ROBERT LAFFONT. 1968. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 348 pages. Quelques photos en noir et blanc hors texte. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Reference : RO30023895
Traduti de l'anglais par R. Schiller et Louis Germain. Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
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Heimdal 1991 in4. 1991. cartonné. 192 ( pagination continue ) pages. nombreuses photographies en noir et blanc Très bon état
2014 Standaard Uitgeverij Soft cover 1st Edition
Bij de Vlaamse luchtafweer: een Vlaamse jongen van 18 diende bij de Duitse Luftwaffe 1942-1945 zachte kaft, 24 x 16,5 cm, 155 blz, zeer goede staat
2014 Standaard Uitgeverij - Algemeen & Import Soft cover Good
Bij de Vlaamse luchtafweer: een Vlaamse jongen van 18 diende bij de Duitse Luftwaffe 1942-1945 240 x 165 mm, Softcover 156 blz , met illustraties in z/w goede staat
Editions Arès 2020, in/4, reliure éditeur, 195 pages, photographies documents en noir et blanc.
"En 1939, alors qu’elle avait à peine cinq années d’existence, l’aviation militaire allemande, la Luftwaffe, fut lancée dans ce qui allait devenir la Seconde Guerre mondiale. Bénéficiant d’un personnel motivé et compétent, d’un commandement solide ainsi que de bons appareils, cette arme encore jeune put néanmoins faire bonne figure durant les deux premières années de guerre. Contrainte de s’établir très largement en France en juillet 1940 face à l’Angleterre, après le refus du gouvernement britannique de conclure une paix séparée, elle combattit tant de jour que de nuit sur la Grande-Bretagne avant de subir une sérieuse ponction en effectifs peu avant l’invasion de l’URSS en juin 1941. Désormais réduite à la portion congrue dans l’Hexagone, la Luftwaffe allait cependant, avec le concours de quelques unités « de choc », continuer à tenir la dragée haute à la RAF, tant pendant la « Non Stop Offensive » de fin 1941 que lors de la tentative de débarquement canadien de Dieppe en août 1942. En novembre 1942, le débarquement allié en Afrique du nord allait forcer la Wehrmacht à occuper la zone libre tout en assurant la défense aérienne du Sud de la France. C’est à ce moment-là que le manque d’unités et d’hommes allait nettement se faire sentir et, dès cette date, le commandement de la Luftwaffe basée en France dut jongler avec les maigres unités dont il disposait. La Luftwaffe ne se limitait pas aux seuls détachements aériens. En France furent également présentes des unités de DCA (Flak), de parachutistes (Fallschirmjäger), de personnel d’aérodromes (Fliegerhorst), de transmissions (Nachrichten), etc. C’est leur histoire qui est relatée dans cet ouvrage illustré de près de 600 photos, pour la plupart inédites."
Editions Arès 2021, in/4, reliure éditeur, de la page 201 à la pages 391, photographies documents en noir et blanc.
"Au début de 1943, la Luftwaffe basée en France se devait d’occuper tout l’Hexagone suite à l’invasion de la zone Libre à la fin de 1942. Véritable casse-tête pour un commandement local contraint de résoudre la quadrature du cercle puisque ne disposant que d’un nombre étique d’unités aériennes et de Flak (DCA) ! La situation allait s’aggraver avec la détérioration de la situation militaire de l’Axe en Méditerranée, la France devenant trop souvent un réservoir d’hommes et d’appareils dans lequel on puisa au besoin pour renforcer vaille que vaille l’Afrique, la Grèce et, finalement, l’Italie. Mille neuf cent quarante-trois vit également des raids de plus en plus puissants lancés sur le continent par l’USAAF américaine et ses redoutables quadrimoteurs. La chasse de jour, la Tagjagd, allait ainsi progressivement s’user, perdant régulièrement des as dont la disparition ne pouvait être compensée par l’arrivée de jeunes aviateurs dépourvus d’expérience et de pratique. De nuit, le Bomber Command de la RAF multiplia les intrusions, forçant le commandement local à développer la chasse de nuit (Nachtjagd) qui, jusqu’alors, était demeurée quelque peu embryonnaire. Malgré les efforts, peu d’unités nouvelles purent être levées pour renforcer le potentiel offensif et défensif de l’aviation allemande en France occupée. Ainsi, la KG 6 formée de bric et de broc en 1942 n’opéra pourtant que peu au départ du territoire français, étant appelée en Italie ou au Danemark avant d’être engagée sur l’Angleterre dans des raids de très faible valeur stratégique. Même l’approche inéluctable d’une invasion alliée ne put renverser les plateaux de la balance et le débarquement de Normandie du 6 juin 1944 puis celui de Provence portèrent un coup fatal à la Wehrmacht. Fin août 1944, quasiment toutes les unités de la Luftwaffe avaient évacué la France. Repliées en Allemagne, elles menèrent des actions sporadiques dans l’espace aérien français surtout en appui des forces terrestres ou purement en défensive. Le 1er janvier, la Luftwaffe lança l’opération « Bodenplatte » qui ne fut guère un succès. Les derniers appareils de la Luftwaffe ayant volé sur la France furent les He 111 de la TG 30 qui, jusqu’au bout, ravitaillèrent de nuit les poches de l’Atlantique demeurées entre les mains allemandes et qui ne capitulèrent que le 8 mai 1945."