EDITIONS POPULAIRES DE L'EGLISE DU ROYAUME DE DIEU. NON DATE. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Agraffes rouillées, Intérieur frais. 32 pages - illustration en bleu sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Reference : RO20159171
Classification Dewey : 200-RELIGION
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Convention Nationale, Paris 5 Nivôse An II (25 Décembre 1793), 12x19,5cm, 15pp, broché.
Edition originale de ce célèbre discoursde Robespierre justifiant le principe du gouvernement révolutionnaire et posant les bases de l'instauration de la Terreur. Petites taches d'encre noire ayant parfois pâli et quelques rousseurs. A l'automne 1793, les menaces qui pèsent sur la République se sont accentuées tant aux frontières qu'au cur du pays : Hébert le jusqu'au-boutiste "enragé" appelant à un soulèvement populaire, la menace royaliste étant toujours présente, les Indulgents réclamant la fin de la politique de la Terreur. Le 5 Nivôse an II (25 Décembre 1793), Robespierre se rendau Comité de salut public afin d'y présenter les principes du gouvernement révolutionnaire. Il met en garde dès les premiers mots de son discours : les récentes victoires (défaites vendéennes des 12 et 23 décembre, reprise de Toulon le 19 décembre grâce à l'action remarquée du capitaine Bonaparte) ne doivent pas endormir la vigilance des patriotes. La contre-révolution reste très active au sein du pays, le Comité de salut public doit confondre les intrigues des ennemis de la liberté et faire triompher les principes révolutionnaires. Selon ses termes : « Le gouvernement révolutionnaire doit aux bons citoyens toute la protection nationale ; il ne doit aux ennemis du peuple que la mort. » Pour mener à bien son action, ce dernier doit trouver sa voie entre deux extrêmes : le modérantisme prêché par les « indulgents » et l'excès auquel aspirent les « enragés ». Pour Robespierre, la dictature des Comités comme la Terreur se justifient parce qu'elles seules permettront de mettre fin à la guerre civile et étrangère. Tant que le pays sera en conflit, les citoyens ne pourront jouir totalement de la Constitution. Il faut anéantir la contre-révolution. Dans ce but, Robespierre demande la réforme du Tribunal révolutionnaire. Réforme qui trouvera son aboutissement dans la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794) : suppression de la défense, audition de témoins lorsque manquent les preuves matérielles, l'acquittement ou la mort étant les seuls verdicts possibles. Ainsi se met en fonctionnement l'engrenage de la Terreur qui remplace par l'arbitraire les principes et les lois édictés par la Déclaration des droits de l'homme et par la Constitution. (cfDelphine DUBOIS et Régis LAPASIN in le site Nouvel éclairage sur l'histoire - L'histoire par l'image). Très rare exemplaire de ce discours fondateur de la politique de la Terreur qui ira jusqu'à mener son principal instigateur, Maximilien Robespierre, à l'échafaud. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Tallandier 1990 163 pages 16x23x2cm. 1990. Broché. 163 pages.
Très bon état
Paris, Impr. de la République, (An III) in-8, 2 pp., en feuille. Le haut de la page de titre est légèrement rogné, sans atteinte au texte.
De fausses lettres écrites au nom du Comité de salut public circulent dans les sections. Elles prétendent notamment que le Comité suspendra jusqu'à nouvel ordre la distribution de pain. Document signé, entre autres, par Cambacérès, Fourcroy, Merlin (de Douai), Rabaut, Treilhard. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Du 9e jour de Nivôse, an second de la République Française, une & indivisible. Nice. Coignet Père & Fils. (1793). In-4 (ca 175 x 235mm), sans couverture, tiré d'un recueil factice, 4 pages. Imprimé en gros caractère. Texte rédigé par Billaud-Varenne, B. Barrere, Collot-d'Herbois et Carnot. Exemplaire coupé de travers. Peu courant.
Le Comité de salut Public prend le pouvoir et organise les régions. Dans ce document il désigne les Représentants du Peuple pour les départements du Var et de Nice, les citoyens Ricord et Robespierre J. (Augustin Bon Joseph de, Jeune, frère de Maximilien).
Du 3e jour de Frimaire, an second de la République... Paris. Imprimerie Nationale Exécutive du Louvre. An II. In-4 (181 x 235mm) de 2 pages imprimées. Signé Charles.
Le Comité de Salut Public devient le véritable gouvernement.