presses universitaires de France. Non daté. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 408 pages.. . . . Classification Dewey : 940.1-Moyen-Age
Reference : RO40031084
Classification Dewey : 940.1-Moyen-Age
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Paris Presses Universitaires de France 1970 In "Nouvelle Clio". Un volume in-8 cartonnage, 416 pages. Deux mors fendus.
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PUF, 1981, pt in-8°, 339 pp, 2 plans, importante bibliographie, index, broché, couv. illustrée, pelliculage lég. décollé, bon état (Coll. Nouvelle Clio)
"... L'inspiration générale de l'ouvrage, qui se tient assez au-dessus du simple « manuel » pour étudiants, même avancés, est la suivante : l'histoire politique est à réhabiliter et particulièrement pour un temps où les structures et les mentalités politiques ne sont pas encore à maturité. L'Etat est alors renaissant, mais il ne peut se consolider que par l'union entre le prince et le peuple. L'aspiration de ce dernier est, comme toujours, la paix et la justice, le premier doit l'amener à croire qu'il peut les lui assurer. Il lui faut donc présenter une image du roi où se mêlera l'idée en germe de nation, consolider les bases de la force princière, finances, justice, armée, puis exercer une propagande à laquelle des serviteurs dévoués s'attacheront, notamment à chacune des occasions où le « peuple » est censé être consulté dans les « états ». L'ouvrage est d'une qualité qui n'a pas été jusqu'ici égalée en France sur un tel sujet." (Robert Fossier, Bibliothèque de l'école des chartes, 1992) — En 1971, ce livre devait convaincre du poids du politique dans l'histoire. Cette démonstration n'est plus aujourd'hui nécessaire. Mais l'étude des structures et des mentalités politiques reste un champ encore largement ouvert à la recherche. Les Etats des XIVe et XVe siècles ont certes travaillé à accroître leurs ressources pour renforcer leur administration et leur armée. Leurs moyens étaient pourtant trop faibles encore. Un Etat solide ne pouvait naître que de l'accord d'un prince et d'un peuple. Le peuple cherchait la justice et la paix. Le prince devait le convaincre qu'il était assez fort pour les lui donner, et qu'il tenait à bon droit son pouvoir de Dieu. Autant et plus que la contrainte des institutions, la propagande du prince et les convictions des sujets assuraient la solidité de l'Etat.
Coll. "Clio" n° 22, Paris, éd. Presses Universitaires de France, 1970, gd. in-12, cartonnage couv. coul. éd., 416 pp., nb. cartes en noir, bibliographie, index, table des cartes et plans, table des matières, Où en est l'Occident à la fin du moyen âge ? Pas courant Bon état; couverture défraîchie
PUF, 1973, pt in-8°, 439 pp, 4e édition refondue, 14 cartes et plans, biblio, index, cart. illustré de l'éditeur, soulignures crayon, bon état (Coll. Nouvelle Clio)
Nos connaissances des économies, des sociétés et des civilisations des derniers siècles du "Moyen Age" se sont enrichies de façon considérable. En particulier, nombre de mises au point, fruits d'enquêtes précises, menées en profondeur et sans préalable, conduisent à nuancer ou contrarier quelques postulats jusque-là trop facilement admis de façon implicite. Le livre s'efforce de présenter ces acquis, d'en souligner l'importance. Dans son plan même, l'exposé abandonne le schéma dualiste traditionnel qui, dans nos manuels, opposait villes et campagnes. Cette thèse de l'antagonisme entre sociétés urbaines et sociétés rurales ne peut plus être retenue comme fil directeur. Tout indique au contraire une intime interpénétration des activités et des intérêts entre les deux mondes. Analyser ces interactions permet une approche nouvelle, plus enrichissante, et une vue plus globale. D'autre part, est également remise en question l'idée trop solidement ancrée de la contraction économique et donc des crises sociales, des bouleversements mêmes, de la "fin du Moyen Age". Le tableau est naturellement bien plus varié. Ici, les chapitres réunis sous le titre "Problèmes et directions de recherches" insistent sur les difficultés rencontrées lors des enquêtes qui visent à définir la conjoncture et, s'appuyant sur les travaux les plus récents, s'appliquent aussi à bien mettre en évidence les diversités de ce monde "médiéval" ; ainsi surtout pour les études démographiques et pour celles consacrées à l'évolution des prix, au rôle de la monnaie. L'exposé se veut autant méthodologique que didactique.
PUF, 1970, pt in-8°, 416 pp, 3e édition remaniée et mise à jour, 13 cartes et plans, biblio, index, cart. illustré de l'éditeur, bon état (Coll. Nouvelle Clio)
Nos connaissances des économies, des sociétés et des civilisations des derniers siècles du "Moyen Age" se sont enrichies de façon considérable. En particulier, nombre de mises au point, fruits d'enquêtes précises, menées en profondeur et sans préalable, conduisent à nuancer ou contrarier quelques postulats jusque-là trop facilement admis de façon implicite. Le livre s'efforce de présenter ces acquis, d'en souligner l'importance. Dans son plan même, l'exposé abandonne le schéma dualiste traditionnel qui, dans nos manuels, opposait villes et campagnes. Cette thèse de l'antagonisme entre sociétés urbaines et sociétés rurales ne peut plus être retenue comme fil directeur. Tout indique au contraire une intime interpénétration des activités et des intérêts entre les deux mondes. Analyser ces interactions permet une approche nouvelle, plus enrichissante, et une vue plus globale. D'autre part, est également remise en question l'idée trop solidement ancrée de la contraction économique et donc des crises sociales, des bouleversements mêmes, de la "fin du Moyen Age". Le tableau est naturellement bien plus varié. Ici, les chapitres réunis sous le titre "Problèmes et directions de recherches" insistent sur les difficultés rencontrées lors des enquêtes qui visent à définir la conjoncture et, s'appuyant sur les travaux les plus récents, s'appliquent aussi à bien mettre en évidence les diversités de ce monde "médiéval" ; ainsi surtout pour les études démographiques et pour celles consacrées à l'évolution des prix, au rôle de la monnaie. L'exposé se veut autant méthodologique que didactique.