GALLIMARD NRF. 1963. In-4. Relié toilé. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 589 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans le texte et hors texte.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE
Reference : RO30057100
N° 5 de la collection L'univers des Formes, collection dirigée par André Malraux et André Parrot. Proto-iraniens mèdes, achéménides. Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE
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Editions Albin Michel, Paris, 1943, 13° mille sur la couverture. Un volume in 8° broché de XXXII, 520 pages, XVI planches h-t, 3 cartes dépliantes. Volume en très bon état, non coupé.
Nouvelle édition refondue de La Perse Antique, avec 75 figures dans le texte, 16 planches et 3 cartes hors-texte. Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
OLEARIUS (Adam), MANDELSO (J.A. de), WICQUEFORT (A. de, traducteur)
Reference : PHO-1912
(1659)
Paris, Jean Du Puis, 1659 et 1666 ,2 volumes in-4 ,27ff.-686pp., 22ff-648pp , relié tome 1 ; plein veau moucheté époque, dos à nerfs ornés avec titre et tomaison, tranches mouchetées rouges, coiffe supérieure arasée, coins usés, début de fente, petites rousseurs, Tome 2 ; plein veau, dos à nerfs ornés avec titre et tomaison, filets aux plats, tranches rouges, frottements et épidermures, une charnière fendue, coins usés, coiffes absentes, rousseurs, défauts à la carte du cour de la Volga, 2 cartes détachées et déchirures sans manque sur 2 cartes, mouillure angulaire sur quelques feuillets.. Illustré de 6 cartes dépliantes dont La grande carte du cours de la Volga et la Nouvelle carte de la Perse, la première carte réaliste de l'Iran qui corrige notamment l'emplacement et la forme de la mer Caspienne.
La première ambassade fut envoyée en Russie en 1633-1634 pour obtenir l'autorisation du tsar de voyager et d'expédier des marchandises à travers son royaume. Le second fut envoyé en 1635 pour conclure l'accord avec le shah de Perse. Bien que la mission commerciale ait échoué, l'ambassade a réussi à recueillir des informations remarquables par Olearius. L'ambassade partit de Gottorp en 1633 et se rendit, via Hambourg, à Moscou où elle conclut un traité avantageux avec le tsar Michel, et retourna aussitôt à Gottorp pour obtenir la ratification de cet arrangement du duc, avant de se rendre en Perse. Leur voyage sur la Volga et sur la mer Caspienne fut lent et entravé par des accidents, mais ils atteignirent la cour perse à Ispahan et furent reçus par le roi safavide, Shah Safi. La première édition du récit de ses voyages d'Olearius a été publiée en 1647. La première partie est divisé en six livres dont le quatrième traite de l'itinéraire de la mission jusqu'à Ispahan, avec des descriptions détaillées d'Ardabil, Qazvin, Qom et de leur séjour à la cour safavide. Le cinquième livre est une description encyclopédique de la Perse, couvrant des aspects tels que la géographie, la faune et la flore, les institutions politiques, les mœurs, les coutumes et les vêtements, l'histoire safavide, l'éducation, la langue et l'écriture, le commerce et la religion. Parmi les nombreuses observations ethnographiques, il convient de mentionner la représentation par Olearius des cérémonies Asura et d'autres rituels chiites. Le duc Frédéric III organise dès leur retour un voyage vers la Perse avec les mêmes personnes, auxquelles d’autres vont s’ajouter, dont Jean Albert de Mandelslo, un autre universitaire, celui-ci quitte l’expédition en Perse et part de son côté pour l’Est : il passe par la Chine et le Japon avant de rentrer en Angleterre, en faisant un détour par Madagascar. Quelques années après son retour, A. Olearius publie le récit de ses aventures. Il y ajoute celui de son ami Mandelslo à titre posthume : en effet, ce dernier meurt en 1640. 2 volumes of the famous travel of Oléarius and Mandelso ,Originally published in 1656, this is the second French edition of Olearius´, enlarged with a second part, containing a French version of Mandleslo´s .P1-5B
Amsterdam et Paris, Daniel Horthemels, 1686. In-12 relié en plein veau d'époque, dos à nerfs, pièce de titre, 3 ff. avec déchirures marginales sans perte, 12 ff., 432 pp., 4 ff., illustré d'un titre frontispice, du portrait de Chardin, de 3 vignettes de chapitres, d'une carte dépl. du Pont-Euxin, et de 15 pll. (dont 13 dépl.). Les plans suivants sont incomplets (Téflis, Festin de Téflis, Kachan, Caravansérail de Kachan, Kom), trace d'adhésif sur une planche, mors fendu, épidermures, coiffe de tête arasée, cachet.
