Métailié. 2012. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 508 pages.. . . . Classification Dewey : 850-Littératures italienne, roumaine, rhéto-romane
Reference : RO30343652
ISBN : 2864248514
Traduit de l'italien par Serge Quadruppani. Classification Dewey : 850-Littératures italienne, roumaine, rhéto-romane
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1975 1975. R.V. Karanoff: la corde pour les traitres/ Gerfaut 1975 . R.V. Karanoff: la corde pour les traitres/ Gerfaut 1975
Etat correct
Paris, Editeurs Français Réunis,. 1952. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1952, in 12, broché, 94 pp.. . . . Classification Dewey : 949-Autres pays d'Europe
AP-001 - Lieu d'édition : Paris Classification Dewey : 949-Autres pays d'Europe
1 placard format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste)
Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.
1 brochure d'un feuillet imprimé recto-verso, s.l.n.d., [ 1815 ] Aux Habitans des Faubourgs Saint-Antoine et Saint-Marceau [ Avec : ] Déclaration de Monseigneur le Duc d'Orléans Premier Prince du Sang de France. "Bons Habitans des Faubourgs, peuple paisible et laborieux ! On vous trompe : des traîtres vous égarent et cherchent à vous rendre les imprudentes victimes de la perfidie. Pour qui vous exhorte-t-on à la révolte et au carnage ? Pour un homme seul, devenu l'effroi comme la haine de la France et du monde entier : pour un barbare qui, dans sa rage de destruction, pense avec délices aux nouveaux torrents de sang qu'il va faire couler encore [ ... ]
Rare pamphlet royaliste et anti-napoléonien publié pendant les Cent Jours. Bon état (légers plis et très petites usures).
2 placards format 25,5 x 21, De l'Imprimerie de Cherche, A Amiens, et format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : [Lot de 2 placards : ] Déclaration de la Garde Nationale d'Amiens, affichée à Amiens, Beauvais et autres villes de Picardie "Buonaparte dit que les Bourbons amènent les étrangers en France. Eh ! s'il n'étoit venu venu souiller notre sol, nous serions en paix avec l'Europe. Sébastiani est venu pour nous faire prendre les armes. Nous jurons tous que, si ce vil satellite de Buonaparte vient dans nos murs avec l'intention et les pouvois proconsulaires [ ... ] il y trouvera le châtiment de ses crimes [... ] [On joint : ] Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. " Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste) "
Rare réunion de 2 placards royalistes publiés à Amiens pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.