RICORDI & Cie. .. 1906. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur bon état. 71 pages. 1er plat de couverture détaché. Manque sur le dos. 1er plat légèrement abîmé.. . . . Classification Dewey : 790-Loisirs et arts du spectacle
Reference : RO20053577
Drame lyrique en 3 actes, d'après John L. Long et David Belasco. Traduction française de Paul Ferrier. Musique de Giacomo Puccini. Classification Dewey : 790-Loisirs et arts du spectacle
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Turnhout, Brepols, 2013 Hardback, XVIII+314 pages ., 13 b/w ill. + 16 colour ill., 21,5 x 26,0 cm. Languages : French, Italian. ISBN 9782503547619.
Following the failure of the Milan production of Madame Butterfly on 17 February 1904, Giacomo Puccini immersed himself in the consideration of a new structure for his "Japanese tragedy". After the emergence of several 'versions', the Paris premiere of Madame Butterfly has established a model for subsequent performances of the work up until the present. Collaboration with Albert Carre, manager and director of the Opera Comique, proved fundamental to the composer, who introduced many changes to its dramatic content and the musical score. The result is also reflected in the visual realization: Carre prepares a version that interacts with the score for a more 'modern' result, taking into account the factors that were driving European theatre at the turn of the twentieth century. Beyond the careful attention paid to scenic movements (both for the soloists and the crowd scenes), the French director also pioneers a new form of lighting design. The latter is considered here as an inherent component of the spectacle in itself, made famous by the theoretical contribution of Adolphe Appia and other creative work in the field of Wagnerian opera. This staging, of which Puccini was especially proud, remained at the Opera-Comique until 1972. Knowledge of this document, presented here in a critical edition and accompanied by an article that underscores its functionality vis-a-vis the score will, it is hoped, prove useful to musicologists as well as to opera directors, with a view to achieving a rediscovery of the past, but also for the benefit of future theatrical productions. Suite a l'insucces da la creation de Madama Butterfly a Milan (17 fevrier 1904), Giacomo Puccini se plonge dans la reflexion afin de donner une nouvelle structure a sa ? tragedie japonaise? . Apres plusieurs 'versions', la creation parisienne de Madame Butterfly a etabli un modele pour les representations de l'oeuvre jusqu'a aujourd'hui. La collaboration avec Albert Carre, directeur et metteur en scene a l'Opera-Comique, se revele fondamentale pour le compositeur, qui apporte de nombreux changements dramaturgiques et musicaux a sa partition. Le resultat tient aussi de la realisation visuelle : Carre prepare une mise en scene qui interagit avec la partition pour un resultat des plus modernes, tenant compte des ferments theatraux qui animent l'Europe au tournant du XXe siecle. Au-dela d'une attention minutieuse portee aux mouvements sceniques (tant pour les solistes que pour les scenes de foule), le metteur en scene francais experimente egalement une nouvelle facon de concevoir l'eclairage scenique. Ce dernier est ici considere ainsi comme une composante du spectacle a part entiere, rendue celebre grace a l'apport theorique et creatif d'Adolphe Appia dans le domaine de l'opera wagnerien. Cette mise en scene, dont Puccini allait particulierement fiere, est restee a l'Opera-Comique jusqu'en 1972. La connaissance de ce document, presente ici en edition critique et accompagne d'un article scientifique qui en souligne sa fonctionnalite vis-a-vis de la partition, nous l'esperons, pourra etre utile tant aux musicologues qu'aux metteurs en scene lyriques, dans une perspective de redecouverte des mises en scene du passe mais aussi pour des nouvelles realisations sceniques. Languages : French, Italian.
1959 1959. Le Théâtre Municipal de Mulhouse présente Madame Butterfly/ 1958-1959 . Le Théâtre Municipal de Mulhouse présente Madame Butterfly/ 1958-1959
Très bon état
Magnifique dessin pour les costumes de geishas conçus pour l'Opéra. 1 feuillet (210 x 285 mm), crayon, feutre et aquarelle. Groupe de quatre geishas en costumes traditionnels. Mention au dos du feuillet : « Geisha version II acte I ».
