Galic. 1963. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 208 pages.. . . . Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier
Reference : RO40023340
Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier
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Bureau de de la revue. Juin 1958. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : Par tous nos moyens, Lettre sur divers propos et le métier de menuisier par Francis Sambres, Se réformer ou périr par Henri Charlier, Les lois sociologiques et la loi naturelle (II) par Marcel Clément, Un démocrate chrétien : M. Georges Bidault, Esprit et l'Homme Nouveau, les deux dialogues : entre catholiques ou avec le communisme ?, Demeure avec nous car la soirée s'avance par D. Minimus Classification Dewey : 200-RELIGION
Paris, Buisson, 1792. 240 pages. (22x14cm.). Demi-percaline rouge. Dos lisse doré. Coins et coiffes émoussés. Plats un peu frottés. Le livre "Le commissionnaire de la Ligue d'Outre-Rhin, ou le messager nocturne" d'A. Doppet, publié en 1792 chez Buisson, est un ouvrage historique qui relate l'émigration française ainsi que les aventures galantes et politiques des chevaliers français et de leurs dames dans les pays étrangers. L'auteur y donne également des instructions sur les projets contre-révolutionnels ainsi que des notices sur tous les moyens tentés ou à tenter contre la Constitution. Rousseurs, plis, salissures et petits accrocs dans les marges.
Publications populaires. non daté. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Manque en coiffe de pied, Papier jauni. 249 pages - quelques pages non coupées - dos abîmé - coiffe en tête déchirée - plats tâchés et jaunis - deuxième plat plié - quelques figures en noir et blanc dans le texte. . . . Classification Dewey : 133.4-Magie, sorcellerie, démonologie
L'art de se faire aimer , recettes secrètes pour l'Amour, la fortune, le bonheur, la santé, la puissance, la domination, la jeunesse et la virilité - tous les moyens magiques pour réussir dans la vie - les envoûtements, pactes sataniques et Messes noires - la divination par les songes, les mains, les cartes les astres, le mars de café etc... - L'art des sorciers Classification Dewey : 133.4-Magie, sorcellerie, démonologie
[Chez Buisson, Paris, Chez Bruyset] - Anonyme ; [ DOPPET, Général François Amédée ]
Reference : 60237
(1792)
Par un François qui fait sa confession générale, et qui rentre dans sa Patrie, 1 vol. in-8 br., couv. postérieure, Chez Buisson, Paris, Chez Bruyset, Lyon, 1792, VIII-240 pp. Titre complet : Le Commissionnaire de la Ligue d'Outre-Rhin, ou le Messager Nocturne, Contenant l'histoire de l'émigration Françoise, les aventures galantes et politiques arrivées aux Chevaliers François et à leurs Dames dans les pays étrangers, des instructions sur leurs projets contre-révolutionnels, et des notices sur tous les moyens tentés ou à tenter contre la Constitution
Parodie de roman dénonçant les émigrés, rédigée par le médecin et général révolutionnaire François Amédée Doppet (1753-1799). Barbier, I, 651
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).