‎Hébert Huberte‎
‎Elle en est, ma chère!...‎

‎Baudinière. 1929. In-12. Cartonné. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Papier jauni. 224 pages.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎

Reference : RO40004436


‎ Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎

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‎HEBERT Huberte‎

Reference : RO40149706

(1929)

‎ELLE EN EST, MA CHERE...‎

‎Baudinière. 1929. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 224 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎Roman de moeurs. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110183783

(1989)

‎AUTO MOTO N° 83 - La Citroen XM face a ses rivales, 19/19 chamade, une affaire de coeur, Audi 80 S : elle est belle, chère mais elle dure, La Pacifique : le pari de la deuxième voiture, Le grand prix de Monaco par Erik Orsenna, Le baron chez Gegene‎

‎SOCIETE D'INFORMATION ET DE PUBLICATION. JUIN 1989. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 112 pages. Nombreuses illustrations en couleur et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.2-Automobile‎


‎ Classification Dewey : 629.2-Automobile‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎Neirynck Jacques‎

Reference : 500139194

(2009)

ISBN : 9782828910679

‎Les scandales de l'eau en bouteilles: Pourquoi l'eau en bouteilles est-elle mille fois plus chère que l'eau du robinet‎

‎FAVRE 2009 125 pages 13x1 2x23 2cm. 2009. Broché. 125 pages.‎


‎Etat correct‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR12.00 (€12.00 )

‎AMAN-JEAN, Edmond‎

Reference : 65049

(1931)

‎3 lettres autographes signées [ Détail : ] 1 L.A.S. de 2 pp. datée de Chateau-Thierry le 12 août 1931 : "Chère amie, c'est aujourd'huy seulement que je commence à croire que je vais mieux, mais j'ai été bien malade. J'ai repris goût à la lecture mais pas encore à la peinture. Moi qui ai tant aimé les chemins, j'ai des jambes qui se dérobent ne voulant plus me porter [ ... ] Le Colonel a dû vous dire qu'il m'avait vu effondré sur un banc du Luxembourg. Je suis un peu moins décrépit mais pas encore beaucoup. Vous devez voir à mon écriture tremblottante l'aveu d'une faiblesse [... ] Où sont les environs du bel âge où on frisait la quarantaine ! Le portrait de Suzanne, les [... ] de l'Affaire Dreyfus : que de disparus avec les années ! L'amitié reste et c'est le principal. [... ] dites à May et à Bob le cordial souvenir de nos bonnes séances de pose et de causerie. J'ai été enchanté du résultat moral du portrait de May, du moins de ce que l'on m'en a dit. Dès mon retour le tableau sera chez eux [ ...]". - 1 L.A.S. de 3 pp. [ non datée ] : "Chère Madame, je viens de recevoir une lettre de Thadée, je vois combien elle a été malade et avec quelle sollicitude vous l'avez soignée [ il prie la Baronne de continuer à être "soeur de Charité" auprès de Thadée, malade ] - 1 L.A.S. d'une page, non datée : "Chère Madame, Je ne m'étais plus souvenu en vous priant de venir ce matin que je devais aller voir les tableaux de Mme Samarine. [ il évoque ensuite une Mme Michout et Mme Desgranges ]".‎

‎3 lettres autographes signées [ Détail : ] 1 L.A.S. de 2 pp. datée de Chateau-Thierry le 12 août 1931 : "Chère amie, c'est aujourd'huy seulement que je commence à croire que je vais mieux, mais j'ai été bien malade. J'ai repris goût à la lecture mais pas encore à la peinture. Moi qui ai tant aimé les chemins, j'ai des jambes qui se dérobent ne voulant plus me porter [ ... ] Le Colonel a dû vous dire qu'il m'avait vu effondré sur un banc du Luxembourg. Je suis un peu moins décrépit mais pas encore beaucoup. Vous devez voir à mon écriture tremblottante l'aveu d'une faiblesse [... ] Où sont les environs du bel âge où on frisait la quarantaine ! Le portrait de Suzanne, les [... ]de l'Affaire Dreyfus : que de disparus avec les années ! L'amitié reste et c'est le principal. [... ] dites à May et à Bob le cordial souvenir de nos bonnes séances de pose et de causerie. J'ai été enchanté du résultat moral du portrait de May, du moins de ce que l'on m'en a dit. Dès mon retour le tableau sera chez eux [ ...]". - 1 L.A.S. de 3 pp. [ non datée, il prie la Baronne de continuer à être "soeur de Charité" auprès de Thadée, malade ] - 1 L.A.S. d'une page, non datée : "Chère Madame, Je ne m'étais plus souvenu en vous priant de venir ce matin que je devais aller voir les tableaux de Mme Samarine. [ il évoque ensuite une Mme Michout et Mme Desgranges ]".‎


‎Ces trois lettres autographes signées sont très vraisemblablement adressées par le peintre Edmond Aman-Jean (1858-1936) à la baronne Pierlot (vers 1852-1941) qui fut une grande amie de Paul Claudel. Thadée Caroline Jacquet était la femme de l'artiste.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR195.00 (€195.00 )

‎DE SCIBOR RYLSKI, Comtesse ; DENTU, Edouard‎

Reference : 44505

(1872)

‎Mystérieuse correspondance d'une jeune femme exaltée avec l'éditeur Edouard Dentu [ 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est (sic) votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎

‎3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎


‎Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...‎

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