‎Eberhart Mignon G.‎
‎L'hotel de la mort‎

‎Edition de France. 1933. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur frais. 271 pages.Dos renforcé par un adhésif kraft.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

Reference : RO40021116


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110096794

(1899)

‎LE JOURNAL ILLUSTRE N° 14 - L'incendie d'un hotel a New York par Carrey, La réception du corps diplomatique a l'Elysée par Damblans, LEs ramasseurs du bois mort par Tofani, L'hotel de la plage (suite) par Maurice de Froidmont, Cochers et loueurs‎

‎BUREAUX DE L'ADMINISTRATION. 2 AVRIL 1899. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 105 à 112. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré‎


‎Sommaire : L'incendie d'un hotel a New York par Carrey, La réception du corps diplomatique a l'Elysée par Damblans, LEs ramasseurs du bois mort par Tofani, L'hotel de la plage (suite) par Maurice de Froidmont, Cochers et loueurs de carrosses Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎[Histoire des Entreprises] – DOYON (André) et Lucien LIAIGRE.‎

Reference : 112990

(1963)

‎L'Hôtel de Mortagne après la mort de Vaucanson, 1782-1837.‎

‎ P., SEVPEN, 1963, gr. in-8°, 31 pp, (sur 75), broché, bon état (Histoire des Entreprises, n° 11, mai 1963)‎


‎"L'Hôtel de Mortagne inaugure une autre approche de la transmission de l'innovation, une « pédagogie intermédiaire » entre l'apprentissage dans l'atelier et un enseignement technique plus formel. Il s'agit cette fois de démonstration de machines et d'explication de principes mécaniques menées au dépôt par le directeur et, le plus souvent, par un jeune mécanicien adjoint, Claude-Pierre Molard. On en trouve quelque écho au détour des correspondances entre le Bureau du Commerce et les inventeurs. En 1787, un serrurier mécanicien du faubourg Saint-Antoine, Jean-Baptiste Bara, présente un métier à tricot sans envers et explique qu'il en a eu l'idée d'après un métier anglais déposé à l'hôtel de Mortagne. Si cet enseignement technique prévu à l'Hôtel de Mortagne, voulu par Vandermonde (« ce qui manque..., c'est une pépinière d'ouvriers jeunes et stilés dans l'exercice de ces nouveaux procédés... ») n'est pas facile à mener avant la Révolution et reste controversé ensuite, il trouve des prolongements dans la Petite École (1800) et dans l'École de Filature (1804) installées au Conservatoire des Arts et Métiers..." (Liliane Hilaire-Pérez, Revue d'histoire moderne et contemporaine, 1997) — On trouve dans le même numéro deux autres études : Une maison de commerce à Grenoble au milieu du XVIIIe siècle, la Maison Carny, 1739-1768 (Yves Eveno, 16 pp) ; Les tentatives d'emprunt espagnol en 1823-1825 (Bertrand Gille, 26 pp). ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR20.00 (€20.00 )

‎Charles SELLIER - Georges HARTMANN - M. GAUTHIER - Maxime VUILLAUME - René L'ESPRIT - Philippe DUFOUR - Paul HARTMANN‎

Reference : 17620

‎La Cité - Bulletin trimestriel de la société Historique et Archéologique du IV è Arrondissement de Paris Sommaire : Le premier hôtel des Archevêques de Sens - Hubert robert, le centenaire de sa mort - L'Hôtel-Dieu et les Soeurs Augustines - a propos de la démolition de l'Hôtel du Prévôt, dénommé à tart Hôtel de graville - Gérard de Nerval - Le déplacement de la Morgue - Du haut du pont de la Tournelle ‎

‎ PARIS, Lib. Anc. H. champion - Revue In-8 - broché - couverture illustrée - 7 è année - N° 27 - juillet 1908 - illustrations en texte, dont le Grand-Chatelet - Pagination 179 à 276 - 16 pages de publicité - bon exemplaire‎


‎ - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

Phone number : 06 81 23 31 48

EUR18.00 (€18.00 )

‎James Church‎

Reference : 400047393

(2010)

ISBN : 2020933861

‎Un mort à l'hôtel Koryo‎

‎Points 2010 2010. James Church - Un mort à l'hôtel Koryo / Points 2010‎


‎Bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

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