EDITIONS DE VERGEURES. non daté. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 56 pages. Nombreuses photos en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 750-La peinture et les peintres
Reference : RO30032351
Classification Dewey : 750-La peinture et les peintres
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Selon Cohen, ce recueil vaut 30 fois le prix des Fables de la Fontaine illustrées par Oudry en 4 volumes in-folio, Paris, 1755-1759. A Paris, Fixé à cent exemplaires de pres épreuves. Imprimez sur grand papier.2 volumes grand in-folio, vers 1735.261 planches gravées. - Vol. 1 : 1 titre gravé, 1 f. de texte gravé, 1 frontispice gravé. 38 planches ; Figures de mode, dessinées et gravées à l’eau forte par Vatteau (sic). Paris : Duchange et Jeaurat, s.d. : 1 titre gravé, 11 planches ; Figures Françaises et comiques, nouvellement inventées par M. Watteau. Paris, Duchange et Jeaurat, s.d. : 1 titre gravé, 7 planches. Autres vues. Paris Duchange, Gautrot et Joullain, s.d : 52 planches dont 8 doubles.- Vol. II : Œuvres des estampes gravées, d’après les tableaux et dessins de feu Antoine Watteau. Quatrième et dernière partie. Paris, Gersaint, s.d. : 1 titre gravé et 153 planches.Soit un total de 261 gravures.Reliure en veau marbré, triple filet doré en encadrement sur les plats, dos à nerfs et caissons ornés, pièce de titre rouge et tomaison citron. Reliure de l’époque.Provenances : Comte Henry Greffulhe (1848-1932) (ex-libris gravés à ses armes) ; André Langlois (ex-libris).637 x 468 mm.
Edition originale.« Ce somptueux recueil en deux volumes est un des livres les plus beaux et les plus rares du XVIIIe siècle. Des cent exemplaires qui furent tirés, à peine une trentaine existe encore aujourd’hui (en 1910, il y a 109 ans) les autres ayant été cassés par les marchands d’estampes. » (Cohen).Il est à observer que le Tome I contient uniquement des pièces à regarder en hauteur et le tome II des pièces à regarder en largeur. Quand il y a deux pièces sur la même planche, au tome I, ce sont donc des pièces en largeur au tome II, des pièces en hauteur.- [Avec] : WATTEAU, Antoine. Figures de différents caractères de Paysages & d’Etudes dessinées d’après nature, par Antoine Watteau. Peintre du Roy en son Académie Royale de peinture et Sculpture, Gravées à l’Eau-forte par des plus habiles Peintres et Graveurs du temps, tirées des plus beaux cabinets de Paris.A Paris, chez Audran, graveur du Roy en son Hôtel royal des Goblins et chez F. Chereau, graveur du Roy, rue Saint-Jacques, aux deux pilliers d’or, Roland scrips. F. Baillieul l’aisné sculpsit, s.d. (vers 1735).2 tomes reliés en 1 volume grand in-folio.Tome I : (7) ff. gravés (titre, portrait de Watteau par lui-même gravé par Boucher, Vie, 2 ff. ; épitaphe, 2 ff., préface 1 f. et 132 sujets sur 101 planches.Tome II : (3) ff. (titre, avertissement, frontispice par Boucher) et 120 (ou parfois 121) ff. contenant les sujets 133 à 350.Reliure en veau marbré, aux armes de Samuel Bernard (OHR, 1043), triple filet doré en encadrement sur les plats, dos à nerfs, caissons ornés, pièce de titre et de tomaison en maroquin rouge, roulette sur les chasses, tranches rouges.Provenance : Samuel Bernard, comte Coubert (1651-1739). Reliure armoriée de l’époque.509 x 337 mm.Edition originale de ce précieux recueil publié par les ordres de M. de Julienne qui, selon Mariette, grava lui-même les n°221 et 222. Les aquafortistes des autres planches