Baudinière. 1941. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 286 pages illustrées par L. Guezennec. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Reference : RO40004082
1 exemplaire sans le deuxième plat et avec le dos abîmé. Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Editions Baudinière, 1942, in-12, 287 pp, broché, manques aux pages 165-168 (sans atteinte au texte), état correct
"Yves Dautun, père de famille nombreuse, s'engage comme volontaire en septembre 1939 dans une division de combat. Brigadier dans la 61e division d'infanterie de la IXe armée, il est observateur dans une batterie d'artillerie hippomobile. Rédigeant son récit dès les premiers mois de sa captivité, à partir d'un carnet de notes, l'auteur consigne en 22 chapitres ses souvenirs de campagne. Journaliste de profession, il évoque dans un style parfois grandiloquent la Drôle de guerre et les combats de mai 1940, mêlant à ses souvenirs de nombreuses réflexions personnelles sur les raisons de la défaite, le prestige de l'armée allemande, la guerre, la paix et le courage de ses camarades. D'emblée, Dautun dénonce les responsables de la défaite : les juifs et les franc-maçons. Il dénonce aussi les politiques de Blum et de Daladier , déplorant le manque d'idéal patriotique de la société française.. En revanche, les descriptions de ses camarades de combat visent à montrer que les soldats qui l'entourent se sont bien battus, même s'il dénonce régulièrement les "réservistes" et les "fuyards" (p. 15). Le 10 mai 1940, la batterie de Dautun, stationnée à Sévigny (Ardennes), s'avance en Belgique pour former une ligne de défense devant la Meuse. Comme ses camarades, l'auteur est confiant en la capacité de l'armée française à stopper l'ennemi. Mais à son désespoir, il reçoit l'ordre de repli après avoir tiré, une seule fois mais avec succès, sur des véhicules allemands. La section se retire, pleine de rage (contre Gamelin notamment), d'incompréhension et de frustration. Au fil des pages apparaissent des fantassins égarés, des fuyards, des civils généreux, des traitres et des espions... et une ligne Maginot totalement désertée. Continuellement menacée par l'aviation allemande, abandonnée à son sort, la batterie « erre » de village en village jusqu'à constater qu'elle est encerclée. L'officier décide alors de redonner aux hommes leur liberté. Les soldats s'éparpillent, pleurant et arrachant leurs écussons. L'auteur et quatre de ses camarades organisent leur stratégie pour s'échapper : déplacements de nuit, rapines dans les fermes, dissimulation dans les bois, avec une boussole pour seule aide. Durant ces derniers jours, Yves Dautun perd ses deux plus fidèles camarades : un jeune paysan vendéen, peu expérimenté, qui est mitraillé par un Stuka, et un poilu de 1914, lui aussi mitraillé après avoir tué au couteau un parachutiste allemand dans un bois. Les trois derniers hommes du groupe, l'auteur compris, sont finalement capturés dans la nuit du 17 mai, près de Rozoy (Aisne)." (Françoise Passera, « Ecrits de Guerre et d’Occupation » EGO 1939-1945) — Cousin de François Mitterrand, Yves Dautun (1903-1973) est un publiciste et militant d'extrême droite. Rédacteur au "Petit parisien", cagoulard, membre du Parti populaire français (PPF) de Jacques Doriot, il écrit sous l'Occupation dans divers journaux collaborationnistes : "La Gerbe", "L'Emancipation nationale" ou "Le Cri du peuple". A la Libération, il est condamné à 20 ans de travaux forcés. Bénéficiant de mesures d'amnistie, il collabore au "Figaro littéraire" de 1958 à 1968. A aussi utilisé le pseudonyme de Roland Cluny.
Paris, Editions Baudinière, sans date ( 1941 ), format 190x120mm, broché, 287 pages, illustrations dans le texte par Lucien GUÉZENNEC, exemplaire en bon état.
Yves Dautin, Brigadier dans la 61e Division d'Infanterie de la IXe Armée, observateur dans une Batterie d'artillerie hippomobile...
Paris, Baudinière, 1941, in-12, broché, couverture illustrée, 286 pages. Edition originale de ce récit de la guerre de 1940 par l’artilleur Yves Dautin. L’auteur (1903-1973), journaliste au Petit Parisien adhéra en 1937 au PPF dont il deviendra un des principaux cadres. Il fut condamné aux travaux forcés à la Libération. Illustrations hors texte par Lucien Guézennec.
EDITION ORIGINALE
Baudinière. 1941. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 286 pages. Illustré de nombreux dessins en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Illustrations de Lucien Guézennec, composés en captivité. Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
BAUDINIERE. 1942. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 186 pages. Nombreuses illustrations et quelques plans en noir et blanc, dans le texte. Charnières fendues. Quelques manques sur le dos.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Illustrations de Lucien Guézennec. Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945