Gallimard/Nrf. 2014. In-8. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Papier jauni. 593 pages. Nombreuses rousseurs. Légères mouillures en coins de pages, n'altérant pas la lecture. Ancien ouvrage de bibliothèque: tampons, étiquettes en coiffe en pied et 1er plat, annotations à l'encre.. . . . Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
Reference : RO30353357
ISBN : 2070141446
Traduit du Norvégien par Alain Gnaedig. Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
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Paris, Typographie Charles de Mourgues Frères, successeurs de Vinchon, Imprimeurs de la Préfecture de la Seine, 1858. In-Plano - 49 x 67 cm. Broché sous couverture (restaurée) ocre, dos en toile verte, impression en noir sur le premier plat. 2 p, 34 pl. Atlas comprenant 34 planches, dont certaines dépliantes et en couleurs : 4 plans historiques (Palais de Justice vers 1500, en 1754 d'après Delagrive, en 1772 d'après Jaillot et en 1790 d'après Verniquet), 4 planches pour l'état du Palais en 1838 et 27 planches correspondant aux divers projets de reconstruction et d'agrandissement de la Restauration au Second Empire. Rare exemplaire, répertorié seulement à la BnF et à la British Library.
Situé sur l'île de la Cité, le Palais de Justice fut le siège du pouvoir politique et administratif des rois de France du Ve au XIVe siècle. Modifié à de nombreuses reprises à l'époque moderne, notamment suite à plusieurs incendies, le bâtiment prend une nouvelle dimension politique sous la Restauration. En effet, sous Louis XVIII et Charles X, le débat judiciaire dispute la préférence au débat parlementaire, si bien que les locaux ne suffisent plus à accueillir le volume croissant des affaire judiciaires. Sont alors entrepris des travaux de restauration, puis, sous la Monarchie de Juillet, un vaste programme dagrandissement, confié à Jean-Nicolas Huyot, est lancé. L'architecte de l'Arc de Triomphe de l'Etoile est chargé de faire du nouveau Palais un édifice majestueux permettant de recevoir tous les services judiciaires ainsi que la Préfecture de police. Le projet est accepté et sanctionné par l'ordonnance royale du 26 mai 1840. La Révolution de 1848 et la mort de Huyot retardent les travaux, qui reprennent durant le Second Empire sous la direction de Joseph-Louis Duc et Étienne-Théodore Dommey. Dommey et Duc présentent en 1852 un projet pour la nouvelle façade donnant accès à la cour d'assises. En 1867, l'architecte Honoré Daumet devient l'adjoint de Duc pour la construction de la façade occidentale du Palais de justice donnant sur la place Dauphine en 1867. Une fois encore, le Palais de justice est victime d'un incendie à la fin de la Commune de Paris, lors de la Semaine Sanglante : dans la nuit du 24 mai 1871, une grande partie du monument terminée deux ans auparavant est détruite (dont le tribunal de première instance, la police correctionnelle, les bureaux de lÉtat civil, les archives, le parquet général, le parquet du Procureur de la République, les cabinets des juges dinstruction, les deux salles des cours dassises achevées, une grande partie de la Cour de cassation, la cour dappel, etc.). Les travaux ne s'achèveront qu'en 1875. Couverture restaurée (couverture recto originelle recadrée et contrecollée sur papier ocre, couverture verso et toile du dos neuves) mais plissée, quelques déchirures marginales sans gravité ni manques, traces de mouillures (saines) en début et fin d'ouvrage (dernière section), affectant les marges de tête, voire partiellement certaines planches, sinon bon état de ce rare ouvrage. Clients Livre Rare Book : Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. Livre Rare Book Customers : The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding.