Première édition in-12 paru en même temps que l’édition de Londres. Jean Chardin, diamantaire français, connu pour sa relation de ses séjours en Perse et en Orient à la fin du XVIIe , Fils d’un bijoutier protestant, il se rend en Perse et en Inde en 1665 pour y faire le commerce des diamants. Il plaît au roi de Perse, Shah Abbas II, qui le nomme son marchand. De retour en France en 1670, il publie "Le couronnement de Soleïmaan troisième, roy de Perse". Puis il repart pour la Perse en août 1671, en faisant cette fois-ci un long périple qui le mène à Smyrne, à Constantinople, en Crimée, dans le Caucase et en Géorgie. Il arrive à Isfahan en juin 1673, reste quatre ans en Perse et retourne en Inde avant de revenir en Europe en 1680 en passant par le Cap de Bonne-Espérance. Constatant à son retour que les Protestants sont persécutés en France, il se rend en 1681 en Angleterre, où Charles II le fait chevalier et le nomme bijoutier de la cour. Il s’y marie et devient membre de la Royal Society en 1682. Chardin se rend ensuite en Hollande en tant que représentant de la Compagnie anglaise des Indes orientales et c’est à Amsterdam qu’il publie en 1686 la première partie des "Voyages de monsieur le chevalier Chardin en Perse et autres lieux de l’Orient". Cet ouvrage, qu’il ne complète qu’en 1711, peut-être avec l’aide de François Charpentier, est salué par les philosophes et reçoit les éloges de Montesquieu, Rousseau, Voltaire et Gibbon. La majorité a été dessinée par Guillaume-Joseph Grelot, un artiste peintre qui accompagnait Chardin lors de ses voyages en Perse. M3-Et4
LIBRAIRIE HACHETTE & Cie. 1884. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 139 à 316. Nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 910-Géographie générale. Voyages
Sommaire : Chapitre IV : La Perse - Perse et persans, Voies historiques de la Perse, Montagnes des Turkmènes, Atrek, Ala Dagh, Elbourz, Chah Kouh, Chamcherbour, Tchesmeh-I-Ali, Elbourz, Demavend, Caspienne, Savalan, Sehend, Montagnes bordières de la Perse, Déserts de la Perse, Climat de la Perse, Lac d'Ourmiah, Lac Niris, Flore de la Perse Classification Dewey : 910-Géographie générale. Voyages
Lyon, Thomas Amaulry, 1687, 2 tomes en 2 vols in-12 , Reliure époque plein veau, dos à nerfs ornés avec titre et tomaison , de (24)-438pp (tome 1) et 439pp-(9) pp) illustrés de 15 planches dont 1 portrait-frontispice, 1 titre gravé 13 planches , la plupart dépliantes .Petite galerie de vers au début du tome 2 , 4 feuillets amputés (pp.89 à 96) de l’angle supérieur droit (avec manque de texte), reliure frottée , accident à la coiffe supérieur tome 1 , coins usés
Jean Chardin , Diamantaire français , connu pour sa relation de ses séjours en Perse et en Orient à la fin du XVIIe , Fils d’un bijoutier protestant, il se rend en Perse et en Inde en 1665 pour y faire le commerce des diamants. Il plaît au roi de Perse, Shah Abbas II, qui le nomme son marchand. De retour en France en 1670, il publie "Le couronnement de Soleïmaan troisième, roy de Perse". Puis il repart pour la Perse en août 1671, en faisant cette fois-ci un long périple qui le mène à Smyrne, à Constantinople, en Crimée, dans le Caucase et en Géorgie. Il arrive à Isfahan en juin 1673, reste quatre ans en Perse et retourne en Inde avant de revenir en Europe en 1680 en passant par le Cap de Bonne-Espérance. Constatant à son retour que les Protestants sont persécutés en France, il se rend en 1681 en Angleterre, où Charles II le fait chevalier et le nomme bijoutier de la cour. Il s’y marie et devient membre de la Royal Society en 1682. Chardin se rend ensuite en Hollande en tant que représentant de la Compagnie anglaise des Indes orientales et c’est à Amsterdam qu’il publie en 1686 la première partie des "Voyages de monsieur le chevalier Chardin en Perse et autres lieux de l’Orient". Cet ouvrage, qu’il ne complète qu’en 1711, peut-être avec l’aide de François Charpentier, est salué par les philosophes et reçoit les éloges de Montesquieu, Rousseau, Voltaire et Gibbon. P1-3N