sont Jean et Benoît Audran, Boucher, Cars, Caylus, Cochin, Desplaces, Lépicié, Sylvestre et Carle Vanloo.Cette édition, la seule bonne est fort rare. Cartonné, non rogné, 1 500 fr. OR, catalogue Fontaine 1874, n°2493.En veau ancien, 2 500 frs Or Bulletin Morgand (1891), n°20348.En demi-reliure de Pagnant 3 000 frs Or, Bulletin Morgand (1899), n° 35457 ; en feuilles, 3 500 frs Or ibid. n°36821.Soit de 18 000 à 23 000 F Or pour les deux œuvres en 1912 selon Cohen soit 30 fois la valeur de la grande édition des Fables de La Fontaine illustrées par Oudry en 4 volumes in-folio, Paris 1755-1759 dont un bel exemplaire de premier tirage en maroquin se vend aujourd’hui 30 000 €.L’œuvre de Watteau est le plus rare des recueils de gravures du XVIIIe siècle.Il a été formé par les soins de Jean de Jullienne, ami et protecteur de Watteau, et tiré chez lui, à la manufacture des Gobelins, à cent exemplaires.Nous résumons brièvement, d'après les précieuses recherches de MM. Dacier et Vuaflart (Jean de Jullienne et les graveurs de Watteau), l'historique de cette magnifique entreprise. Le travail de gravure débuta en 1717, soit quatre ans avant la mort d'Antoine Watteau, et se continua jusqu'en 1735.Pour ces gravures, M. de Jullienne sut faire appel aux meilleurs artistes du moment : Jean Audran, Desplaces, Dupuy, Cochin père, Edme Jeaurat, Benoît Audran, fils de Jean, Siivestre, Laurent Cars, Bernard Lépicié, Carle Vanloo, Trémolières, François Boucher, alors âgé de dix-neuf ans, Jean de Jullienne lui-même, son ami le comte de Caylus et un anonyme qui signe M et pourrait être M. de Montullé, cousin germain de Jullienne, Tardieu, Maurice Baquoy, Louis Crépy, Nicolas de Larmessin, Thomassin, Jean Moyreau, Gabriel Huquier, spécialiste des arabesques, Bernard Baron, François Joullain, les frères Liotard, de Genève, Aveline, François Chédel, Jacques Ph. Le Bas, Marie-Jeanne Renard du Bos, Louis Jacob, Etienne Fessard, soit en tout trente-six artistes.Watteau lui-même a gravé dix pièces qui furent retouchées par les graveurs professionnels.« En 1716 Watteau céda aux instances de Crozat et vint s'installer chez le célèbre collectionneur. Crozat possédait, rue de Richelieu, au coin des boulevards un magnifique hôtel avec parc. Il avait à Montmorency un château somptueux. Watteau bénéficia de ce luxe, mais pas longtemps. La brillante société qui fréquentait chez le financier lui prenait beaucoup trop d'instants qu'il eut préféré consacrer aux commandes dont il était surchargé. Il quitta Crozat pour aller chez Sirois dont il accepta l'hospitalité, défendant qu'on fit connaître sa demeure à ceux qui la demanderaient. » « C'est à partir de cette époque que Watteau se libéra des manières et des influences précédentes et trouva définitivement et l'esprit et la technique qui allaient constituer cette poésie qui est si particulière à son œuvre. Quant à l'esprit, il abandonne les scènes de mascarades du répertoire de Gillot, et se consacre désormais aux manèges de l'amour, depuis les jeux retenus des premières rencontres : « La proposition embarrassante », jusqu'aux ultimes passes d'armes : « La surprise ». Il aime aussi à décrire les plaisirs de la musique : « Les Charmes de la vie ». Il isole parfois des personnages dans le but d'approfondir leur portrait psychologique : « La Finette » et « L'indifférent », tous deux au Louvre, « Le donneur de sérénades » de Chantilly.Mais c'est peut-être encore plus la technique