Gallimard. 2011. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 547 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO40023157
ISBN : 2070134571
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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GROUPE EXPRESS-ROULARTA. 2011. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 106 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en couleurs dans et hors texte - texte sur plusieurs colonnes. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Saint Augustin : pourquoi il est toujours d'actualité - les clefs de sa pensée - de la chute de Rome au 11 septembre : ou vont les civilisations? / la cause des livres : entretien avec Mona Ozouf... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Gallimard Gallimard 2011. In-8 broché de 547 pages. Petites taches en couverture sinon bon état
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Document sur vélin (parchemin) format 45 x 27 cm : "Louis par la Grace de Dieu, Roy de France et de Navarre, à tous ceux qui ces présentes Lettres verront Salut. Pierre Virens Peintre et Demoiselle Gabrielle Villiers son Epouse, et le Sieur Honoré Gourdain peintre demeurant à La Rochelle, nous ont fait exposer que par Contrat passé devant Bonnaud et son confrère Notaire à La Rochelle, le 29 août dernier ... dont l'extrait au terme de l'Edit du mois de Juin 1771 a été exposé l'espace de deux mois en l'auditoire de notre Sénéchaussée de La Rochelle suivant le certificat qu'en a donné Bonin commis de notre Greffier le onze du présent mois, ils ont acquis de Pierre Lachambre Etudiant Pierre Auguste Lachambre Marin et Demoiselle Marie Lachambre demeurant tous à Mauzé les trois quarts dans une petite Maison située à La Rochelle paroisse Saint Jean du Perrot Censive du Roy Moyennant Deux Mille cent livres pour en jouir en toute propriété ses hoirs et ayant-cause comme ... leur appartenant à la date du vingt neuf août dernier, lesquel (?) de maison appartenait auxdits Sieur et Demoiselle Lachambre, , ainsi qu'il est énoncé en le contrat devant (ex?) lesdits Sieur Virens, son epouse et Gourdain jouir dudit ..... et quoique les Privilèges et Hypothèques suivants et conformément à l'Edit du mois de Juin 1771 Nous ont très humblement fait supplier de vouloir bien leur accorder nos Lettres sur ce Nécessaires, aux considérations de notre Conseil qui a vu le contrat... le certificat de dépôt et autres pièces cy attachées, sous le contrescel de notre Chancellerie, nous avons ratifié ledit contrat du 29 août dernier, Voulons qu'il soit exécuté selon sa Teneur ; ce faisant que les Exposants, leurs hoirs et ayants-cause soient reconnus propriétaires incommutables dudit trois quart de maison, circonstances & dépendances, en jouissent et disposent comme de choses à eux appartenantes, purgées des privilèges et hypothèques conformément à notre arrêt du mois de juin 1771. Mandons à nos conseillers de notre Sénéchaussée de La Rochelle qu'ils aient à faire jouir l'exposant de l'effet des présentes, Car tel est notre plaisir : en témoin de quoi nous avons fait mettre notre scel en cesdites présentes. Données à La Rochelle treize décembre mil sept cens quatre vingt sept. Par le Conseil".
Les Lettres de ratification purgent les hypothèques. Bon état
Seuil / Ergo Presse / Robert Laffont in8. Sans date. Broché. 15 volume(s). 15 livres de François Dolto: Lorsque l'enfant paraît (tome 1 & 2) + Au jeu du désir + Séminaire de psychanalyse d'enfants + La cause des enfants + L'échec scolaire + Quand les parents se séparent +L'école avec Françoise Dolto +Autoportrait d'une psychanalyse + Sexualité féminine +Libido féminine +Conversations sur la libido féminine +La foi au risque de la psychanalyse +L'évangile au risque de la psychanalyse (TOME 1 & 2) +Autoportrait d'une psychanalyse +
Bon état de conservation dans l'ensemble certaines couvertures défraîchies rousseurs ternissures sur tranche présence d'ex-libris sur certains livres intérieurs propres
Important ensemble de 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]
Important ensemble réunissant diverses pièces relatives au "naufrage" de la librairie Dentu, au lendemain du décès du grand éditeur Edouard Dentu. On notera un remarquable rapport d'arbitrage détaillant avec une grande clarté les litiges très complexes qui opposèrent la Veuve Dentu à ses nouveaux associés. L'arbitre plonge dans les arcanes de l'édition et de la librairie parisienne des années 1884-1890. Prix du lot, non séparable.