Albin Michel. 2010. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 309 pages.. . . . Classification Dewey : 332-Banque (économie financière)
Reference : RO40009285
ISBN : 2226206264
Classification Dewey : 332-Banque (économie financière)
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Grasset, 1929, gr. in-8°, 501 pp, un portrait de Mollien en frontispice et 8 pl. de gravures et fac-similés hors texte, biblio, index, reliure pleine toile verte, dos lisse avec titres dorés, couv. (restaurée) conservée, bon état
Un ouvrage classique qui reste une référence indispensable. — "Il faut louer M. Gabriel Ramon, tout d'abord de son courage. Car, écrire sur la première page d'un livre, de dimensions d'ailleurs moyennes, ce simple titre : Histoire de la Banque de France d'après les sources originales – c'est évidemment témoigner d'une belle intrépidité. Qu'on songe à tout ce qu'implique, et à tout ce qui est impliqué dans une telle histoire ? Suivre les destins du grand établissement que créèrent les décrets de 1800, et ne pas se perdre, ne pas se noyer dans l'océan illimité de faits politiques, économiques et financiers d'ordre national, d'ordre international aussi, qui constituent ce qu'on pourrait nommer « l'histoire large » de la Banque de France ; rester, au contraire, sans se laisser divertir de cette tâche, l'historiographe attentif de l'établissement lui-même ; retracer ses vicissitudes en marquant à l'occasion les liens étroits qui les rattachent, naturellement, à tel ou tel ensemble d'événements : crises politiques ou nationales, crises économiques ou financières, sans cependant céder à la tentation de faire, ou de refaire, l'histoire de ces crises même : c'est un mérite qu'il ne faut pas sous-estimer. (...) Nous ne saurions entrer dans l'examen particulier des faits qu'a réunis M. Ramon. Ce serait ou résumer son livre, ou, en ne s'attaquant qu'à un ou deux chapitres pour en marquer le fort et le faible, s'exposer au risque de demander à ce précis clair, correct, bien ordonné – j'ajoute bien présenté et bien illustré – tout autre chose que ce qu'il a voulu nous donner. Bornons-nous, au contraire, à en signaler l'apparition, le caractère et, en même temps que les qualités, les limites. Il comble assurément une lacune, une grave lacune de notre littérature historique." (Lucien Febvre, Annales, 1931) — "L'auteur, chance rare, a eu accès aux Archives de la Banque de France. Il s'est documenté en outre dans les séries AD XI et F IV des Archives nationales. Bien qu'il n'ait utilisé ni la correspondance des préfets ni les archives locales, il nous apporte des données très précieuses, des bilans, les éléments pour dresser une courbe de l'encaisse comparée à une courbe de la circulation. Son livre sera utile. L'appendice contient les instructions secrètes que le gouverneur Pallain avait préparées en vue d'une guerre possible. Ce document est du plus haut intérêt, comme beaucoup des choses que nous apporte M. Ramon." (Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1930) — "On a déjà beaucoup écrit sur la Banque de France, depuis plus d'un siècle qu'elle existe, mais l'ouvrage de M. Ramon est, croyons-nous, le premier qui constitue l'histoire complète et détaillée de notre institut d'émission et le seul dont l'auteur ait pu puiser largement aux sources originales. Par un privilège dont les lecteurs de ce livre n'ont qu'à se féliciter, les archives de la Banque ont été ouvertes à l'auteur. Mais, en historien soucieux de contrôler les documents mis à sa disposition, de les compléter, d'en recouper les indications, M. Ramon n'a pas manqué de recourir aux grands dépôts d'archives publics. Les séries A. D. XI, A. F. III et IV des Archives Nationales lui ont fourni maints éléments utiles, ainsi que les archives des Affaires Etrangères. (...) On ne doit pas s'attendre à trouver dans le livre de M. Ramon un exposé critique du système bancaire français ; l'auteur a fait avant tout œuvre d'historien, mais il l'a faite entièrement, c'est-à-dire qu'il ne s'est pas borné à une monographie étroitement limitée à la vie intérieure de la Banque, à ses aspects successifs, à ses pratiques commerciales. Il a réintégré son sujet dans l'histoire économique et financière du XIXe siècle et, grâce à sa connaissance approfondie des problèmes économiques, il a su, très exactement, montrer le rôle joué par la Banque dans toutes les circonstances où le gouvernement et l'économie nationale ont eu besoin d'elle, que ce soit pendant les nombreuses crises politiques traversées par notre pays depuis vingt cinq lustres ou pendant les périodes, heureusement longues et répétées, d'essor économique. D'excellentes pages viennent, de temps à autre, interrompre la chronologie détaillée de la Banque et le minutieux examen