FLAMMARION. 1925. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur bon état. 284 pages. Quelques planches de photos en noir et blanc hors-texte. Plats tachés. Coiffes abîmées et dos cassé.. . . . Classification Dewey : 551.48-Hydrologie
Reference : RO20057710
Bibliothèque des Connaissances Médicales. Leur modes d'action, leur emploi. Classification Dewey : 551.48-Hydrologie
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Paris, Pillet Fils aîné, 1863 in-8, pagination multiple, demi-chagrin aubergine, dos à nerfs (reliure de l'époque). Envoi.
Composé de différents mémoires, certains avec leur page de titre propre, imprimés pour la plupart dans les Annales de la société d'hydrologie médicale de Paris, ce volume contient les études suivantes :- Etudes physiques et chimiques des eaux minérales et thermales de Châteauneuf.- Recherches sur la composition de l'air des piscines.- Etudes chimiques sur les eaux minérales et thermales de Royat et de Chamalières.- Analyse chimique des eaux minérales de Rouzat, Gimeaux et Saint-Myon.- Mémoire sur les propriétés physiques et la composition chimique des eaux minérales de Saint-Nectaire.- Etude chimique des eaux minérales du Mont-Dore.- Etude physique et chimique des eaux minérales et thermales de La Bourboule.- Note sur la formation naturelle de deux sulfates ferroso-ferriques par la décomposition de la pyrite martiale.- Analyse chimique des eaux minérales de Saint-Allyre, de Sainte-Claire et de Jaude.- Etudes chimiques sur les eaux minérales et thermales de Néris (Allier). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Maison Quantin, s.d.; in-12, XVI pp. puis paginé 132 à 159, 14 à 19, 136 à 190 et 70 pp., broché. Couverture défraîchie avec manques.
Titre donné d'après la couverture.La page de titre indique : 1° Traité analytique des eaux minérales en particulier, etc., etc., 1774. 2°. Exposition succinte des principes et des propriétés des eaux minérales, etc., 1775. 3°. Parallèle des eaux minérales d'Allemagne, etc., 1777.Les extraits de ces trois études concernent tous les eaux de Châtel-Guyon. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Grenoble, Imprimerie de J. Baratier, s.d. (1843) in-8, 16 pp., broché sous couverture factice de papier bleu.
Notice très rare, dont il aurait existé une première version en 1841 d'après l'auteur lui-même (passim dans le texte), mais dont il n'y a pas moyen de trouver une trace au CCF.Oriol est actuellement le nom de deux hameaux du village de Cornillon-en-Trèves (Isère). Les eaux minérales d'Oriol, dont il est ici question, furent étudiées dès 1639 dans un fascicule de 28 pages de toute rareté publié à Grenoble par un médecin, Pierre Vulson (L'Ordre qu'il faut observer en l'usage des eaux minérales acides, et surtout de celles des Auriols en Trièves). Elles ont été longtemps exploitées par la société "Les Eaux d'Oriol", mais sont actuellement fermées. Elles passent pour être les seules eaux minérales naturellement gazeuses des Alpes françaises. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Pierre Bienfait, 1697 in-8, 4] ff. n. ch. (titre avec collette de libraire, avertissement, explication du plan), 136 pp., avec un plan dépliant hors texte, basane fauve, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Coiffes rognées, coins abîmés.
Seconde édition (la première est de 1696). C'est dès 1573 que les eaux de Forges furent remarquées par Nicolas Le Moy. La ville devint une résidence thermale dès le XVIIe siècle et fut fréquentée assidûment par la Cour. Frère II, 252.Relié avec : 1. [LINAND:] Nouveau traité des eaux minérales de Forges (…). Par M. B.L ***, docteur en médecine. Paris, veuve de Charles Coignard, 1696, titre et 22 pp. C'est l'originale de l'opuscule de 1697. - 2. Lettre de Me Barthélémy Linand docteur en médecine écrite à M** le 15 octobre 1696 où il répond à quelques objections qu'on a faites contre son livre des eaux minérales de Forges. S.l.n.d. [1697], 28 pp. Frère, ibidem. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Carpentras, Proyet fils, s.d. (1821) in-8, 8 pp., en feuille.
Rarissime prospectus vantant une source d'eaux minérales découverte sur le territoire de la commune de Velleron (Vaucluse). C'est apparemment la première mention des eaux de la localité, qui ne seront exploitées véritablement que par Achille du Laurent à partir de 1859 (l'autorisation ne fut accordée par arrêté qu'en mai de cette année). Jaillissant à 15°, ses vertus purgatives et diurétiques avaient alors été reconnues médicalement. Le baron commença à appeler son établissement Notre-Dame-de-Santé, puis lui donna, en 1877, le nom de "Velleron-les-Eaux". Mais la source tarit et l'établissement dut fermer ses portes.Avant cet établissement, une première tentative avait donc été faite par l'ancien chirurgien-major et officier de santé Antoine-Sulpice Seux, qui prévoyait une ouverture le 15 juin 1822, et avait pour cela fait analyser lesdites eaux par le pharmacien d'Avignon Hippolyte Cassin.Seulement deux exemplaires au CCF (Avignon et Inguimbertine). Cf. Barjavel II, 405. Fournier (Antoine) : Eaux claires, eaux troubles dans le Comtat Venaissin (Perpignan, 2018). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT