Perrin. 1990. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 531 pages. Plaquette de nombreuses illustrations en noir et blanc, hors texte. Rhodoïd passable. Signet conservé. 1er plat de la jaquette conservé.. . . . Classification Dewey : 928-Ecrivains
Reference : RO30327737
ISBN : 2262006237
Classification Dewey : 928-Ecrivains
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
1964 Couverture souple 1964 P, Les seize , 1964 , petit in4° broché , 92 pp . Illustrations . Langue: Français
L’illustration se compose de 28 planches à pleine page et de nombreuses vignettes dans le texte par E. Bayard. Paris, Hachette et Cie, 1864. In-12 de (6) pp., 406 pp. dont 28 planches à pleine page, (2), rousseurs habituelles. Demi-percaline rouge, dos lisse, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 178 x 112 mm.
Edition originale de la plus grande rareté de ce roman célèbre de la comtesse de Ségur. François de Nancé, un jeune garçon de 10 ans, est devenu bossu à la suite d'une chute. Il devient ami avec la petite Christine des Ormes, âgée de 6 ans. Celle-ci est négligée par ses parents - une mère fantasque, froide et écervelée, un père aimant mais sous la coupe de son épouse - et martyrisée par sa bonne. Christine et François, qui ont tous deux un cœur excellent, deviennent vite inséparables. Quand les Ormes décident de quitter la campagne pour s'installer à Paris, Christine est confiée pour son plus grand bonheur à M. de Nancé, chez qui elle trouve l’affection qui lui manquait. Cette situation dure jusqu’aux 16 ans de la jeune fille, date à laquelle elle doit quitter momentanément sa famille d’adoption. François part faire ses études dans le Sud-Ouest, et elle est placée dans un couvent, puis accueillie chez sa tante, Mme de Cémiane. Christine et François, guéri de son infirmité grâce à une opération, se retrouvent deux ans après, sans que Christine eût été informée de ce succès et de ce changement! Ils se marient, et mènent une vie heureuse et paisible auprès de leur père, M. de Nancé. C'est un roman souvent jugé comme l'un des plus noirs de la comtesse. De nombreux événements dramatiques ponctuent la narration que beaucoup d'adultes jugent trop durs pour de jeunes lecteurs: le sort du jeune Maurice, le persécuteur de François, est si horrible que l'éditeur avait demandé à l'auteur de le modifier, mais en vain. Cependant le roman devait s'appeler La Mauvaise Mère en référence à celle de Christine, mais cette fois l'éditeur eut gain de cause. Comme bon nombre des romans de la comtesse, celui-ci est consacré à une critique de l'éducation, opposant d'un côté les enfants trop gâtés, délaissés ou maltraités aux enfants qui grandissent dans un milieu qui sait faire la part de l'affection et de la fermeté La comtesse de Ségur reprend ici un thème cher aux humanistes : l'apparence n'est rien. L’illustration se compose de 28 planches à pleine page et de nombreuses vignettes dans le texte par E. Bayard. Précieux exemplaire de cette édition originale devenue introuvable, conservé dans sa reliure de l’époque. Un seul exemplaire localisé parmi les Institutions publiques françaises: à la B.n.F.
Perrin, 1990, in-8°, 532 pp, 16 pl. de gravures hors texte, un fac-similé, biblio, reliure skivertex éditeur, bon état
Etonnante Comtesse de Ségur, née Sophie Rostopchine, qui épouse en 1819 le comte Eugène de Ségur ! Une fois grand-mère, elle se lance alors dans une vocation tardive d'écrivain. Sa première tentative “Les Nouveaux Contes de fées” (1856) remporte un succès considérable, grâce aux éditions Hachette qui viennent de créer la Bibliothèque rose. Par la suite, elle se consacre à de nombreux romans pour l'enfance dont le large succès perdure jusqu'à nos jours, avec parmi ses titres les plus célèbres : “Les Petites Filles modèles” (1858), “Les Malheurs de Sophie” (1859), “Les Mémoires d'un âne” (1860), “L'Auberge de l'Ange gardien” (1863), “Le Général Dourakine” (1863). Reflet de son temps, l'œuvre de la Comtesse de Ségur n'est pas seulement un monument de la littérature pour la jeunesse, elle est aussi une incarnation vivante des mentalités du XIXe siècle, ce que parviennent à décrire avec talent Yves-Michel Ergal et Marie-José Strich. Cette importante biographie cerne au plus près l'exceptionnelle personnalité d'un auteur hors du commun. Les livres de la comtesse de Ségur sont marqués par l'influence de son fils aîné, Gaston de Ségur, prélat appelé aux plus hautes fonctions auprès de Napoléon III. Outre de nombreuses lettres inédites, cette biographie révèle la profonde relation affective qui a existé entre la comtesse, son fils Gaston et sa fille Sabine.
Ségur, Sophie de (Mme la comtesse de Ségur, née Rostopchine)
Reference : 106402
(1931)
Paris, Librairie Hachette, coll. « Ségur » 1931 18 volumes. In-12 17,5 x 12,5 cm. Reliures modernes demi-maroquin havane à coins, dos à nerfs, têtes dorées, couvertures en couleurs conservées et illustrations en noir par André Pécoud, environ 250 pp. par volume, table des matières à la fin de chaque volume. Ensemble élégamment relié en très bon état.
Comprend : Évangile d’une grand’mère - Les Actes des apôtres - Nouveaux contes de fées - Les Petites Filles modèles - Les Vacances - Mémoires d’un âne - Pauvre Blaise - Les Bons Enfants - Les Deux Nigauds - L’Auberge de l’Ange gardien - Le Général Dourakine - Un bon petit diable - Jean qui grogne et Jean qui rit - La Fortune de Gaspard - Quel amour d’enfant ! - Le Mauvais Génie - Diloy le chemineau - Après la pluie, le beau temps. Très bon état d’occasion
Perrin, 1999, in-8°, 350 pp, 8 pl. de gravures hors texte, biblio, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état
Considérée par les catholiques comme une Mère de l'Eglise pour avoir écrit La Bible d'une grand-mère et enfanté un saint, Mgr de Ségur ; regardée par la postérité comme une émule de Balzac pour avoir écrit une véritable "Comédie humaine" du monde enfantin ; étudiée par les psychanalystes ; admirée par les sociologues lorsqu'ils se sont aperçus que cette même œuvre est un tableau très précis de la France au temps du Second Empire ; enfin, prise au sérieux par les critiques littéraires d'aujourd'hui qui la mettent désormais au rang des grands écrivains du XIXe siècle, la comtesse de Ségur, créateur de types immortels comme le général Dourakine, est un auteur dont le succès ne s'est jamais démenti et dont les livres, traduits dans toutes les langues, se sont vendus à plusieurs millions d'exemplaires. L'œuvre de Sophie Rostopchine, comtesse de Ségur, est inséparable de son enfance et de son milieu familial dont Diesbach fait une peinture piquante. Née à Saint-Pétersbourg en juillet 1799, fille de l'impétueux, original et sarcastique comte Rostopchine, qui incendia Moscou pour soustraire la ville à Napoléon, mariée au neveu du général de Ségur, aide de camp de Napoléon pendant la campagne de Russie et historien de cette campagne, la comtesse de Ségur, héritière de deux mondes, a pressenti – notamment avec La Fortune de Gaspard – les grandes mutations économiques et sociales de son siècle, tout en restant fidèle à l'idéal aristocratique enseigné par son père et transposé à l'usage des Français...