EDITIONS DES REMPARTS. 1975. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 224 pages.. . . . Classification Dewey : 843.085-Le roman sentimental
Reference : RO30029028
Collection Mirabelle. Classification Dewey : 843.085-Le roman sentimental
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Vié Blandine, Ego Walter, Couvreur Dominique, Vanhellemont Marc, Asset Philippe
Reference : 66760
(2007)
ISBN : 2914645996
Agnès Vienot Editions 2007 Dos légèrment jauni, sinon très bon état.
Très bon état d’occasion
Paris, Isidore Liseux, 1879
Petit in-12 (155 x 101 mm), XII - 207 pp - (1) pp. Table, demi-maroquin bleu marine, coins, dos à cinq nerfs orné, tête dorée, non rogné (reliure signée Lanscelin). Contient trois contes : "Tant mieux pour elle, conte plaisant", "Le Sultan Misapouf et la Princesse Grisemine, ou les métamorphoses", et "La Navette d'amour", précédés d'une Notice par Alcide Bonneau. (quelques défauts sur les coins, rousseurs). // Small 12o (155 x 101 mm), XII - 207 pp - (1) pp. Table, dark blue three-quarter morocco, spine tooled raised on five bands, top edge gilt, uncut (binding signed Lanscelin). Contains three tales : "Tant mieux pour elle, conte plaisant", "Le Sultan Misapouf et la Princesse Grisemine, ou les métamorphoses", and "La Navette d'amour". In introduction : a Notice by Alcide Bonneau.
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).
Editions nuit et jour. 3 mars 1977. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Elle paie avec son corps le tueur de son mari par Carlos Martinez, Le sadique a la voiture jaune par Michel Szkaradek, Parricide par amour pour sa mère par Dominique Cellura, Elle castre son amant après une nuit d'amour par Francis Duriez Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
[Imprimerie de J. Moronval] - SCHWARZENBERG, Maréchal Prince de ; [ Fürst Zu SCHWARZENBERG, Karl Philipp ]
Reference : 66584
(1815)
1 placard format 25,2 cx 21 cm, Imprimerie de J. Moronval, rue des Prêtres-Saint-Severin, n°4, s.d. [ 1815 ] : Habitans de Paris [ Edition originale de la Proclamation du chef des armées alliées devant Paris juin - juillet 1815 ] "Les armées alliées se trouvent devant Paris. Le but de leur marche vers la capitale de la France, est fondé sur l'espoir d'une réconciliation sincère et durable avec elle. Depuis vingt ans, l'Europe est inondée de sang et de larmes. [... ] Les Souverains alliés cherchent de bonne foi une Autorité salutaire en France, qui puisse cimenter l'union de toutes les Nations et de tous les Gouvernemens avec elle. C'est à la Ville de Paris qu'il appartient, dans les circonstances actuelles d'accélérer la paix du monde [ ... ] Parisiens, vous connaissez la situation de votre patrie. La conduite de Bordeaux, l'occupation amicale de Lyon, les maux attirés sur la France [ ... ] C'est dans ces sentimens que l'Europe en armes devant vos murs s'adresse à vous : hâtez-vous de répondre à la confiance qu'elle met dans votre amour pour la patrie et dans votre sagesse".
Rare proclamation édictée par le Maréchal-Prince de Schwartzenberg, "Commandant en chef des armées alliées", à l'attention des Parisiens, à la fin des Cent-Jours. Etat très satisfaisant (feuillet un peu manipulé, bon état par ailleurs).