picturale nouvelle qui constitue la grande originalité de l'art de Watteau dans sa brève maturité : d'une part il ne met plus en scène des personnages détachés devant un fond de décor, au contraire, par une touche hachurée, il fait un tout des personnages et de l'espace dans lequel il se meuvent ou se situent, s'imbriquant dans les herbes, les branchages, la brume légère. S'il avait été auparavant sensible aux exemples des peintres de genre flamands, la pratique des collections de Crozat lui permet de découvrir ses véritables sources avec le sens de la grande décoration, l'aisance du dessin, des raccourcis, des arabesques élégantes, chez Véronèse, et le sens de la pâte picturale généreuse et sensuelle, la traduction voluptueuse de la lumière dorée enveloppant les beaux corps chez Titien. Cependant, il n'avait toujours pas peint son morceau de réception pour l'Académie, qui l'avait accueilli en quelque sorte sur parole, et qui commençait à s'impatienter.Ce fut en 1717 que Watteau lui présenta enfin « L'embarquement pour Cythère », qui lui valut aussitôt le titre de « peintre des fêtes galantes ». Ce titre bien que justifié ne traduit que le côté le plus anecdotique du talent de Watteau. En fait on aurait pu mieux le dire « peintre de la nostalgie des fêtes galantes », ce qui aurait traduit plus justement le climat poétique propre aux prétendues fêtes de Watteau. En outre, par-delà le sujet, si prenant soit-il, c'est bien plus le rythme de la composition, la gamme colorée, chaude et dorée, la technique, légère et nerveuse, par petites touches spirituelles, entrecroisant les tons, le dessin, alerte, éblouissant, des personnages et du paysage, l'accord, la fusion, entre êtres et choses, acteurs et décor, personnages et nature, qui créent la poésie chez Watteau. »Précieux exemplaire de l’un des plus beaux livres illustrés par un peintre au XVIIIe siècle.Les exemplaires complets de toutes leurs planches, comme celui-ci, sont rarissimes : du tirage originel à cent exemplaires en 1735, un nombre infime a échappé aux marchands d'estampes qui ont souvent préféré vendre les gravures à part. (Cohen-de Ricci, col. 1053-1065).
Précieux exemplaire, conservé dans ses belles reliures de l’époque, cité par Cohen (col. 1056) provenant des bibliothèques du Comte Greffulhe et d’André Langlois avec ex-libris. Paris, Audran et Chereau, [1726-1728]. 2 volumes in-folio de : T. I / (4) ff. gravés (frontispice dessiné et gravé par Boucher, épitaphe, et autoportrait de Watteau gravé par Boucher), et 101 planches portant 132 sujets numérotés. Sans le titre, la Vie (2 ff.) et la préface (un f.), gravés, jamais reliés dans l'exemplaire (voir ci-après) ; T. II / 121 planches portant les sujets numérotés de 133 à 350 et 1 gravure non numérotée entre la 270 et 271. Sans le titre et le f. d’Avertissement. Veau marbré, triple filet à froid encadrant les plats, dos ornés de filets, fleurons, et étoiles, pièces de titre et tomaison de maroquin rouge et noir, tranches dorées. Reliure de l'époque. 495 x 325 mm.
