Ouest-france.. 1991.. In-8. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 284 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs. Nombreuses illustrations et photographies en couleurs et en noir et blanc, dans le texte et hors texte. Ecritures au stylo sur les 3 tranches de l'ouvrage. Etiquette sur le dos de l'ouvrage. Tampon sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 770-Photographie
Reference : RO20079196
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Truchelut, Paris 1875, 6x10,5cm, une feuille.
Photographie originale à l'albumine de l'écrivain Jules Verne au format carte de visite. Rare. Une photographie contrecollée sur carton. Dans la marge haute : Truchelut. Marge basse : Photographie Universelle. Publicité au dos de l'éditeur. Un tirage plus tardif à la bibliothèque Nationale et à celle d'Amiens, après 1880. Belle épreuve, quelques petits points sombres. Oublié de l'histoire de la photographie, Truchelut en fut un des pionniers. Il fut un des 15 préparateurs de Daguerre et déposa plusieurs brevets liés à la photographie dont le panotype qui permettait d'obtenir une photographie sur un tissu. Il développera ce procédé en offrant de réaliser des peintures d'après des photographies carte de visite à son public. En 1880, Truchelut s'associera avec son gendre Valkman, et les cartes porteront désormais leurs deux noms, c'est la raison pour laquelle cette photographie a été prise entre 1871 (date à laquelle Truchelut reprend la Photographie universelle) et 1880. Alors que la plupart des studios firent faillite après la Commune, Truchelut fut un des seuls à continuer à prospérer. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Par l'auteur, s.l. 1980, 24x30 sur papier Ilford , une feuille.
Grande photographie originale en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Découpe irrégulière sur le bord droit de la photographie. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carrésouligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadrepiège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition."» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographies des aliénés que Trivier réalise à la même période étaient volontairement mêlées àcelles des artistes lors de la rétrospective parisienne de 2011. Loin d'une tentative d'opposer la folie et le génie, cette mise en regard fut au contraire l'occasion d'un questionnement de notre regard sur ces deux pôles fantasmatiques de la personne humaine. La série consacrée aux abattoirs pourrait sembler éloignée des autres uvres de Trivier. Cependant, comme les aliénés, les abattoirs font partie de ces images honteuses d'une marginalité que l'on ne veut pas voir. C'est un lieu rejeté hors de la ville, loin des regards, loin des hommes. Il n'y a d'ailleurs presque jamais d'hommes dans ces photographies. Contrairement au film de Franju, Le Sang des bêtes, en 1949, Trivier ne s'intéresse pas au geste du travail dans les abattoirs. Il les capture vides, peuplés de cadavres ou d'animaux aveuglés avant d'être conduits à la mort. Le photographe s'inspire de la peinture de Bacon, qu'il a d'ailleurs pris en photo en 1981, et du rapport de ce dernier au corps. On retrouve toute la pitié du peintre anglais pour la viande et les animaux dans la série de Trivier. «J'ai toujours été très touché par les images relatives aux abattoirs et à la viande, et pour moi elles sont liées étroitement à tout ce qu'est la Crucifixion... C'est sûr, nous sommes de la viande, nous sommes des carcasses en puissance. Si je vais chez un boucher, je trouve toujours surprenant de ne pas être là, à la place de l'animal... » (Francis Bacon in Francis Bacon. Logique de la sensation , par Gilles Deleuze). Ses photos nous montrent les bêtes en martyrs comme Marsyas ou Saint Pierre. Trivier dévoile la tragédie du corps dépossédé de la présence, photographiant des animaux aveugles, morts, dépecés et vidé de leurs entrailles que le noir et blanc change en marbre. Mais c'est toujours l'homme qui se reflète dans ces portraits de chairs sans âmes, un homme qui, à travers le miroir argentique de Marc Trivier, se projete dans cette chair aveugle, et traverse un instant l'infime espace du regard qui les sépare. «Les vaches régulièrement photographiées par Marc Trivier à l'abattoir d'Anderlecht manifestent la même essence que ses visages humains.» (Henri Van Lier «Le timbre photonique, Robert Frank et Marc Trivier», in les cahiers de la photographie 1992) - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris, Au siège de la Société française de Photographie, 1855-1866, in-8, 12 tomes, , Les douze premières années, rares, du Bulletin de la Société française de photographie, dans une élégante reliure uniforme de la seconde moitié du XIXe siècle. LA SFP est la revue photographie la plus importante de la photographie ancienne. Ensemble complet de tous ses hors-textes : - 2 planches pour la première année, 1855 montrant le pied articulé de voyage et le chassis de Jules Clément ; - 1 planche pour l'année 1857 donnant une reproduction photolithographique (procédé Poitevin) ; - 1 photographie originale pour l'année 1863 : un spécimen des recherches de M. Blanquart-Evrard sur l'intervention de l'art dans la photographie. La première année reproduit les statuts du 15 novembre 1854, la liste des premiers fondateurs, et la Liste des membres titulaires, correspondants et amateurs au 31 décembre 1855. Précieux et bel exemplaire portant l'ex-libris imprimé des Ducs de Luynes, chateau de Dampierre. Rarissime dans une telle condition. Couverture rigide
Bon 12 tomes
E. Thiebault, Paris 1875, 6,2x10,5cm, une photographie.
Photographie originale sur papier albuminé représentant Jules Ferry, au format carte de visite, contrecollée sur un carton. Dédicace au bas de la photographie : A mon cher et fidèle ami [...] (peut-être Labadère) affectueux souvenir. Jules Ferry. La photographie porte en bas le nom de E. Thiebault. Phot. Au dos : Photographie Thiebault. 31 bould. Bonne Nouvelle. Paris. Superbe état. Une trace de scotch au dos dans la marge haute. Rare photographie de Jules Ferry vers l'âge de 40 ans. Les envois de Jules Ferry ne sont pas courants. La date est indicative, mais cohérente. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Disdéri, Paris 1859, 6,2x10,5cm, une photographie.
Photographie originale sur papier albuminé représentant Napoléon III, au format carte de visite, contrecollée sur un carton. La photographie porte en bas le nom de Disderi. Phot. Au dos : Disderi, photographe de l'empereur. boulevard des capucines. Rare photographie, parmi les toutes premières de l'empereur, d'un Napoléon III goguenard et facétieux se lissant la moustache, assis sur un grand fauteuil damassé dans une posture volontaire et étudiée. Il existe des versions légèrement différentes de cette séance de pose, Disdéri a non seulement inventé le procédé du format carte de visite (Il déposa lebrevetde laphoto carte de visiteen 1854) mais il avait également mis au point un appareil qui permettait de prendre plusieurs photographies en même temps et donc de saisir plusieurs poses dans une même séance. La légende biographique de l'empereur raconte qu'en 1859, l'Empereur, alors âgé de 51 ans, se serait arrêté dans la boutique de Disderi alors qu'il partait en campagne en Italie. A la suite de cette séance de pose et la sortie des photographies de l'empereur, la photographie carte de visite envahit tout Paris, et tous les studios se mirent à pratiquer cette technique, psuiqu'l s'agit d'une des premières photographie au format carte de visite. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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