Figuière. 1935. In-12. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 177 pages. préface de Lacaze-Duthiers.. . . . Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES
Reference : RO40020750
Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
CORLET IMPRIMEUR. MARS 1993. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 183 pages - coiffes et coins légèrement frottés.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
SOMMAIRE : On peut considérer que toute pathologie mentale conduit à une restriction de la liberté de penser.La vie psychique ne se développe pas de façon continue : l’acte est toujours d’une certaine manière suspens de la pensée.La même alternance se retrouve collectivement : intégrismes et passages à l’acte sont liés, ligués contre la liberté de penser.Ainsi les psychiatres, dans leur défense quotidienne des malades mentaux, dans leur souci d’un plus grand choix, d’un plus grand jeu psychique, peuvent-ils être considérés comme des travailleurs de la liberté de penser. - Simon-Daniel KIPMAN :LA LIBERTÉ GUIDE NOS PAS (Éditorial)René ANGELERGUES :LA LIBERTÉ DE PENSER : C’EST-A-DIRE ?Tves MANELA :LA LIBERTÉ DE NE PAS PENSER (Entretien avec Alain Finkielktaut)Jacques CHAZAUD :. UN MYTHE DU LANGAGE,k>Alain KSENSEE :PENSER LA HAINE. L’EFFORT POUR RENDRE L’AUTRE MOINS FOUSophie de MIJOLLA-MELLOR :INCAPABLE DE PENSERHarold W. KOENISBERG, Otto F. KERNBERG, Ann H. APPELBAUM, Thomas SMITH :ANALYSE DES INTERVENTIONS DU THÉRAPEUTE DANS LA PSYCHOTHÉRAPIE DE CAS-LIMITESDiran DONABEDIAN :LA PENSÉE OPÉRATOIREMilton VIEDERMAN :ACTUALISATION D’UN ROMAN FAMILIAL ET UTILISATION DU PASSÉBernard GOLSE :LES ORIGINES DE LA PENSÉE CHEZ L’ENFANTMarcel HOUSER :DU BON USAGE DE L’ARBITRAIRE (ou comment se négocie une hospitalisation d’office)Jacob LINDY :LE RÔLE DU TRAUMATISME DANS L’ÉTIOLOGIE DES TROUBLES MENTAUXMadeleine RIVIÈRE :LA FEMME VAUT-ELLE UN NOUVEAU PARADIGME ?Samuel LEPASTIER :LA PENSÉE SCIENTIFIQUE DANS LES ASSOCIATIONS PSYCHIATRIQUES » Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Gallimard. 1982. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 356 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : A quoi penses-tu ? - la pensée est elle chose mentale ? - afflux - pulsation - trouble du penser et pensée du trouble - penser, c'est croire qu'on a le temps - la pensée malade de la peste - Imre Hermann : pensée, cramponnement et préférence périphérique - du vide plein la tête - la psychophobe - un cas de triple méprise - un rêve d'énigme - une pensée qui va et vient - l'interdit de penser que portent les petits mots - la double limite - attaques contre les liens - penser le somatique - différenciation entre pensée concrète et pensée métaphorique - condamné à investir - deux lettres de Maurice Blanchot. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
A Paris, Chez Henrichs, 1803. In-8 de XII-402 pp., demi-basane havane, dos lisse orné (reliure moderne à l'imitation).
Édition originale du premier ouvrage de Maine de Biran, l'un des rares publiés de son vivant. Le texte offre la version revue de la dissertation déjà présentée en 1800, couronnée de succès en 1802. Il faut dire que le second jury était en parti dirigé par Cabanis et Destutt de Tracy, qui apprécièrent de lire dans l'ouvrage des vues proches des leurs. Royaliste modéré membre du Conseil des Cinq-Cents, le coup d'État du 18 Fructidor chasse Maine de Biran de Paris. Écarté de la vie publique, il se retire sur ses terres de Dordogne et commence à noter « les observations qu'(il fait) sur lui-même ». La question soulevée par la classe des sciences morales et politiques de l'Institut en 1802 fait alors écho à sa réflexion sur la conscience. Premier jalon de sa pensée, l'Influence de l'Habitude va d'emblée le distinguer des Idéologues qu'il avait fréquentés lors de son séjour parisien.
2002 1 vol in-8 broché - N° 1 de printemps 2002 - Editions Mercure de France - 268 pages -
Bon état -
Aix, Impr. des Croix Provençales, 1941, in-8°, 117 pp, broché, bon état. Edition originale de ce texte qui sera réédité en 1946 chez Aubier
"L'auteur considère l'art de penser, en moraliste, comme une partie de l'art de vivre ; il désire éveiller les dispositions qui font naître la pensée et l'orientent dans la voie droite. Pour qu'il se mette à penser, un esprit doit être tiré de l'incuriosité et de l'indifférence blasée ; c'est pourquoi un premier chapitre sera consacré à faire naître ou renaître l'étonnement. L'esprit devra aboutir à l'invention et au jugement : l'invention mettra en œuvre l'imagination ou simplement la faculté de combiner les idées ; le jugement aura à conclure et à systématiser. Entre deux, il y aura place pour trois ordres d'opérations consistant à « élire », à « distinguer », à « contredire ». Elire : faire un choix, même dans les lectures ; ce choix qui ne doit pas dégénérer en étroitesse d'esprit, fera l'unité d'une pensée. Savoir distinguer ; des mots comme « raison », « nature », « amour », « habitude » prêtent à l'équivoque ; celui qui sait distinguer leurs sens a, de ce fait déjà, su se créer une philosophie. Enfin contredire, en ce sens qu'une pensée vivante est un perpétuel dialogue avec un contradicteur, une discussion avec l'étranger ou avec soi ; le paradoxe, l'ironie, l'humour, la dialectique sont autant de manifestations d'une lutte intime dans la pensée. Guitton a voulu, selon la bonne tradition classique, énoncer des conseils valables pour chacun et cependant donner au dialogue un caractère personnel et intime ; c'est pourquoi il a eu soin d'adresser à une personne déterminée des propos que chacun adaptera à soi. L'interlocutrice à laquelle il dédie son écrit s'appelle Irène. (...) L'art de penser de M. Guitton ne se sépare pas nettement d'un art de bien lire les beaux livres et de goûter les belles choses ; ce n'est pas un art de créer, mais un art de bien comprendre." (Robert Feys, Revue Philosophique de Louvain, 1947)