Edition originale et premier tirage « de ce précieux recueil » (Cohen, col. 1064), l’un des plus beaux et des plus rares livres illustrés français de tous les temps. « Cette édition, la seule bonne, est fort rare ». (Cohen, col. 1064). Sander, Illustrierten franz ö sischen Bücher des 18. Jahrhunderts, 2042 ; Berny, Livres anciens, romantiques et modernes, III, …, 90 ; Esmerian, XVIIIe siècle, livres illustrés, 107. Précieux et célèbre exemplaire cité par Cohen (col. 1056) provenant des bibliothèques du Comte Greffulhe et Jacques Langlois. Le « recueil Julienne », le plus beau et le plus rare des recueils de gravures du XVIIIe siècle, fut composé par les soins de l’ami et protecteur de Watteau, Jean de Julienne, lequel s’entoura peu de temps après la mort de Watteau d’une trentaine d’artistes reconnus dans le but de propager l’œuvre de son ami. L’entreprise de publication s’étendit sur une douzaine d’années. Les quatre volumes (dont les Figures de différents caractères sont consacrés aux dessins et l’Œuvre à ses peintures et ornements) furent imprimés chez lui, à la manufacture des Gobelins. Le travail de gravure débuta en 1717, soit quatre ans avant la mort d'Antoine Watteau. Les Figures de différents caractères furent mises en vente en 1726 et 1728 (et l’Œuvre en 1735). Julienne fit appel aux plus grands artistes du temps : quinze graveurs travaillèrent aux Figures de différents caractères, dont Jean Audran (131 pièces), Cochin père, Nicolas Silvestre, Laurent Cars et François Boucher alors âgé de dix-neuf ans, qui grava 105 pièces. Jean de Julienne lui-même, son ami le comte de Caylus et peut-être Montullé, cousin germain de Julienne, ont enfin gravé une quinzaine de pièces. Au total, 352 gravures immortalisant les dessins de Watteau : outre son autoportrait, la plupart sont des études de personnages pour ses tableaux de scènes galantes ou de comédie italienne, mais aussi d’artisans de petits métiers, de femmes dans leur vie quotidienne, et de personnages exotiques. Le goût personnel de Julienne, aquafortiste amateur, influe sur la technique des graveurs. C'est à l'eau-forte qu’eurent recours ces derniers pour obtenir une atmosphère aux valeurs claires, évanescentes que ne pouvait traduire le burin. Le succès de l’ouvrage fut considérable et les gravures accrochées dans tous les intérieurs français, ainsi qu’en Angleterre et en Allemagne. Quelques années après la parution des Figures de différents caractères en 1726-1728, les deux volumes de l’Œuvre de Watteau virent le jour en 1735 ; le Comte Greffulhe possédait initialement ces quatre volumes : Les Figures en 2 volumes in-folio, et L’Œuvre en 2 volumes grand in-folio. Il est cité par Cohen dans sa description de L’Œuvre parmi les rarissimes exemplaires connus (col. 1056). L’ensemble des volumes fut titré L’Œuvre au dos, raison pour laquelle les deux volumes des Figures portent ici ce titrage, et explique l’absence (d’origine) des titres, de la préface et de la Vie de Watteau, lesquels furent remplacés par le frontispice de Boucher, relié ici en tête du T. I mais habituellement en tête du T. II. Ce superbe exemplaire du Comte Greffulhe compte parmi les rares conservés dans leur élégante reliure de l’époque bien conservée. L’exemplaire passa ensuite dans la bibliothèque André Langlois, une des provenances les plus distinguées pour les beaux livres du dix-huitième siècle. En mai 2000, il y a 16 ans un exemplaire de ces deux volumes de Figures de différents caractères en reliure anglaise restaurée était vendu 350 000 F (environ 53 300 €) (Réf : Livres précieux – mai 2000, n° 140).
Christoph Martin Vogtherr, Franziska Windt, Peter Fuhring, Eva Wollschläger, Axel Moulinier, David J. Ranftl
Reference : 57284
, mercaterfonds - fondsmercator, 2021 HB, 285 x 230 mm, 296 p, 160 Illustrations color. texte en Francais Exhibition catalogue. ISBN 9789462302839.
