France Loisirs, Fleuve Noir. 2006. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Pliures. 659 pages.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Reference : RO30310907
ISBN : 2744194549
Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
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Paris: Score, 1975 2 volumes in-12, xxiv-563 et ii-595 pages. Reliure simili cuir, dos ornés dans le style des reliures du 18è siècle, petites usures aux coin et au mors. Edition fac-similé de l'édition de 1771.
Dictionnaire portatif de santé, Dans lequel tout le monde peut prendre une connaissance suffisante de toutes les maladies, les différents signes qui les caractérisent chacune en particulier, des moyens les plus sûrs pour s'en préserver, ou des remèdes les plus efficaces pour se guérir, & enfin de toutes les instructions nécessaires pour être soi-même son propre médecin. Le tout recueilli des ouvrages des médecins les plus fameux, & composé d'une infinité de recettes particulières & de spécifiques pour toutes sortes de maladies. Par M. L***, ancien Médecin des Armées du Roi & M. DE B***, Médecin des Hopitaux. Troisième édition considérablement augmentée. A Paris chez Vincent, 1771. (Paris: Score, 1975). [M.C.: histoire de la médecine]
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane marron [ Contient notamment : ] Projet de Bienfaisance et de Patriotisme, pour la Ville de Bordeaux, et pour toutes les Villes et Gros Bourgs du Royaume, Chez Froullé, Colombier, Royer, Paris, Les Frères Labottière, Chapuis, Gintrac, Lacourt, Bordeaux, 1783, xvi-96 pp. ; Statuts et Règlements généraux du Dépôt de Mendicité de la Ville de Bordeaux, 1847, Imprimerie de Lanefranque, Bordeaux, 16 pp. ; Réglements, arrêtés et Ordonnance relatifs au dépôt de Mendicité de Bordeaux, Imprimerie de Lanefranque, Bordeaux, 1848, 31 pp. ; Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. L. M. Duffour Dubergier, maire de Bordeaux, Séance du 22 novembre 1842, Imprimerie de Lanefranque, Bordeaux, 1842, 91 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. L. M. Duffour Dubergier, maire de Bordeaux, Séance du 22 décembre 1843, Imprimerie de Lanefranque, Bordeaux, 1843, 62 pp.- Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. L. M. Duffour Dubergier, maire de Bordeaux, Séance du 20 décembre 1844, Imprimerie de Lanefranque, Bordeaux, 1844, 61 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. L. M. Duffour Dubergier, maire de Bordeaux, Séance du 16 décembre 1845, Imprimerie de Lanefranque, Bordeaux, 1845, 65 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. L. M. Duffour Dubergier, maire de Bordeaux, Séance du 15 décembre 1846, Imprimerie de Lanefranque, Bordeaux, 1846, 65 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. L. M. Duffour Dubergier, maire de Bordeaux, Séance du 7 décembre 1847, Imprimerie de Lanefranque, Bordeaux, 1847, 22 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. G.-N. Maillères, Vice-Président de la Société, Séance du 23 Août 1848, Imprimerie de Lanefranque, Bordeaux, 1848, 26 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. G.-N. Maillères, Vice-Président, Séance du 19 Septembre 1849, Imprimerie des Ouvriers Associés, Bordeaux, 1849, 17 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. Gautier Aîné, Maire de Bordeaux, Séance du 20 Sepembre 1850, Imprimerie des Ouvriers Associés, Bordeaux, 1850, 21 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. G.-N. Maillères, Vice-Président, Séance du 17 juin 1851, Imprimerie des Ouvriers Associés, Bordeaux, 1851, 21 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. Gautier Aîné, Maire de Bordeaux, Séance du 20 Août 1852, Imprimerie des Ouvriers Associés, Bordeaux, 1852, 17 pp. - Rapport fait à MM. les Membres du Conseil Général de Mendicité, par M. Gautier Aîné, Maire de Bordeaux, Séance du 20 Octobre 1853, Imprimerie des Ouvriers Associés, Bordeaux, 1853, 19 pp. - Bureau de Bienfaisance de Bordeaux. Rapport présenté à la Commission instituée pour préparer un règlement de l'Admission aux Secours dans sa première séance, le 5 juillet 1852, par M. Virac, Imprimerie d'Emile Crugy, Bordeaux, 1852, 37 pp. avec un billet manuscrit d'invitation - Société des Fpetes de Charité, Règlements. Imprimerie de J. Delmas, Bordeaux, 1851, 24 pp. et 2 ff. - Société des Fêtes de Charité. Compte Rendu des Travaux du Comité en 1851. Extrait des Registres des Procès-verbaux de la Société 22 décembre 1851, 19 pp. - Poème en Vers sur la Cavalcade Bordelaise qui aura lieu le 30 etle 31 mars 1851. Par Louis Roby, Imprimerie Causserouge, Bordeaux, 1851, 16 pp. avec un billet de dédicace signé par l'auteur - [ PV et compte-rendus de la Société des Fêtes de Charité pour 1852 ou 1853 - 3 Prospectus pour les Cavalcades organisées ces mêmes années à Bordeaux la la Société des Fêtes de Charité ] - Projet de Statuts arrêté par la Commission des Fêtes charitables d'Arcachon : Société des Régates et Fêtes Charitables d'Arcachon, 1854, 7 pp. - Société Philanthropique et artistique de Sainte-Cécile. Statuts, Bordeaux, 15 pp. - Résumé des Travaux Annuels du Comité de la Société de Sainte-Cécile, 11 janvier 1852 par Callixte Dupont, Imprimerie de J. Dupuy et Comp., Bordeaux, 1852, 15 pp. [ idem deux autres brochures 1853 ] - Discours sur l'Origine, les Epreuves, les Moyens et les Usages de la Société des Ouvriers de Saint-François-Xavier, établie rue des Menuts, 26 paroisse Saint-Michel à Bordeaux, oeuvre des Ouvrirers de Saint-François Xavier, Chez G. Gounouilhou, Bordeaux, 1852, 15 pp. - Archiconfrérie de l'Oeuvre des Bons Livres - Eglise Saint Louis - Société des Dames de Charité [ Lot d'une cinquantaine d'invitations à des sermons ou des concerts par des oeuvres de charité chrétiennes ] - Société Philomatique de Bordeaux. Classes d'Adultes. Rapport de M. Borchard 1852 -
Recueil unique de brochures originales relatives à la question des diverses société de charité bordelaises (pour l'essentiel entre 1842 et 1853), avec la rare brochure "Projet de Bienfaisance et de Patriotisme, pour la Ville de Bordeaux, et pour toutes les Villes et Gros Bourgs du Royaume" publiée en 1783
Paris, Valère Cailleau, 1793. In-16 de (4)-86 pp., cartonnage rouge, pièce de titre manuscrite en long, non rogné (reliure moderne).
Catéchisme républicain imaginé en marge du calendrier révolutionnaire par le dramaturge Louis-Marin Henriquez (1765-1815), décliné en trente décades accompagnées d'une épître suivie d'une leçon qui invariablement commence avec la formule "En ce tems là" ; mention au titre "nouvelle édition" qui semble indiquer une première émission inconnue aux bibliographies.« La présentation du calendrier pour les adultes comprenait les deux systèmes, grégorien et républicain. Pour les petits enfants au contraire, on ne devait enseigner d'abord que le nouveau système, sans l'ancien. Dans plusieurs abécédaires et livres de lecture, on se sert du calendrier comme principe d'organisation. On donne un petit morceau de lecture pour chaque jour de la décade ou pour chaque décade ou mois de l'année, comme c'est le cas pour les Pensées instructives pour chaque jour de la décade, de Person, ou pour les Épîtres et Évangiles du républicain, pour toutes les Décades de l'année, de Henriquez, livre qui a connu un grand succès et qui est mentionné favorablement dans le rapport de Lakanal. » (Senior, N. (1999). Un nouveau jour brille sur l’horizon : le temps dans la pédagogie de la Révolution. Lumen, 18, 119–134).Réimprimé l’année suivante (an III) sous le nouveau titre : Morale républicaine en conseils et en exemples pour toutes les décades de l’année à l’usage des jeunes sans-culottes, justifié ainsi : « Cet ouvrage portait le titre Épîtres et évangiles du Républicain mais d’après les observations qui ont été faites que ce titre pourrait rappeler quelques idées superstitieuses, nous nous sommes empressés d’y substituer celui-ci ». Ex-libris manuscrit "Marthe Herneut" ; feuillets roussis. Tourneux, III, 15875 ; Grand-Carteret, 1126.
1955 1 Encre, lavis et collage, (1955), signée au milieu à gauche, 58.5 x 14 cm (format à vue), 64 x 24.5 cm.
"Les réalisations pour la lingerie féminine et ses "troublants dessous" l'amenèrent à déshabiller progressivement la femme pour les besoins de la cause publicitaire (...)" (Brenot Affichiste, Bibliothèque Forney, 1996). Le thème de la Pin-Up est repris pour illustrer cette publicité pour les dessous Florence. Une publicité proche est reproduite dans Brenot Affichiste (Bibliothèque Forney, 1996, p.41) Celle-ci devint lun des symboles dune après guerre affamée de plaisirs. Brenot se trouve prédestiné à inventer la version française. Il trouve son inspiration dans la Parisienne « bien fichue » quil croise dès ses débuts. Il la décline par centaines dans toutes les positions, toutes les tenues. Son uvre est gaie, elle est le reflet de la vie, du mouvement. Pierre-Laurent Brenot ( 1913-1998 ) entre à l'École Estienne en 1928 (l'école du livre) où il suit les cours pendant trois ans. En 1932, il poursuit sa formation de dessinateur avec Hertenberger, ancien élève de Gérôme et Devambez. Les dons d'observation et la précision du coup de crayon de Pierre-Laurent Brenot sont tout de suite remarqués. Après plusieurs années passées dans la haute couture où il réalise de nombreux dessins de mode pour les grands couturiers et les modistes, il réalise les portraits d'Arletty et de nombreuses femmes du monde. de 1944 à 1966, une grande carrière d'affichiste débute avec notammant l'Agence De La Vasselais. Il se consacre à la peinture vers la fin de sa vie, le tableau est d'abord réalisé en grisaille, puis est ensuite ré-haussé de couleur, ceci afin de donner le plus de profondeur à ses oeuvres. En 1996, une grande rétrospective à La Bibliothèque Forney (Paris) lui est consacrée avec la sortie du Livre "Brenot Affichiste". Taches et papier froissé.
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...