‎NON PRECISE‎
‎LE FRESNOY‎

‎L'ART DE PEINTURE de C.A. DU FRESNOY, traduit en françois. Enrichy de Remarques, & augmenté d'un dialogue sur le Coloris. Seconde édition.‎

‎Chez Nicolas Langlois Paris 1673 In-12 ( 160 X 90 mm ) de 11 ffnch.-277-80 pages, pleine basane tabac, dos à nerfs orné de caissons dorés, tranches brique ( Reliure de l'époque ). Page de faux-titre absente, reliure très usée avec manques aux coins, coiffes et mors. Dans l'état.‎

‎L'Art de Peinture de C.A. DU FRESNOY, traduit en françois, Enrichy de Remarques, reveu, corrigé & augmenté. Troisième édition.‎

‎ A Paris, Chez Nicolas Langlois, 1684, 1 volume in-12 de 170x95 mm environ, 1f. blanc, 6ff. (titre avec large vignette, préface, privilège), 276 pages, 15ff. (table des matiere, 1f.blanc, 12 ff. : Termes de Peinture par ordre alphabétique, reliure plein veau brun, dos à nerfs portant titres dorés, orné de caissons à motifs dorés aux entre-nerfs, tranches mouchetées de rouge. Mouillure marginale sur quelques pages, petite tache sur le premier plat, rares rousseurs, un nom rayé sur la page de titre, sinon bon état‎

‎Charles-Alphonse Du Fresnoy, né en 1611 à Paris et mort en 1668 fut un peintre, un critique d'art et un poète français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

‎L'art de peinture de Charles Alphonse Du Fresnoy, traduit en François, avec des remarques nécessaires & très amples. ‎

‎ Paris, Chez Nicolas Langlois, 1668 ; in-8 (17,8 x 12 cm). 8 ff. n. ch.-167 pp. Basane brune marbrée, dos à nerfs orné, pièce de titre brune. Trous de vers sur les coiffes et les mors, petite galerie de vers sur le plat sup. Pâle et très marginale mouillure sur quelques feuillets. Ex-libris manuscrit sur le titre "Petri Bartholomeo 1767" [sic]. ‎

‎Edition originale posthume de la traduction de ce poème latin parue l'année de la mort de l'auteur. Le "De arte graphica liber" de Du Fresnoy paru également en 1668 chez Barbin dédié à J. B. Colbert. Le texte français donné par Roger de Piles est accompagné du texte latin en regard. D'autres traductions ont été faites au XVIIIe (Renou en 1789) et au XIXe siècle (Rabany en 1810). Du Fresnoy (1611-1668) fut peintre, élève de Simon Vouet et François Perrier, ami de Mignard, mais son influence dans la peinture s'exerça plus par son traité quil composa lors de son voyage en Italie et à Venise. Ses observations critiques sur la peinture, s'adressent aux étudiants en art et aux peintres, et vont marquer le discours critique de lart au XVIIe siècle. ‎

‎Transit. David Boeno, Joey Morgan, Carmen Perrin. Le Fresnoy, Studio national des arts contemporains, 1- 22 novembre 1992.‎

‎Tourcoing: Le Fresnoy, 1992 in-4, 48 pages, illustrations. Broché.‎

‎Transit. David Boeno, Joey Morgan, Carmen Perrin. Le Fresnoy, Studio national des arts contemporains, 1- 22 novembre 1992. (Tourcoing: Le Fresnoy, 1992). [M.C.: catalogue d'exposition, Photographie]‎

‎Un lycée de jeunes filles dans un vieil hotel parisien - Le lycée Lamartine (envoi autographe de l'auteur - Charles-Nicolas Duclos du Fresnoy, 1733-1794)‎

‎Editions du Lycée Lamartine, 121 rue du Faubourg Poissonnière à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1933 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur crème, titre en rouge et noir In-8 1 vol. - 147 pages‎

