Masson.. 1985.. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 231 pages. Nombreux tableaux et graphiques en noir et blanc, dans le texte et hors texte. Nombreuses cartes en noir et blanc, dans le texte et hors texte. Ecritures au stylo sur les 3 tranches de l'ouvrage. Etiquette sur le dos de l'ouvrage. Tampon sur la page de titre. Scotch sur la 2nde et la 3 ème de couverture et sur la page de garde.. . . . Classification Dewey : 981-Brésil
Reference : RO20079204
ISBN : 2225805830
Collection géographie. Cartographie de Claude Dubut et Anne Le Fur. Classification Dewey : 981-Brésil
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Première description du Brésil par un Anglais au XIXe siècle. Très séduisant exemplaire offert par l’auteur à Cambacérès. Paris, Léopold, Collin, 1806. In-8 de xiv pp., 215 pp., (1) p. Cartonnage rouge maroquiné, large jeu de roulettes dorées encadrant les plats, inscription en lettres d’or: A S.A.S Monseigneur le Prince Cambacéres Archichancelier de l’Empire, dos lisse orné de filets dorés formant faux-nerfs et de fleurs aux étoiles et pointillés dorés, roulette dorée sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque. 198 x 122 mm.
Première édition française de ce voyage au Brésil offert par l’auteur à Cambacérès. Borba de Moraes, I, 485; Garraux 170; Leclerc 1609; Rodrigues 1416, Sabin 41296. Cette traduction est l’œuvre de François Soulès. Cette première édition française est plus rare que la première anglaise selon Borba de Moraes. En 1801, Lindley, un marchand anglais, se trouvait en Afrique du Sud avec des marchandises dont le cour avait brusquement chuté après la signature de la paix de Lunéville. Il décida donc de tenter de les vendre au Brésil. Mais il y fut arrêté pour contrebande et emprisonné un an à Sao Salvador de Bahia malgré toutes ses protestations. Les conditions d’incarcération s’étant progressivement assouplies, il fut autorisé à sortir durant la journée. Il en profita pour visiter la ville et son récit fourmille de détails sur celle-ci, et sur ses habitants. Il s’agit de la première description du Brésil par un Anglais au XIXe siècle. Après 11 mois de prison, il réussit à s'échapper via le Portugal pour rejoindre l'Angleterre. Très séduisant exemplaire offert par l’auteur à Cambacérès et portant cette dédicace frappée en lettres dorées sur le plat supérieur : « A.S.A.S. Monseigneur le Prince Cambacérès Archichancelier de l’Empire ». Jean-Jacques-Régis de Cambacérès est un jurisconsulte et homme d'État français, né le 18 octobre 1753 à Montpellier et mort le 8 mars 1824 à Paris. Issu d'une famille de magistrats appartenant à la vieille noblesse de robe montpelliéraine, il connaît une enfance relativement pauvre. Diplômé en droit, il commence une carrière d'avocat et de conseiller à la Cour des comptes du Languedoc et fait son entrée en politique dès les premiers jours de la Révolution française. Président du tribunal criminel de l'Hérault en 1791, il est élu député à la Convention nationale l'année suivante. Dès lors, Cambacérès occupe des postes de pouvoir pendant la majeure partie de sa vie. Membre du Comité de salut public entre 1794 et 1795, président du Conseil des Cinq-Cents en 1796 puis ministre de la Justice en 1799, il est Deuxième consul après le coup d'État du 18 Brumaire de Napoléon Bonaparte et assiste au sacre de celui-ci en 1804. Nommé archichancelier de l'Empire, il est pendant près de dix ans le deuxième personnage de l'État: l'Empereur lui délègue la présidence des conseils et des séances du Sénat pendant son absence. Élu à l'Académie française et membre de l'Institut, il est également un personnage éminent de la franc-maçonnerie française et participe à son renouveau après la proclamation de l'Empire. Chef suprême du rite français, il est grand maître adjoint du Grand Orient de France après le retrait du prince Louis Bonaparte en 1805 et le reste jusqu'à la fin de l'Empire. Il est aussi grand commandeur du Suprême Conseil du rite écossais et cumule plusieurs autres fonctions maçonniques. Avide d'argent et de pouvoir, il se constitue une immense fortune grâce à son esprit d'entreprise et aux faveurs de l'Empereur. L'hôtel Molé, qu'il acquiert en 1808, devient l'un des plus beaux palais de Paris et les réceptions qu'il organise sont reconnues pour leur faste et la qualité des mets qui y sont servis. Gastronome averti, amoureux du luxe et de la décoration, il se voit confier un rôle de représentation de la part de Napoléon Ier dans le but d'affirmer la puissance de l'Empire et de l'ancrer dans les traditions séculaires de la France. Il quitte le pouvoir en 1815 après la chute de l'Empereur et s'exile un temps à Bruxelles. De retour à Paris à la fin de l'année 1818, il y passe les dernières années de sa vie, à l'écart du pouvoir.