Si l'année 2021 marquera le tricentenaire de la mort du peintre français Antoine Watteau (1684-1721), la gloire que cet artiste connaissait de son vivant illumine l'univers de l'art aujourd'hui encore, et ses oeuvres restent des trésors très convoités des collectionneurs. La Fondation des châteaux et jardins prussiens de Berlin-Brandebourg possède, juste après le musée du Louvre à Paris, la plus vaste collection de tableaux de cet artiste. L'exposition temporaire et le catalogue d'exposition Antoine Watteau. Art, marché, artisanat rend hommage à ce grand artiste de l'époque des Lumières, au château de Charlottenbourg à Berlin. L'Enseigne de Gersaint, l'une des oeuvres majeures de Watteau, sera au coeur de l'exposition. Acquise en 1756 par Frédéric le Grand (1712-1786), cette peinture est considérée comme un chef-d'oeuvre depuis sa création. Créée à l'origine pour servir de panneau publicitaire à la galerie parisienne du marchand Gersaint, elle fait aujourd'hui encore l'objet de questionnements et de débats ayant trait non seulement au commerce de l'art, mais aussi, plus globalement, à notre rapport à l'art et au fait de collectionner des oeuvres. Deux figures importantes de la vie artistique parisienne seront présentées : Edme-François Gersaint (1694-1750) et Jean de Julienne (1686-1766). Le jeune et ambitieux marchand d'art Gersaint utilisa sa galerie du Pont Notre-Dame à Paris pour commercialiser dans toute l'Europe, après la mort de Watteau, les oeuvres de celui-ci, au moyen de nouveaux supports et formats publicitaires. En collaboration avec Julienne, collectionneur et mécène de Watteau, il fit reproduire tous les dessins et tableaux du peintre sous forme d'estampes. Avec cette édition intitulée le Recueil Julienne naissait le prototype d'une monographie au sens moderne du terme, qui devait marquer le début d'un véritable engouement : dans toute l'Europe, les collectionneurs, manufacturiers et commerçants d'art se procurèrent des estampes de Watteau. L'univers pictural de l'artiste inspira aussi les peintres de cour et l'artisanat prussiens. On retrouve les motifs de Watteau non seulement dans les peintures mais aussi sur les paravents, papiers peints, éventails, porcelaines et tapisseries de l'époque frédéricienne. Watteau inspire toujours les artistes contemporains, comme le peintre suisse Thomas Huber (né en 1955) ou la styliste britannique Vivienne Westwood (née en 1941) qui seront représentés au sein de cette exposition à travers une de leurs oeuvres. Leurs positions artistiques montrent que Watteau est perçu de nos jours comme un artiste innovant, et que ses oeuvres sont d'inépuisables sources d'inspiration et d'interrogations sur notre rapport à l'art. Cette exposition, qui se déroulera sous le parrainage de l'ambassadrice de France, Mme Anne-Marie Descôtes, étudiera Watteau sous ses nombreuses facettes et nous présentera un artiste culte, dont la gloire posthume naquit dans la galerie de Gersaint, sur le pont Notre-Dame de Paris.
E. Plon, Nourrit et Cie, Imprimeurs-éditeurs, Paris, 1889. In-4, broché, 76 pp. Avant-propos - Louis & François Watteau, peintres lillois du XVIIIe siècle - Pièces justificatives. Louis Watteau (1731-1798). I. Biographie. - II. Documents relatifs aux œuvres - François Watteau (1758-1823). - I. Biographie. - II. Documents relatifs aux œuvres ...
Rare exemplaire de l'édition originale de luxe. Notre exemplaire porte le n° 166.Avec 7 planches à pleine page sous serpente en hors texte : Louis Watteau : Le dragon amoureux, L'après-midi, ou les moissonneurs surpris par l'orage, Le midi, ou le repos des moissonneurs, Retour à Lille des aéronautes Blanchard et du chevalier Lépinard - François Watteau : Les doux entretiens, Le menuet sous un chêne, Scène de Pourceaugnac.On joint une planche d'après une gravure de Louis Watteau [Concert champêtre] avec au dos une page d'un texte extrait de la Gazette des Beaux-Arts concernant l'artiste lillois. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Dacier, Emile and Albert Vuaflart: Jean de Jullienne et les Graveurs de Watteau au XVIII Siècle. 4 vols. Paris: Société pour l'Étude de la Gravure Française, 1919. I: Notices et Documents Biographiques. 289pp uncut with 121 monochrome illustrations. II: Historique. 172pp uncut with 31 monochrome illustrations. III: Catalogue. 153pp uncut with 4 monochrome illustrations. IV: Planches. 316 monochrome illustrations loose as issued in publisher's portfolio. Cloth. 33x25.5cms. Published on the occasion of the bicentenary of Watteau's death, as a scholarly study of the artist's life and work, recording the 18th-century engravings 'after' the drawings of Watteau, by his friend, Jean de Jullienne, who inherited several works on Watteau's death..
Published on the occasion of the bicentenary of Watteau's death, as a scholarly study of the artist's life and work, recording the 18th-century engravings 'after' the drawings of Watteau, by his friend, Jean de Jullienne, who inherited several works on Watteau's death.