‎1 frontispice (portrait de Duclos-Dufresnoy par Jean-Baptiste Greuze), 4 planches hors-texte d'illustrations, 7 plans et 3 figures (en noir et blanc, complet) 1ere édition, 1933 "Contents, Chapitres : Préface et avant-propos, xi, Texte, 136 pages - 1. Le quartier à la fin du XVIIIe siècle - La maison à la fin du XVIIIe siècle - Duclos-Dufresnoy avant la Révolution - Duclos-Dufesnoy collectionneur - Les débuts de la Révolution, 1788-1792 - La retraite, 1792-1793 - La mort, 14 pluviose, an II - La maison abandonnée - 3. La vie reprend - Le Lycée Lamartine - Inventaire du 29 août 1749, extraits - Bibliographie et table - Charles-Nicolas Duclos du Fresnoy, né en 1733 à Montcornet en Thiérache et mort en 1794 à Paris, est un mécène français et conseiller privé du Roi. Charles-Nicolas Duclos du Fresnoy , conseiller du roi, est notaire royal au Châtelet à Paris de 1763 à 1791. Il est nommé syndic-gérant de la compagnie des notaires parisiens. À ce titre, il fait prêter par cette compagnie la somme de six millions de livres au roi Louis XVI en 1788, pour faire face à la crise financière. En 1789, il est nommé député suppléant du Tiers-État, aux États Généraux. Il tente d'empêcher la création du papier-monnaie et propose un projet pour sauver la Caisse d'escompte. Malgré ou à cause de sa modération, il est guillotiné en 1794 à Paris. Il a exercé sa fonction de notaire royal du 6 août 1763 au 21 juillet 1791 aux adresses suivantes : rue des Déchargeurs (de 1763 à 1768), rue Vivienne, près les Filles-Saint-Thomas (de 1769 à 1791). Dans son fonds notarial conservé aux Archives nationales, se trouve la succession Claude Le Duc, secrétaire du roi (14 août 1788). Il sera aussi le notaire de Marie-Louise O'Murphy, ancienne maîtresse de Louis XV. Collectionneur d'art, il sera le notaire et mécène du peintre Jean-Baptiste Greuze qui réalisera tant son portrait que celui de son fils : le baron Charles Athanase Walckenaer. Ce dernier épousera sa cousine germaine, Joséphine Marcotte de Pyn prénommée Finotte, sur de Charles Marcotte d'Argenteuil et Philippe Marcotte de Quivières, tous deux collectionneurs et mécènes de renom. - Son hôtel du 89 Fbg Poissonnière à Paris reviendra, après sa mort, à sa sur madame Marcotte de Pyn, mère de Charles Marcotte d'Argenteuil et Philippe Marcotte de Quivières. En décembre 1958, Hans Naef publie dans son ouvrage sur les portraits du clan Bochet-Marcotte-Panckoucke par Ingres, un extrait de l'ouvrage de Frédéric Masson : ""M. Duclos Dufresnoy avait une clientèle fort aristocratique et il fut impliqué au monde du sport si bien que dans les grandes épreuves hippiques, il recevait les paris dans son étude. Il possédait l'une des plus belles maisons de Paris, rue du faubourg poissonnière, et les jardins en furent célèbres au point qu'on venait de loin pour les visiter. La maison existe encore ; elle est aujourd'hui le Lycée Lamartine""... C'est dans cette maison qu'il a élevé son fils unique, Charles Athanase Walckenaer (1771-1852), qui intégrera, huit mois après la mort de son père, l'École Polytechnique au mois de septembre 1794, avant d'accomplir une carrière exemplaire de scientifique. (source : Wikipedia)" infimes traces de pliures sans gravité aux coins des plats, la couverture reste en bon état, à peine empoussiérée, intériieur sinon frais et propre, papier à peine jauni, cela reste un bon exemplaire, augmenté d'un court envoi autographe signé de l'auteur‎