des innombrables questions particulières qui composent l'histoire d'un grand organisme financier, pour résumer à larges traits toute une période de son activité. Il n'est pas un des chapitres de ce beau livre qui, même pour le lecteur non spécialisé dans l'histoire ou dans l'économique, ne présente un puissant élément d'intérêt. La création de la Banque et l'intervention tenace de Bonaparte pour lui faire conférer les caractères qu'elle possède encore, puis ses débuts et la vigilance de l'Empereur pour la maintenir dans la ligne qu'il lui a tracée, l'action de soutien apportée par la Banque au gouvernement pendant les dernières et sombres années de l'Empire constituent autant de sujets saisissants que M. Ramon traite avec un grand souci de la composition, mais sans rien sacrifier de la précision documentaire qui est la raison d'être principale d'un tel livre. On en peut dire autant des chapitres consacrés à la Révolution de 1848 ou à la guerre de 1870. Parmi les chapitres particulièrement utiles à la connaissance de notre histoire économique, il faut citer ceux que M. Ramon consacre à la crise des subsistances (1840-45), à la création du réseau ferroviaire, à la période du cours forcé consécutive à la guerre de 1870, on saisit là, sur le vif, quantité de problèmes techniques que les dirigeants de la Banque durent se poser et résoudre. Enfin, il va sans dire que tout ce qui concerne l'histoire interne de la Banque, de son organisation, de ses méthodes et même la psychologie de ses chefs et de son personnel est traité par M. Ramon avec un soin particulier. Nous n'aurions pas entièrement dit tout le bien qu'il faut penser de cet ouvrage, solidement charpenté et élégamment écrit, si nous ne faisions, en terminant, l'éloge de sa présentation matérielle, qui fait honneur aux arts graphiques." (Roger Picard, Revue d'histoire économique et sociale, 1930)
La documentation française. 1954. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Papier jauni. 28 pages - quelques graphiques en noir et blanc dans et hors texte. Mors fendus.. . . . Classification Dewey : 332-Banque (économie financière)
Sommaire : Les fonctions de la banque de France - Les relations de la Banque de France avec l'état - Les fonctions monétaires de la banque de France - L'émission de la monnaie - Défense de la monnaie sur le marché des changes - Services de trésorerie - La banque de france et l'économie - La banque de France et l'octroi du crédit - La Banque de France et la direction du crédit.. Classification Dewey : 332-Banque (économie financière)
Fribourg, 1913-1916-1937, 230x150mm, broché. Bel exemplaire.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
19 pièces reliées en un volume in-4 (269 x 170 mm), cartonnage vert (reliure du XIXe siècle). Paris, 1838-1839.
Recueil unique, constitué au XIXe siècle, des principaux documents concernant la formation et le développement de "l'Omnium" institution financière de crédit pionnière inspiré du Crédit Mobilier, fondée par André Victor Amédée Ripert-Monclar (1807-1871).Manuscrits et imprimés. Page de titre calligraphiée à l'époque: "Association de l'Omnium, Banque à Fonds Unis", Prospectus de présentation, "Exposé du système de crédit général de l'association de l'Omnium", par Ripert de Monclar, Liste des membres, Rapports manuscrits, Actes juridiques officiels de formation certifiés conformes par Ripert de Monclar, "Exposé du système de crédit général de l'association de l'Omnium" officiel certifié conforme, Annonces de presse (épreuves), Statuts, Délibérations du conseil d'administration, "Exposition d'une nouvelle application du crédit", Tarifs des droits et primes, Tableaux des opérations, Notice sur l'établissement des comptoirs à Paris, etc. etc. Plusieurs pièces comportent des corrections et ajouts de l'époque à la plume.Très bon exemplaire, très frais, parfaitement conservé. Détails sur demande.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
S.l., s.d. (1869) pièce in-4, [2] pp. n. ch., en feuille, bord gauche avec léger manque et perte de quelques lettres.
Travail préparatoire à la rédaction de l'Exposé de la situation générale de l'Empire, présenté tous les ans au Corps législatif et au Sénat.Petit mémento répondant à la question : Quel a été le mouvement général des opérations de la Banque coloniale pour l'exercice précédent, avec un tableau comparatif des opérations ? Elle concerne très certainement la Banque de la Guadeloupe, banque française privée créée par la loi du 11 juillet 1851 sur l’organisation des banques coloniales. Elle devait fusionner en 1967 avec la Banque de la Martinique pour créer la Banque des Antilles françaises (BDAF), qui appartient, comme la Banque de la Réunion, au Groupe BPCE. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT