la Physiocratie (1767). Ex-libris de Jean Rouché. Coins anciennement refaits, mors fendillée. Feuillets jaunis, rousseurs éparses, petite galerie de vers en tête des premiers feuillets, sans atteinte au texte, mouillure angulaire claire aux derniers feuillets. Blake, 368. Wellcome IV, 455. Couverture rigide
Bon portrait, [8]-IX-[3]-734-[2]
Bel exemplaire bien complet de toutes ses planches et conservé dans son pur vélin de l’époque. Roma, Bartholomeo Bonfadino, 1586.In-4 de (6) ff. dont 1 titre gravé encadré d’une bordure architecturale, 118 pp. y compris 11 figures en taille-douce à pleine page, (1) f.bl. Pte. déchirure dans la marge blanche inférieure de la p. 93 sans atteinte au texte. Plein vélin souple de l’époque, dos lisse, titre calligraphié sur la tranche inférieure. Reliure de l’époque.210 x 154 mm.
Seconde édition de cet ouvrage médical du XVIe siècle consacré à la pratique de la saignée, l’un des plus beaux livres illustrés de la Renaissance romaine.Mortimer, Italian, 267 ; Graesse, IV, 338.L’illustration se compose d’un encadrement architectural sur le titre ainsi que de 11 figures gravées en taille-douce à pleine page. La gravure du titre porte le monogramme de Cherubino Alberti.La première figure présente les points pour la saignée signalés sur le corps humain. Les 10 planches suivantes illustrent la procédure de la saignée dans diverses circonstances. Ces illustrations apparaissent pour la première fois dans l’édition originale publiée à Rome deux ans auparavant en 1584.Brunet (III, 1298), qui ne semblait pas avoir connaissance de l’édition de 1584, souligne : « Ouvrage curieux. L’édition de 1586 est recherchée parce qu’elle renferme les premières épreuves des gravures ».« Pietro Paolo Magni, chirurgien, était né vers 1525 à Plaisance. Employé dans les armées, il se trouvait en 1551 dans le Piémont, et en 1571 en Espagne. Plus tard, il s’établit à Rome, et l’on sait qu’il y pratiquait son art en 1586, avec une certaine réputation. C’était, au surplus, un bon homme, grand partisan de la saignée et des sangsues ; mais très soumis aux médecins, dont il suivait aveuglément les ordonnances. Il ne se servait que d’une seule lancette, et il avait toujours soin de pratiquer une ouverture assez large pour que le sang soulât facilement. Son principal ouvrage est intitulé ‘Discorsi sopra il modo di sanguinar, attacar le sanguisughe, le ventose, le fregazioni ed i vesicatori al corpo umano’. Ce traité sur la saignée eut en Italie un succès constaté par ses réimpressions multipliées jusqu’au milieu du XVIIe siècle [...].Cet ouvrage ne laisse pas d’avoir son utilité pour l’histoire de l’art, et il est recherché par les curieux, qui préfèrent les anciennes éditions, parce que les planches n’en ont point été retranchées ». (Biographie universelle, 26, p.45).Bel exemplaire bien complet de toutes ses planches et conservé dans son pur vélin de l’époque.
A Paris, chez Antoine Boudet, 1766, in-12, IV-195-[4] pp, Basane marbrée de l'époque, dos lisse et fleuronné, pièce de titre rouge, tranches marbrées, "On se moque des gens qui prétendent avoir un même remède pour toutes les maladies, et cependant l'on ordonne la saignée dans tous les cas, quelle extravagance !" (p. 65) Première édition, premier tirage, reconnaissable à la faute p. 128 - "affliger" au lieu de "alléger", ici corrigée à la main - et aux dernières lignes du Privilège, qui sont au nombre de 12 ; il y a eu un second tirage où la faute est corrigée et où la fin du Privilège compte 7 lignes. L'auteur est un ardent adversaire de la saignée. Dans ce petit ouvrage, il travaille, selon son expression, "à faire rayer la saignée du catalogue des remèdes" p. [3]. Il va à l'encontre de l'opinion médicale encore admise ("Il faut bien être convaincu de la vérité de ce que l'on avance, pour oser attaquer une pratique anciennement établie & généralement soutenue" p. [3]). Malon a également publié des Essais sur neuf maladies également dangereuses (Paris, Boudet, 1770). Épidermures. Blake, 284. Waller, 6191. Wellcome IV, 37 (signale les différence entre les deux tirages, mais compte 11 lignes pour la fin du Privilège). Couverture rigide
Bon IV-195-[4] pp.
A Lyon, chez Jean-Aymé Candy, 1634, 1 volume in-16 de 148x88x48 mm environ, 1f.blanc, 5ff. (titre, au lecteur), 684 pages, plein parchemin crème. Des mouillures, galeries de ver margianles (p.38 à 50), quelques feuillets en partie détachés, des erreurs de pagination (sans manque).
Dans cet ouvrage : Le Médecin Charitable.Le Prix & Valeur des Medicamens, tant simple que composez, desquels on se sert à la Medecine. L'Apothiquaire Charitable, Enseignant à faire en la maison les medicamens composez avec grande facilité, peu de frais, & peu de temps.Le Médecin Charitable, Enseignant la Maniere d'embaumer les corps morts.Traicté des Baumes, Onguens et Emplastres.Traicté des Emplastres. La Manière de faire toutes sortes de Confitures, seiches & liquides.Discours du Bezoart et des Tromperies qu'on pratique avec ceste pierre, qui n'est qu'une invention des Droguistes pour attraper de l'argent.Traicté de la Peste, des ses causes, et sa cure, Avec les Remedes certains & approuvez pour s'en preserver & garentir. Faict par le College des Maistres Chirurgiens Iurez de Paris.La Conservation du Thresor de la Santé, ou Advis salutaire sur la saignée. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.