Paris, Plon-Nourrit, 1912 in-8, [2] ff. n. ch., 492 pp., avec une carte dépliante hors texte, demi-toile Bradel verte (reliure moderne).
Élevé au Brésil pendant le règne de son grand-père, l'empereur Pierre II, le prince Louis d'Orléans et Bragance (1878-1920) partit en exil avec sa famille lorsque fut proclamée la République, en 1889.Envoi autographe de l'auteur "ao capitao Eliseu Montarroyos". Très probablement Eliseu Fonseca de Montarroyos (1874-1940), alors capitaine dans l'armée brésilienne et qui fut ultérieurement représentant du Brésil à la Commission consultative et technique des communications et du trafic de la Société des Nations (Genève), puis délégué du Brésil à l'Institut international de coopération intellectuelle. Par ailleurs l'un des fondateurs de l'Union positiviste pour le culte de l'Humanité. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Guilmoto, 1912 - 1916 14 fascicules in-8, brochés, certains non coupés. Fascicule 13 très défraîchi.
Collection complète, très rare.Conseiller du commerce extérieur de la France, chargé de diverses missions à finalité économique en Amérique du Sud, Paul Walle (1872-1950) parcourut le Brésil en tous sens à partir de 1908 : il commença par rester une année entière au Pará sur l'île de Marajo et à Manaus en pleine Amazonie, puis visita les États de Bahia, Goias, Mato Grosso et Rio Grande do Sul.Chaque fascicule contient une description d'un ou de plusieurs des 20 États de la République fédérative du Brésil (selon le découpage de l'époque).I. [1912] 1. État d'Amazonas et Territoire fédéral de l'Acre : [2] ff. n. ch., 78 pp., illustrations dans le texte. - 2. État de Bahia : [2] ff. n. ch., 61 pp. - 3. État de Espirito Santo : [2] ff. n. ch., 44 pp. - 4. États de Parahyba, Rio Grande do Norte et Ceara : [2] ff. n. ch., 75 pp. - 5. État de Pernambuco : [2] ff. n. ch., 42 pp. - 6. États de Piauhy et de Maranhao : [2] ff. n. ch., 66 pp. - 7. État de Rio de Janeiro. Préface de E. Levasseur : XVIII pp., 37 pp. - 8. États de Sergipe et d'Alagoas : [2] ff. n. ch., 40 pp.II. [1916]. 9. États de Goyaz [= Goias] et de Matto Grosso. Préface de E. Levasseur : XVIII pp., 57 pp. - 10. État de Minas Geraes [Minas Gerais]. Préface de E. Levasseur : XVIII pp., 53 pp. - 11. État de Para :[2] ff. n. ch., 86 pp. - 12. États de Parana et de Santa Catharina. Préface de E. Levasseur : XVIII pp., 63 pp. - 13. État de Rio Grande do Sul. Préface de E. Levasseur : XVIII pp., 40 pp. - 14. État de Sao Paulo. Préface de E. Levasseur : XVIII pp., 80 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Genève, 12 septembre 1922, in-8, VI pp., 20 pp., broché.
Très rare. L'espéranto avait été proposé comme langue de travail de la Société des Nations ; la proposition, soutenue par des pays tels que le Japon et la Perse, échoua notamment à cause du veto de la France, qui estimait que la langue internationale était et devait être le français. Finalement, deux idiomes furent retenus : le français, et l'anglais.Aucun exemplaire au CCF.Envoi autographe de l'auteur "ao senhor commandante Montarroyos ... de un companheiro de trabalho na S. d. N". Il s'agit d'Eliseu Fonseca de Montarroyos (1874-1940), alors commandant dans l'armée brésilienne et qui fut ultérieurement représentant du Brésil à la Commission consultative et technique des communications et du trafic de la Société des Nations (Genève), puis délégué du Brésil à l'Institut international de coopération intellectuelle. Par ailleurs l'un des fondateurs de l'Union positiviste pour le culte de l'Humanité. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Michel Lévy frères, 1856 in-12, XVI-308 pp., demi-chagrin brun, dos lisse, couverture conservée (reliure postérieure). Bon exemplaire.
Edition originale de cette relation de voyage qui remonte à la campagne que l'auteur avait effectuée sur la Reine Blanche en 1841-1845 et qui l'avait conduit en Amérique du Sud et aux îles Marquises. Elle concerne essentiellement le Chili, le Pérou et le Brésil, Radiguet ayant très peu écrit sur les Marquises. Voyageur et écrivain mondain, Maximilien-René dit Max Radiguet (1816-1899) commença sa carrière par la diplomatie, mais mena en fait très vite la vie d'un aimable dilettante qui eut la chance d'être introduit dans les meilleurs milieux de la capitale ; il fut cependant le secrétaire de l'amiral Dupetit-Thouars pendant la campagne de la Reine Blanche dans l'Océanie, qui devait aboutir à l'établissement du protectorat français sur pusieurs archipels.Sabin 67424. Palau, 246062. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT