‎DIDELOT ROGER-FRANCIS‎
‎MAISON DE CORRECTION‎

‎EDITIONS DE FRANCE. NON DATE. In-8. Relié toilé. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos fané, Intérieur frais. 251 pages - couverture d'origine conservée - 1 annotation sur le 1er plat de la couverture et sur la page de faux-titre.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

Reference : RO20166916


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10079167

(1865)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 1167-Revue politique de la semaine. — Visite de l’Impératrice à la maison de correction des jeunes détenus. — Courrier de Paris. — Ballet des six à la cathédrale de Sévjlle. — Salon de 1865 (suite). — La Muse rustique.‎

‎Au bureau du journal. 8 juillet 1865. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 18 à 32. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : Revue politique de la semaine. — Visite de l’Impératrice à la maison de correction des jeunes détenus. — Courrier de Paris. — Ballet des six à la cathédrale de Sévjlle. — Salon de 1865 (suite). — La Muse rustique. — Tableaux du Salon reproduits par Y Illustration. — Chronique musicale. — Voyage dans les Landes (suite) — Modes d’été. — Portrait de Miguel Cervantès Saavedra. — Le cor de Roland-Gravures : Visite de l’Impératrice à la maison des jeunes détenus. — Le Ballet des six, exécuté à la cathédrale de Séville pendant l’octave de la Fête-Dieu. — Modes de Y Illustration pour le mois de juillet. — Salon de 1865 : Embarras d'un médecin de village; les Élèves de la Grand’mère; Enterrement d’un 'petit oiseau; Une conciliation devant les autorités du village; Bertrand et Raton; Chanteur florentin, statue. — Revue mensuelle, caricatures par Cham (12 sujets). —' Musique : les Malheureux, chanson par Nadaud. — Portrait authentique de Miguel Cervantès. — Le cor de Roland. — Rébus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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‎LA CROIX ILLUSTREE ‎

Reference : 93156

(1908)

‎La croix illustrée N° 398. Première page : Pittoresque sauvetage d'un jeune imprudent (éléphant). Dernière page : Une maison de correction à Rome.‎

‎Couverture souple. 8 pages. Légèrement défraîchi. Pliure au milieu.‎


‎Périodique. La Croix Illustrée, 9 août 1908.‎

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

EUR9.00 (€9.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110417175

(1946)

‎Globe n° 75 - La maison de correction mène droit a la santé, on demande des jeunes gens décidés a tout subir, a tout voir et tout entendre, pour enlever leurs barreaux aux prisons par Jean Rabaud, L'étalon-cigarette sert de base aux trocs des viennois‎

‎Bureau du journal. 3 mai 1946. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 15 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : La maison de correction mène droit a la santé, on demande des jeunes gens décidés a tout subir, a tout voir et tout entendre, pour enlever leurs barreaux aux prisons par Jean Rabaud, L'étalon-cigarette sert de base aux trocs des viennois, qui aiment les Américains, connaissent peu les Anglais, craignent les Russes et supportent les français Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎DETECTIVE ‎

Reference : 122153

(1930)

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

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