Kenzo Takada, l'un des créateurs de mode les plus extravagants du XXe siècle, est né en 1939 dans la ville de Himeji au Japon. Fasciné par les magazines de mode et les images de Paris des films de la Nouvelle vague depuis sa plus tendre enfance, il s'est rendu à Paris en 1964 après que son immeuble a été démoli pour faire place aux Jeux olympiques de Tokyo. En 1970, il ouvre sa première boutique dans la galerie Vivienne, surprenant le public français par son esthétique audacieuse faite de couleurs vives et de motifs contrastés. Inspiré par les créateurs de haute couture émergents de l'époque, comme Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld, Kenzo devient l'un des principaux créateurs de la haute couture à Paris, modifiant les normes et les goûts de la décennie. Tout au long de sa vie, Kenzo faisait référence à la culture japonaise à différents degrés. À partir de 2010, il a organisé ses expositions d'art dans le monde entier, présentant sa série de kimonos imprimés de fleurs qui rappellent les motifs par lesquels sa marque est connue. En 2019, il a conçu des costumes pour une production de Madame Butterfly par la Fondation de l'Opéra Nikikai de Tokyo, reconsidérant une fois de plus le style vestimentaire traditionnel japonais. Ce magnifique dessin est l'un des croquis pour les costumes de geishas présentes dans l'Opéra. « C'est un projet difficile », a déclaré Takada lors de l'interview qu'il donna au Japan Times en septembre 2019 « pour coordonner les costumes aux directives du réalisateur et à la vaste quantité de composants qui entrent dans une production musicale ». Les costumes de l'héroïne de Madame Butterfly comportent des graphismes floraux, tandis que les personnages environnants revêtiront des costumes simples aux tons pastel pour compléter les tenues de l'actrice principale. « Je voulais respecter la tradition autant que possible », explique-t-il à propos de ses créations. « J'ai toujours pensé que le kimono a un aspect très moderne et peut-être que cela pourrait être l'occasion pour certains de témoigner de cette modernité, que ce soit à Tokyo ou à Dresde [...]. En tant que costumier, j'ai essayé de saisir les récits de Puccini tout en dessinant la spiritualité japonaise aussi fidèlement que possible. Cela devrait faire rêver le public et le faire voyager dans l'extase. » S'il existe de nombreux croquis préparatoires et dessins du grand couturier (Kenzo avait déclaré, à la publication de son ouvrage où 350 d'entre eux avaient été reproduits, qu'il en avait créé près de 5 000 *), les dessins aboutis à l'aquarelle sont d'une grande rareté. Ceux du dernier grand projet que constitue Madame Butterfly font partie des plus rares. Superbe réalisation. * « Pourquoi mon livre est-il essentiellement composé de dessins? C'est une idée de Kazuko Masui qui m'a demandé pendant vingt ans de lui donner des croquis, mais je refusais continuellement. Puis j'ai fini par accepter. Nous avons choisi d'en publier 350 sur plus de 5000 que j'ai dessinés [...] En ce moment, j'écoute beaucoup l'opéra Madame Butterfly, dont je ferai les costumes l'année prochaine à Tokyo. » (Le Figaro, « Un dernier verre avec Kenzo Takada », par Sophie de Santis, novembre 2018, à la suite de la parution de Kenzo Takada de Kazuko Masui, Éditions du Chêne)
1 feuillet (210 x 285 mm), crayon, feutre et aquarelle. Geisha en costume traditionnel. Mention au dos du feuillet : « Suzuki version I acte I ».
Kenzo Takada, l’un des créateurs de mode les plus extravagants du XXe siècle, est né en 1939 dans la ville de Himeji au Japon. Fasciné par les magazines de mode et les images de Paris des films de la Nouvelle vague depuis sa plus tendre enfance, il s’est rendu à Paris en 1964 après que son immeuble a été démoli pour faire place aux Jeux olympiques de Tokyo. En 1970, il ouvre sa première boutique dans la galerie Vivienne, surprenant le public français par son esthétique audacieuse faite de couleurs vives et de motifs contrastés. Inspiré par les créateurs de haute couture émergents de l’époque, comme Yves Saint Laurent et Karl Lagerfeld, Kenzo devient l’un des principaux créateurs de la haute couture à Paris, modifiant les normes et les goûts de la décennie. Tout au long de sa vie, Kenzo faisait référence à la culture japonaise à différents degrés. À partir de 2010, il a organisé ses expositions d’art dans le monde entier, présentant sa série de kimonos imprimés de fleurs qui rappellent les motifs par lesquels sa marque est connue. En 2019, il a conçu des costumes pour une production de Madame Butterfly par la Fondation de l’Opéra Nikikai de Tokyo, reconsidérant une fois de plus le style vestimentaire traditionnel japonais. Ce magnifique dessin est l’un des croquis pour les costumes de geishas présentes dans l’Opéra. « C’est un projet difficile », a déclaré Takada lors de l’interview qu’il donna au Japan Times en septembre 2019 « pour coordonner les costumes aux directives du réalisateur et à la vaste quantité de composants qui entrent dans une production musicale ». Les costumes de l’héroïne de Madame Butterfly comportent des graphismes floraux, tandis que les personnages environnants revêtiront des costumes simples aux tons pastel pour compléter les tenues de l’actrice principale. « Je voulais respecter la tradition autant que possible », explique-t-il à propos de ses créations. « J’ai toujours pensé que le kimono a un aspect très moderne et peut-être que cela pourrait être l’occasion pour certains de témoigner de cette modernité, que ce soit à Tokyo ou à Dresde […]. En tant que costumier, j’ai essayé de saisir les récits de Puccini tout en dessinant la spiritualité japonaise aussi fidèlement que possible. Cela devrait faire rêver le public et le faire voyager dans l’extase. » S’il existe de nombreux croquis préparatoires et dessins du grand couturier (Kenzo avait déclaré, à la publication de son ouvrage où 350 d’entre eux avaient été reproduits, qu’il en avait créé près de 5 000 *), les dessins aboutis à l’aquarelle sont d’une grande rareté. Ceux du dernier grand projet que constitue Madame Butterfly font partie des plus rares. Superbe réalisation. * « Pourquoi mon livre est-il essentiellement composé de dessins? C’est une idée de Kazuko Masui qui m’a demandé pendant vingt ans de lui donner des croquis, mais je refusais continuellement. Puis j’ai fini par accepter. Nous avons choisi d’en publier 350 sur plus de 5000 que j’ai dessinés […] En ce moment, j’écoute beaucoup l’opéra Madame Butterfly, dont je ferai les costumes l’année prochaine à Tokyo. » (Le Figaro, « Un dernier verre avec Kenzo Takada », par Sophie de Santis, novembre 2018, à la suite de la parution de Kenzo Takada de Kazuko Masui, Éditions du Chêne)
Reference : albc83bf27119f92548
Lacombe Benjamin. Madame Butterfly. In Russian (ask us if in doubt)/Lakomb Benzhamen. Madam Batterflyay.Based on Giacomo PuccIn is opera Madame Butterfly and Pierre Lotis novel Madame chrysanthemums with amazIn g illustrations by BenjamIn Lacombe. Ah Butterfly Its not for nothIn g that they say you touch the wIn gs of a butterfly and kill it The famous French artist BenjamIn Lacombe is re-tellIn g Madame Butterflys unforgettable story. SKUalbc83bf27119f92548.