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JULLIARD. JUIN-SEPT 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 158 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : LES SERVICES ET LES MOYENS. PARIS : LA PRÉFECTURE DE POLICE. I.COMMENT FONCTIONNE LA POUCE. LA POLICE PRÉVENTIVE. LA POLICE URBAINE. LES RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX. ÉVOLUTION DE LA CRIMINALITÉ. LA POLICE CRIMINELLE MODERNE. LE MÉTIER D’O.P.J. LE RENSEIGNEMENT DE DÉFENSE. LA POLICE DES MOEURS. ITINÉRAIRE D’UN MEURTRE. ORDRE PUBLIC ET JUSTICE. II.LA POLICE ET LA SOCIÉTÉ. PIERRE BERTAUX : ON A LA POLICE QU’ON MÉRITE. CONSTANTIN MELNIK : POLICE ET POLITIQUE. JEAN DITREAU : LES ÉCOUTES TÉLÉPHONIQUES. JEAN LABORDE : DÉFENSE ET ILLUSTRATION DES INDICATEURS. LUCIEN LANGLOIS : L’O.P.J. ET LE PROCUREUR. JEAN-DENIS BREDIN : LA GARDE A VUE. GEORGES DELAMOUR : LE POLICIER, CE MAL AIMÉ. CASAMAYOR : POLICE ET PROGRÈS. MAURICE PIERRE : LE POUVOIR ET SA POLICE. FRANÇOIS MITTERRAND : LE JUGE ET LE POLICIER Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Et d'une Notice sur la police centrale, la police militaire, la police du château des Tuileries, la police de la garde royale, la police de la place, la police des alliés, les inspecteurs de police, la gendarmerie, les prostituées de la capitale, Vidocq et sa bande; Ouvrage publié sur le manuscrit de M. GUYON. Paris. Mme Goullet. 1826. In-8 (138 x 210mm) dos chagrin orange brûlée, à 5 nerfs, titre et fleurons or, plats mouchetés, gardes et tête peignées, 2ff., 238 pages. Mors du 2e plat fendu sur 15 mm, dos un peu épidermé, fortes rousseurs. Rare et instructif. Ouvrage saisi dès sa parution, peu d'exemplaires y ayant échappé.
Exposé sans concession de l'état de la police de l'époque. Cet ouvrage n'est que le premier coup de crayon de la Biographie des Commissaires de police de Paris. Chacun dans son arrondissement, en s'emparant de cette esquisse, pourra achever le portrait de manière à ce que la ressemblance soit parfaite. A l'époque de leur institution, les Commissaires de police n'étaient que de simples surveillans chargés, seulement de maintenir le bon ordre; mais la révolution a étendu leurs pouvoirs, et les différens gouvernemens, qui se sont succédés (sic) depuis 30 ans étant d'une défiance extrême, les Commissaires de police pour les servir ont dû naturellement s'immiscer dans tous les rapports sociaux, pénétrer chez les citoyens pour connaître leur opinion politique et, ce qu'ils n'ont pu savoir, ils l'ont deviné ou controuvé. C'est ainsi que trop souvent ils ont peint les hommes sous de fausses couleurs, et fait pressentir des événemens qui ne se sont jamais réalisés. Mais il fallait se conserver dans son emploi, se rendre utile, se faire croire indispensable: peu importe à quel prix... (Préface de l'auteur).
1946 Caen, Bigot, 1946, 1 Volume relié, 225 x 170 mm. 103 pp. 10 Illustrations hors texte, 2 Culs-de-lampe, de Jean Villette,usures d'usage, Tampons de Bibliothèque et de Communauté sur les 2 premières et dernières pages, traces de ruban adhésif, sur les mêmes.
Robert François d'Aché, vicomte, 24 décembre 1758, 8 septembre 1809 à Luc-sur-Mer (Calvados), est d'abord un jeune officier de la marine royale française avant de devenir un acteur de la chouannerie normande et d'être assassiné par la Police de Joseph Fouché.
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Denoël, 1993, gr. in-8°, 278 pp, 16 pl. de photos hors texte, sources et biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Fouché, Vidocq, Lépine : trois noms indissolublement liés à la police dans la mémoire collective des Français. Si les causes de la célébrité des deux premiers sont faciles à saisir, il n'en va pas de même pour celui qui fut – pendant dix-huit ans – le maître de la police de la capitale, un record qui n'est pas près d'être seulement approché. Quelles furent les causes d'une telle longévité dans un poste si exposé ? Quels étaient au juste, les pouvoirs de ces fonctionnaires bien particuliers qui dirigeaient la plus puissante police de France et dont on disait qu'ils étaient plus puissants que le ministre de l'Intérieur ? Comment fonctionnait, au début du siècle, la Préfecture de police, cet "Etat dans l'Etat", cette institution typiquement napoléonienne dont une démocratie n'aurait jamais dû accepter la pérennité ? C'est en réalité à un voyage aux sources de la police contemporaine et de la police républicaine que convie cet ouvrage. — "... On aura compris qu'il s'agit là d'une biographie telle qu'on les souhaite : derrière l'homme et ses facultés novatrices, ce sont l'institution et sa philosophie qui retiennent l'attention de l'auteur. Quels étaient les pouvoirs de ces fonctionnaires en charge de la plus puissante des polices de France et qu'on disait plus puissantes que le ministre de l'Intérieur ? Comment fonctionnait la Préfecture de police, cet Etat dans I'Etat, une institution napoléonienne dont une démocratie n'aurait jamais dû accepter la pérennité ? La biographie n'est ici qu'une voie d'entrée particulièrement pertinente pour l'histoire de la police contemporaine et de la police républicaine, aussi bien qu'une contribution notable à l'histoire de Paris." (Danielle Tartakowsky, Le Mouvement social, 1995)